Pourquoi Le Progres Technique Est Il Nuisible Pour L Homme

Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à

nature et Etat social 3 2. Liberté négative et liberté positive 5 3. L’esclave et l’enfant 5 4. La liberté d’expression 6 C. Travail et liberté 6 1. La libération par le salaire 6 2. La libération par l’apprentissage (Hegel) 7 3. La libération par la technique (Marx) 7 4. Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard

en raison du rejet de l’aristocratie et du désir de la démocratie, il est devenu nécessaire dès lors que la notion d’individu est née. Et pour que l’individu existe, il faut la reconnaissance de la liberté, de l’égalité et de la justice, que chaque homme ait autant de droits et devoirs que son voisin, et pour ce, il faut l’existence de l’Etat. Dans les sociétés traditionnelles, les rapports sont réglés par la coutume et les traditions, l’organisation sociale repose sur l’autorité d’un chef, des habitudes

C’est donc un problème réel pour Aristote que de mettre la rhétorique au service de la philosophie, au lieu de les opposer. Mais le problème est toujours là : d’où vient qu’une parole a de l’autorité ? Si cela vient des techniques oratoires, le mensonge qui utilisera les mêmes techniques aura la même autorité que la vérité. Si l’autorité de la parole vient de sa valeur de vérité, alors cela ne suffit pas : il faut aussi dire cette vérité d’une façon efficace. Nous verrons dans un premier

le problème unique de la question est l’allocation des ressources, allocation des moyens entre les individus en vue de produire. La nature de l’économie : La question que l’on se pose est de savoir si l’économie est une science, un art ou une technique Les diverses conceptions de l’économie Nous avons deux conceptions : la conception classique et la conception moderne. Donner par les économistes classiques au 18 et 19 siècles. L’économie est la science de la richesse : (Smith). Mais de quelle

a pour conséquence une augmentation de la productivité, source de l'accroissement de la richesse des nations, i.e. de la croissance. Elle est efficace pour trois rasions : Augmentation de l'habileté de chaque travailleur, - gain de temps, - progrès technique lié à l'innovation …, même si elle peut conduire à "l'engourdissement des facultés morales" des ouvriers. • • • • • • • • • • • • THEMES & CHAPITRES DU PROGRAMME La division du travail chez Smith et Marx (E.D.S.) Salaire & Emploi selon les [Néo-]Classiques

l’environnement, peut-être pour leurs propres enfants, mais sûrement pas pour leurs petits- enfants ! La notion de développement durable est donc une formule magique « Il n’y a pas le moindre doute que le développement durable est l’un des concepts les plus nuisibles » « Nous ne pouvons produire des réfrigérateurs, des automobiles ou des avions meilleurs et plus grands sans produire des déchets meilleurs et plus grands. »  Nicholas Georgescu-Roegen, La décroissance. Bigger and better,  est le stupide et dangereux

est l’objet de cette connaissance. Quelques précisions terminologiques - la conscience / la raison par ma conscience, je me représente le réel, par la raison, j’essaie de la comprendre. La raison est cette faculté supposée commune en chaque homme, qui lui permet de combiner des concepts et des propositions. C’est aussi l’ensemble des principes directeurs de l’esprit qui permettent une mise ne ordre du donné de l’expérience. - la vérité / la réalité la réalité désigne ce qui est, cela peut

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651), II

réside dans la constitution de la chose en elle-même, on a coutume de dire qu’il lui manque, non pas la liberté, mais le pouvoir de se mouvoir ; c’est le cas lorsqu’une pierre gît immobile ou qu’un homme est cloué au lit par la maladie. D’après le sens propre (et généralement admis) du mot, un HOMME LIBRE est celui qui, s’agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n’est pas empêché de faire celles qu’il a la volonté de faire. Thomas Hobbes, Léviathan (1651)