Pouvoir Obéir En Liberté

Introduction Lorsque je me soumets à la volonté d'autrui, à des ordres, à des règles ou à des lois, je vis toujours cette soumission comme une contrainte venant limiter ma liberté : je ne fais pas alors ce que je veux, mais ce qu'on veut que je fasse, et partant je ne suis plus libre. Si la liberté, c'est pouvoir faire tout ce dont j'ai envie, alors je ne suis libre que quand je peux faire tout ce que je peux faire, et c'est pourquoi l'obéissance à autre chose qu'à notre propre volonté nous apparaît

-social " mais le pouvoir s'exerçant sur les individus. Si L'Etat dirige la société il instaure donc des règles et des lois qui formeront la société à l'image de son précepteur , mais à travers cette forme de dictature ni a t-il pas une barrière qui empècherait l'individu d'accéder a la liberté ? Puis en quoi l'Etat contribue -t-il a la formation de la société , quel est son rôle ? L'Etat se caractérise comme un pouvoir qui s'exerce sur les individus d'une société. Ce pouvoir se manifeste au travers

car la liberté pourrait être perçue comme une absence de contrainte. En effet, cet idéal qui anime la condition humaine se résumerait ainsi à faire ou exprimer ce que l’on veut sans loi qui pourrait nous y contraindre. Cependant l’absence de toute loi ne serait-elle pas elle même une contrainte à notre liberté ? Ne pourrions nous pas au contraire exprimer notre liberté à partir de nos propres lois, nos propres contraintes ? Est ce que la contrainte est nécessairement une limite à une liberté ? Est

LA LIBERTE CHEZ KANT Introduction Nous allons étudier le concept de liberté chez Kant et les moments essentiels dans la liberté kantienne respectivement dans la critique de la raison pure, dans la critique de la raison pratique, la critique de la faculté de juger et du point de vue de la religion dans les limites de la simple raison. Nous retracerons l'itinéraire kantien dans sa réflexion sur la liberté dans ses différents écrits. Dans un second temps, nous nous interrogerons sur les conditions

Ces sujets interrogent sur trois sortes de possibilités : 1) la possibilité logique : Est –il contradictoire… ? Est-ce incohérent…?... Ex : Peut-on obéir sans cesser d’être libre ? 2) la possibilité physique ou capacité : Avons-nous le pouvoir de…? En sommes-nous capables … ? Ex : Peut-on tout donner ? 3) la possibilité morale ou le droit : Est-ce permis ? Est-ce légitime ? En avons-nous le droit ? Est-ce justifiable ? Ex : Peut-on désobéir aux lois ? Pour chacun de ces sujets, délimitez

contre, si on fait la différence entre "nécessaire" et "obligatoire" (sans affirmation de la liberté de l’individu), alors l’obéissance à l’État est toujours problématique : peut-on obliger l’homme à obéir à l’État, si cela est contraire à ses convictions (morales) ? Le "toujours" est alors à discuter. Rousseau, dans Du Contrat social, explique que l’État doit respecter la nature de l’homme qui est la liberté ; donc si, dans un État, les citoyens ne sont pas libres, ils ne sont pas obligés d’obéir.

possible de briser ce cercle. Il est difficile de le briser seul, mais c’est possible collectivement. A condition qu’on laisse au public sa liberté. C’est possible, et même inévitable. La liberté, seule condition de l’accès aux Lumières, est constamment menacée (par des institutions qui nous commandent ne obéissance aveugle). Mais peut-être que la liberté serait un danger pour l’ordre et la cohésion sociale, et que c’est la raison pour laquelle, les institutions nous empêchent ou nous dissuadent

problématique est alors la suivante : dans un premier temps, nous pouvons penser que le sujet se définit par sa liberté dans une société démocratique. Mais quelle différence y a-t' il entre entre un sujet qui obéit et un esclave ? Dans un second temps, nous pouvons penser que le sujet se définit au contraire à son obéissance aux lois. Mais comment comprendre qu'un citoyen puisse à la fois être libre et obéir aux lois ? Que signifie tout d'abord être un sujet ? Dans quelle mesure l'obéissance est-elle une

La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Prendre conscience de ce qui nous entoure nous permet de nous sécuriser et nous amène ainsi à être libre d’entreprendre des démarches utiles. Mais prendre conscience peut également nous faire rendre compte de certaines vérités susceptibles de heurter notre personnalité et notre comportement. Ainsi la conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? Les animaux n’ont pas la conscience que possède l’homme et se comportent donc

est-il pour l'homme qu'un obstacle à sa liberté ? 1- Travail → action qui constitue à modifier la nature pour nos besoins → ensemble des activités de l'H en biens et service pour être rémunéré Homme → Être humain, être qui se distingue de tous les autres par la raison Qu'un → seulement Obstacle → ce qui me gêne, m’empêche de faire quelque chose mais quoi? tout ce que je veux, ou de m’accomplir; ma liberté; ce qui est donc à éliminer Liberté → Pouvoir agir sans contrainte 2- Il est question