Pourquoi Utiliser La Métaphore De La Lumière

mémoire d’une âme ». En effet, il fut très bouleversé par la mort de sa fille Léopoldine, qui mourut noyée. Victor Hugo écrit les contemplations peu de temps après l’accident et à partir de se drame, il eu un autre regard sur la vie. Pourquoi la misère ? , Pourquoi l’injustice ? Sont des interrogations qu’il essaye de traiter dans son ouvrage. Toutes ces questions basiques sont en fait destinées à comprendre la société. Mélancholia, qui paru en 1856, fait parti des nombreux poèmes qui composent

Le Spleen de Paris, 1869 XXXV Les fenêtres Les dernières expériences poétiques de Baudelaire visent, comme il le dit, à « faire du poème en prose la forme par excellence de la poésie moderne et urbaine. » Pourquoi pourrions–nous ajouter ce poème en prose aux « Tableaux parisiens » des Fleurs du mal ? Comment la prose en est–elle venue à s’imposer ainsi à Baudelaire ? C’est ce que ce court texte du Spleen devrait nous permettre de mieux appréhender. Progression des idées Observations littéraires

| Denis Diderot fait parti des écrivains et philosophes français du siècle des Lumières. Ami de Rousseau et d’Alembert, il se charge avec ce dernier de l’élaboration de L’Encyclopédie en 1747. Ce travail occupera vingt ans de sa vie mais ne l’empêchera pas d’écrire ses propres réflexions ainsi que de s’affirmer comme le chef de file des Lumières du XVIIIe siècle. Incarnation de l’honnête homme, ses ouvrages n’en sont pas moins interdits, y compris L’Encyclopédie

on était venus, et où on croyait bien l'avoir laissée, l'escouade" (l.26). Le texte est d'autre part marqué par une atmosphère obscure, désordonnée: "n'importe quel chaos" (l.21). De plus, la personnification "les ruelles bossues du village sans lumière et sans visage" dans le premier paragraphe opère une dépersonnalisation de l'espace; le village est indéfini, n'a pas de nom. On peut ainsi noter le groupe nominal "grange inconnue" (l.4). Cet enfermement spatial est d'autre part exprimé par l'omniprésence

devenir Le prince des poètes. Il veut enrichir la langue poétique (à l’époque extrêmement pauvre) et va se référer aux anciens : « Il faut faire mieux que les autres ». Il va publier ce recueil de 170 sonnets (canzonieris), dédié à Cassandre. C’est pourquoi l’œuvre a une source autobiographique. Il va également s’inspirer du Pétrarquisme : avec la vassalité de l’amant, qui désormais cherche à triompher même si les sentiments ne sont pas réciproques. C’est une relation à sentiments uniques. La femme

dictionnaires. Les Lumières rayonnent d’énormes collections alphabétiques : on peut citer entre autres l’Encyclopédie, le Dictionnaire de Trévoux, le Dictionnaire historique et critique de Bayle. L’honnête homme du siècle des Lumières, le philosophe se veut éclairer sur tous les points de la connaissance. Il ne se résigne pas à abandonner des pans entiers du savoir à la seule compétence des spécialistes : tout ce qui constitue la raison humaine relève de son jugement personnel. C’est pourquoi les rédacteurs

de l'être. Cet extrait central de la nouvelle « La nuit » nous fait découvrir un narrateur qui, bien qu'il semble apprécier ces moments nocturnes, éprouve soudain une sensation étrange en parcourant Paris. Nous pourrons essayer de comprendre pourquoi ce récit glisse peu à peu vers une imagination fantastique. Le passage décrit ainsi un tableau poétique de la ville, mais aussi contrasté. Cette contradiction semble s'expliquer par le changement d'état d'esprit du narrateur. I – Une description

accompagnent les conquêtes coloniales. Le mépris et l’incompréhension du vieux Tahitien sont lisibles dans l’adjectif indéfini composé « je ne sais quelle ». On remarquera la simplicité de la première formule, fondée sur la reprise du pronom indéfini (utilisé au singulier puis au pluriel) et sur l’emploi du présent de vérité générale pour énoncer cette règle de vie. Elle s’oppose aux subtilités juridiques développées par les Européens pour définir la propriété privée, comme le suggère la longueur du GN

 cadre  historique,  l’analyse  du  comportement  spéculateur  de   Goriot  met  en  lumière  un  procédé  fréquemment  adopté  à  l’époque  («  disette  »   (l.5),  «  fortune  »  (l.5),  «  vendre  …  farines  »  (l.5),  «  sommes  immenses  »).  Le  ton   dépréciatif  utilisé  (variation  impertinente  sur  le  nom  de  Goriot)  que  la  duchesse   affecte

figure (aidez-vous du contexte) 1. « l’horizon qui fume » (v. 1) : Le poète utilise une métaphore, en associant deux éléments inattendus l’horizon à la fumée. De plus, il crée une image de l’horizon dans nos têtes. 2. « l’horizon qui fume / Cache un front inégal » (v. 1-2) : le poète utilise une personnification, car il fait faire une action (se cacher) à l’horizon. 3. « l’astre géant » (v. 3) : Victor Hugo utilise une périphrase en désignant le soleil comme «l’astre géant». Il veut donner