Pouvoir Discretionnaire Et Compétence Liée

du gouvernement n'est cependant pas absolue. Elle connait une petite restriction liée à la règle selon laquelle les quatre cinquièmes des préfets doivent être recrutés parmi les sous-préfets et les administrateurs civils hors classe, donc parmi des corps de fonctionnaires dont les membres sont recrutés, pour l'essentiel, à la sortie de l'école nationale de l'administration, l'ENA. Leur désignation discrétionnaire et leur rôle de représentant du gouvernement impliquent de la part des préfets une

employeur qui a le pouvoir de donner des ordres et des directives, d’en contrôler l’exécution et de sanctionner les manquements de son subordonné ». * En donnant cette définition du lien de subordination, la cour de cassation dans cet arrêt met le pouvoir au centre, mais en même temps dans l’exercice de ce pouvoir, l’employeur peut choisir aussi bien de contrôler strictement les salariés, que de leur laisser au contraire une grande latitude. C’est tout autant exercer son pouvoir que contrôler strictement

international se focalise autour de trois séries de sources principales d’importance inégale : les traités (I), la coutume et les principes généraux (II), les actes unilatéraux (III).   I) Les traités Les traités ont toujours existé. Leur apparition est liée à celle des communautés politiques organisées, amenées par la force des choses à rentrer en relation les unes avec les autres. Le traité est presque inhérent aux relations internationales. Les traités constituent l’instrument privilégié des relations

fonctionnelle qui est assuré par son mode d’élection et par la diversité et par l’intensité des pouvoirs qui lui sont confiés. On dit le Président de la République sous la 5e arbitre du fonctionnement des instituions républicaines. Image utilisé par l’art 5 de la Constitution. Elle dispose que ‘le Président de la République veille au respect de la constitution. Il assure le fonctionnement régulier des pouvoirs publics et la continuité de l’Etat’. Le Président qui est un arbitre du fonctionnement institutionnelle

la justice. Diversité des situations car le droit ne peut s’appliquer que dans un cadre organisé. Aristote dit « l’homme est un animal civique. » il s’agit essentiellement d’une mesure des rapports sociaux. Le droit est la règle qui organise les pouvoirs dans la cité. C’est essentiellement les romains qui ont créé le droit moderne. Le droit doit poursuivre l’idée du bien, il doit exister une sorte de morale commune, une nécessité d’exercer des relations humaines de bonnes fois. La notion de fidélité

normes entretienne des relations les une avec les autres, c’est la hiérarchie des normes. 2° QUESQUE L’ADMINISTRATION ? On peut dire que ce droit est une branche d’un ensemble plus vaste qui est celle du droit public, qui examine au sein du pouvoir exécutif ce qui traite l’administration, c’est ainsi que le droit va s’intéresser a l’organisation administratif de la France mais aussi aux activités des organes administratifs mais encore aux moyens que dont dispose l’administration pour exercer

TURPIN, Droit constitutionnel, PUF. J. C. ZARKA, Introduction au droit constitutionnel, Ellipses. Revues . . . . . Revue du droit public et de la science politique. Revue Française de droit constitutionnel. Revue Française de science politique. Pouvoirs. Cahiers Français. Textes F. MELIN-SOUCRAMANIEN, Constitutions des grandes démocraties, Dalloz. La Documentation Française : Documents d’études. La Documentation Française : Les notices. Notamment « Institutions et vie politique ». Lexiques P

les collectivités à statut particulier et les collectivités d'outre-mer régies par l'article 74. (…)Dans les conditions prévues par la loi, ces collectivités s'administrent librement par des conseils élus et disposent d'un pouvoir réglementaire pour l'exercice de leurs compétences. (…) Dans les collectivités territoriales de la République, le représentant de l'État, représentant de chacun des membres du Gouvernement, a la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif et du respect des lois

personne publique ne poursuit pas son propre intérêt mais un intérêt qui la dépasse : l’intérêt général, collectif, public. Si une autorité publique usait de son pouvoir de domination pour poursuivre un intérêt privé, l’acte commis serait illégal s’il était soumis au juge. Il serait alors annulé pour détournement de pouvoir. La personne publique doit prendre des actes en vue d’un intérêt général alors qu’une personne privée agit dans son intérêt propre. Elles exercent des prérogatives

du consentement de personnes passées par l’acte, elle peut unilatéralement modifier les situations juridiques. Ce pouvoir exorbitant d’acte unilatéraux est appelé privilège du préalable. Cela signifie que de la même façon que l’adm n’a pas besoin du consentement des administrés pr avoir une obligation, elle est dispensée du recours du juge pour se faire obéir. Elle a le pouvoir de prendre des décisions qui sont exécutoire et ce caractère a été reconnu comme une règle fondamentale du droit public