Pourriture noble

 charogne  infâme Sur un lit semé de cailloux, Les jambes en l’air,  comme  une  femme  lubrique, Brûlante et suant les poisons, Ouvrait  d’une  façon  nonchalante  et  cynique Son  ventre  plein  d’exhalaisons. Le soleil rayonnait sur cette pourriture, Comme afin de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande Nature Tout  ce  qu’ensemble  elle  avait  joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme  une  fleur  s’épanouir. La  puanteur  était  si  forte,  que  sur  l’herbe

seule théologie que devraient enseigner les fables : Dieu est parfait. De sa perfection se déduisent : - sa bonté, d'où l'on déduit qu'il n'a pas créé tout, en particulier le mal ; - son immuabilité, car l'altération, le changement (comme dans la pourriture ou la rouille) témoignent d'imperfection.   LIVRE III : FORMATION DE GARDIENS JUSTES PAR L'ADAPTATION DE L'ÉDUCATION MORALE ET PHYSIQUE À LA REGLE DE LA FONCTION PROPRE I - SUITE DES REMARQUES SUR L'ÉDUCATION LITTÉRAIRE ET ARTISTIQUE DES GARDIENS

argilo-calcaires Sols limono-graveleux Montaîgu de Quercy St Projet Bourg de Visa Puylaroque Montpezat de Quercy Caylus Castanet Lauzerte Durfort Lacapelette Lafrançaise Valence Dunes Moissac Lez Mirabel Septfonds Caussade Réalville St Antonin Noble Val Mansonville gi Une on al réa de lis tra atio va n d il M ug id ro i-P u yr pe én ée s Montauban Montech Villebrumier Campsas Verdun sur Garonne Grisolles Aucamville Auvillar St Nicolas de la grave Castelsarrasin Nègrepelisse

pourquoi, Combien sont morts sachant, Combien n'ont pas su quoi ? Ceux qui auront pleuré, Leurs yeux sont tout pareils, C'est des trous dans des os Ou c'est du plomb qui fond. * Ils ont dit oui A la pourriture Ils ont accepté Ils nous ont quittés. Nous n'avons rien à voir Avec leur pourriture. * On va autant qu'on peut, Les séparer, Mettre chacun d'eux Dans un trou à lui, Parce qu'ensemble Ils font trop de silence contre le bruit. * Si ce n'était pas impossible Absolument, On dirait une

serait une espèce de qualité qui viendrait différencier l'homme de l'animal. Beaucoup de philosophes ont cru qu'elle existait, et ont essayé de la trouver avec plus ou moins de succès. La question était de savoir en quoi l'homme était une créature plus noble que les autres animaux. Quel était le don que Dieu avait fait aux hommes et dont il avait privé les animaux ? Les réponses varièrent beaucoup : l'homme était l'être qui avait la capacité de s'étonner, un être de raison, doué de langage, le seul individu

la poésie en eux, ils sont là pour être utilisés. Le poète peut utiliser tout les mots et il peut même faire de la poésie avec des mots vulgaires. Dans son texte La charogne, Charles Beaudelair, poète du XIXeme siècle, utilise des mots tels que ‘pourriture’, ‘puanteur’, ‘mouches’, ‘putride’, et ‘larves’ qui n’ont pas de beauté, pour en faire tout un poème où il utilise la forme pour embeillir ses termes, car il cherche la beauté et non la morale dans écris. En effet, Victor Hugo, écrivain du XIXeme

balance du bois. Ça se fait en Australie. Ice whine (canada) : on attend qu’il soit gelé. Très bon. Vin moelleux : vin très sucré (Jurançon, Mont Basillac…). Y’a + de sucre dans ces vins, car ils ont été pourris par un champignon. C’est de la « pourriture noble ». Ce champignon assèche le grain (il pompe le liquide). On obtient beaucoup moins de vin (mais plus sucré, car concentré). Le vin jaune vient du jura (le Savignac). Ça s’évapore dans les barriques d’alcool fort (on appelle ça la part des anges)

livre. Le livre de ma mère commence ses écrits plus personnels et est suivi par Ô vous, frères humains et Les Carnets: forte cohérence thématique. Répétition des angoisses de Cohen: disparition de sa mère, mort de son enfance, sa propre mort, la pourriture des corps, la déchéance physique, l'existence ou non d'un Dieu, l'inscription de son individualité dans une collectivité (ici le peuple juif). 1) Cohen un écrivain dans son siècle Comme Solal et les Valeureux Cohen est né dans une île grecque

partie : métaphore filée de la plante : « elle avait poussé… ansi qu’une plante de plein fumier… elle devenait une force de la nature » = Nana s’enracine dans un univers social qui détermine ce qu’elle est. Champs lexical de la décomposition : « pourriture », « fermentait », pourrissait », « gaté » ; étroitement lié à champs lexical de la misère : « fumier », « gueux », « abandonnés », « ordure », « misère », « charronne » Equation sociale de Zola est claire : prostitution Nana = conséquence directe

latin burla, plaisanterie) désigne un comique outré. Sous sa forme substantivée, il désigne un style très prisé au XVII° siècle qui traitait un sujet noble de manière familière. Très voisin, le registre héroï-comique traite, lui, un sujet vulgaire de manière noble (Boileau, Le Lutrin). Vocabulaire : familier, voire vulgaire pour traiter un sujet noble, il peut être à l'inverse délicat et précieux pour traiter un sujet vulgaire. Formes : le burlesque, volontiers narratif, consiste à caricaturer les