Pouvoir Des Fables Satire

La Fontaine, Fables ( 1678) , La Cour du lion ( Livre VII, Fable VI) Sources : Phèdre, Leo regnans mais fable incomplète ; autre source probable : Jacques Regnier, « Le lion, l’âne, le loup et le renard », (1643) dont la moralité était : «  Au même titre que le mensonge, il est nuisible de dire la vérité. Il en sait long celui qui est muet dans ses flatteries.» Fable rédigée en vers mêlés : alexandrins et octosyllabes I/ La critique de l’absolutisme royal : un roi cruel et vaniteux

Les Essais (dès 1572, 1ère édition en 1580). **XVIIème siècle : abondante littérature d’idée : argumentation directe (pensées (Pascal), maximes (La Rochefoucauld), caractères (La Bruyère)…), satire (Boileau) ; argumentation indirecte, par le détour de la fiction (fable (La Fontaine), conte (Perrault), les comédies de mœurs ou de caractère de Molière…). Tous sont des moralistes (ils observent, décrivent, analysent la nature humaine et les mœurs

JEAN DE LA FONTAINE Les Obsèques De La Lionne Livre VIII, Fable 14 Introduction Poète considéré comme un homme mal intégré aux milieux faisant les modes et tiennent les pouvoirs, c’est la fréquentation du salon de Mme de La Sablière fréquenté par des hommes de sciences où se brassent les idées nouvelles, la prise de conscience annonçant le siècle des Lumières qui lui apporte un enrichissement intellectuel consiérable. La poétique de La Fontaine est riche d’éléments baroques, mais elle ne renie

d'Aubignac définit les règles du théâtre classique avec sa pièce « La Pratique du théâtre » en 1957. La tragi-comédie « Le cid » de Corneille remporte un grand succès aussi. Le genre poétique est aussi très présent de part les « les Fables » de La Fontaine et les « Satires » de Boileau. Les compositeur Mozart et Beethoven font partie intégrante du Classicisme. Durant la période classique, Louis XIV se démarque dans le domaine de l'architecture. Louis XIV, roi de France. Pierre Corneille. Caractéristiques

autres poètes à imiter les anciens de l’Antiquité. Imitation= même démarche intellectuelle, même philosophique, même chemin,… Ils espèrent par ce biais-là à arriver au même résultat, à des choses tout aussi valable. (Ex : épopée, tragédie, comédie, satire, odes,… => Tous les genres antiques seront repris à la Renaissance) Pour les imiter, ils vont inventer une pratique : l’innutrition (in : dans et nutrition : nourrir l’intérieur) permet de faire une bonne imitation, elle apporte à l’intérieur

d’améliorer la société : 1. Suivant l’exemple des auteurs du XVII° qui aspirent à « plaire et instruire », l’écrivain peut critiquer les travers de son époque à travers une satire sociale ou morale, ceci afin d’amener le lecteur à réfléchir et à s’amender. Ex : les moralistes du 17° que sont La Fontaine (Fables) , Boileau et ses Caractères, La Rochefoucauld et ses Maximes, mais aussi les dramaturges avec Molière et le fameux « Ridendo castigat mores » de la comédie ou Racine et la visée cathartique

Note Commentaire Ecriture d’un commentaire composé sur « Les animaux malades de la peste » de La fontaine. Les fables font parti du mouvement classique, qui est avant tout un mouvement littéraire qui traite du beau. Il suit des règles qui doivent être respectées pour faire passer un message à ses lecteurs et pour montrer sa grandeur ainsi que sa beauté. Une fable est un récit court, en vers ou en prose, qui illustre une morale implicite ou explicite. La Fontaine, grande figure du classicisme

Sophie Colas et Rémi Bourrelly Dissertation de français : l’Apologue Docere, placere, plaire et séduire, voilà les ambitions des fables depuis l’Antiquité. C’est pourquoi les écrivains du passé, tels que Voltaire, Phèdre, ou encore le conteur Charles Perrault, ont su recourir fréquemment à l’apologue pour séduire leurs lecteurs. Jean de La Fontaine, a d’ailleurs parfaitement définie ce terme avec la célèbre citation tirée du Premier Recueil rédigé en 1668 : « L'apologue est composé

apparence de vérité. « Elle a invoqué des raisons spécieuses ». Captieux, Fallacieux, Trompeur. Apologue  : n.m. Court récit comportant un enseignement de caractère souvent moral. « Les fables de La Fontaine sont des apologues ». Brûlot : n.m. Journal, tract, article violemment polémique. « Un brûlot contre le pouvoir en place. » Dithyrambe : n.m. Éloge enthousiaste, souvent exagéré. « Il prononça un dithyrambe du président ». Panégyrique. Epigramme : n.f. 1° En littérature, petite pièce de vers

l’esthétique classique.  La rhétorique et la poétique enseignent l’art de bien composer | |les œuvres selon des normes universelles de la beauté et du bon goût. Plaire et instruire sont les règles d’or du classicisme ; il | |faut plaire pour pouvoir toucher le public, tout en le purifiant de ses passions. Pour accéder à cet idéal, il faut remplir certaines | |conditions que les théoriciens définissent. L'art s'apprend et se maîtrise et une œuvre accomplie est l'aboutissement d'un long