Pourquoi Lisons Nous

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

| | |en efecto : en effet | | |por ello, por eso, por esta razón : c'est pourquoi | | |aunque + indicatif : bien que (+ subjonctif) | | |aunque + subjonctif :

thématique est présentée même dans le titre et elle est introduite déjà au début du livre : dans la première page nous lisons : ! »Ma nièce avait ouvert la porte et restait silencieuse » . Le silence est le fil conducteur de toute l’œuvre : les deux français, même s’ils sont très intéressés aux discours de Werner, ne disent rien et ils laissent l’Allemand sans réponse. Mais pourquoi ce silence ? Quel est son sens ? Le silence peut être vu comme une arme pour montrer l’aversion contre l’occupation de

pour les «  amis  », un compte LinkedIn pour les relations professionnelles, etc. Avec cette démarche d’auto-promotion personnelle, s’est développée le phénomène de collaboration. Wikipédia en est un excellent exemple illustrant parfaitement pourquoi le phénomène d’auto-promotion perpétuelle et la fin de l’anonymat ont permis le développement d’une logique collaborative sur le web. M. Vanbremeersch affirme que le modèle de Wikipédia connait le succès Page 2 sur 5 notamment car ses utilisateurs

Il faut que vous appreniez à lire avec une facilité absolue, de telle sorte qu’ils ne puissent plus l’oublier de la vie. Savoir lire vraiment sans hésitation, comme nous lisons vous et moi, c’est la clef de tout. » Tel est le conseil premier que Jean Jaurès donnait aux instituteurs. Ce conseil est toujours valable et c’est pourquoi J’insisterai sans équivoque sur l’importance de la lecture. En effet, la lecture est elle-même instruction ; elle nous fait accéder au monde de la réflexion et de la pensée

journalistique sur le quel nous nous pencherons est extrait du magazine Jeune Afrique l’hebdomadaire panafricain, qui est édité à Paris et qui propose une couverture de l’actualité africaine et internationale politique et économique du contient. Pourquoi choisir jeune Afrique et non pas un autre périodique ? D’abord par ce que c’est le premier magazine par sa diffusion et son audience [1], et il est également, depuis sa création ,l’hebdomadaire international de référence du contient

lecture est un exercice intellectuel, en effet la lecture permet au lecteur d’imaginer, de créer lui-même une ambiance. De plus, la lecture facilite la compréhension. La lecture d’une pièce pousse à imaginer, nous lisons une pièce et nous avons peu d’indications scéniques, c’est pourquoi il faut faire preuve d’imagination et créer soi-même son décor, le lecteur a ainsi le pouvoir de mettre des images sur les mots du dramaturge. De plus, il peut donner plusieurs sens possibles à la pièce alors qu’une

et le monde donne lieu à deux grands types de textes, ceux qui présentent directement aux lecteurs des idées, un raisonnement ou un engagement, et ceux qui mettent une histoire plaisante, fictive, imaginaire au service d’une intention didactique. Pourquoi certains écrivains ont-ils recours à cette deuxième forme d’argumentation indirecte pour inciter à réfléchir sur l’homme et sur le monde? Quels intérêts présentent les oeuvres fictives pour transmettre des idées? Dans un premier temps, nous verrons

de l’un-sensé ». « ... les délires d’interprétations sont à ranger parmi le groupe des « folies raisonnantes » : le sujet conserve en effet une vivacité d’esprit et une capacité à défendre ses convictions en dehors de « délire partiel ». C’est pourquoi, les « interprétateurs » ne sont pas des aliénés (alienus : étranger) car ils conservent des relations avec leur milieu, ont un aspect normal, s’exprimant de plus de façon raisonnable et ayant des associations d’idées normales et des souvenirs fidèles

s’entre-tuent. Elle ne va pas à l’école pour ne pas se laisse ‘’abrutir’’. Aime se promener seul pendant la nuit et surtout regarder le soleil se lever. Les habitants de la cité la prennent pour une folle. Extrêmement curieuse, elle aime savoir le pourquoi des choses. Elle observe les gens avec attention et constate qu’ils parlent souvent pour rien dire, qu’ils disent tous la même chose. Elle veut comprendre les choses qui l’entourent Elle aime la nature. Capitaine des pompiers Beatty : Supérieur