Poète Rêveur

1916, est un poète français d’origine polonaise. Alors qu’il est inspiré par le symbolisme, il publie son recueil « Alcools » en 1913. Situé dans le début du recueil Alcools et caractérisant bien ce dernier, Palais est un poème évoquant plusieurs sujet typique d’Apollinaire dont la le rêve, la quête du désir et le travail du poète. Ainsi, quelles sont les différentes influences qui structurent ce texte. Nous allons répondre à cette question en trois parties; Apollinaire un poète rêveur, le désire de

Un mélange entre voyage et rêve : l’évasion, un thème récurrent du S pleen de Paris de Charles Baudelaire Préface : Charles Baudelaire est un grand poète du XIXème siècle. Il naît le 9avril1821 à Paris et meurt le 31août1867 dans cette même ville. C’est un des poètes français les plus connus comme par exemple Guillaume Apollinaire ou bien Victor Hugo

mélange d’attirance et de répulsion. Les rapports qu’entretient la poésie avec le monde sont multiples, la poésie est-elle un simple reflet du monde ou montre-t-elle la vision du monde selon le poète ? Comment le poète s’y prend pour déformer le réel et l’axé sur des points qui lui tiennent à coeur? Pourquoi le poète déforme-t-il la réalité ? On peut se demander si la poésie est une métamorphose radicale de la réalité, ou non. Nous verrons tout d’abord que la poésie est une magie, qui grâce au langage

allais, les poings dans mes poches crevées Mon paletot aussi devenait idéal; (1) J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; (2) Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. — Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. (3) — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon

« La Fonction de poète », Victor Hugo, (Les Rayons et les ombres) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert. Malheur à qui dit à ses frères : Je retourne dans le désert ! Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales Tourmentent le peuple agité ! Honte au penseur qui se mutile Et s'en va, chanteur inutile, Par la porte de la cité ! Le poète en des jours impies Vient préparer des jours meilleurs. ll est l'homme des utopies, Les pieds ici, les

-------------------------------------------------------- Textes :  Texte A - Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte B - Théophile Gautier : « Le poète et la foule » in España (1845) Texte C - Charles Baudelaire : « Théophile Gautier », L'Art romantique (1857) Annexe - Paul Eluard : L'Évidence poétique (1939).   Texte A -  Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun sert

-------------------------------------------------------- Textes :  Texte A - Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte B - Théophile Gautier : « Le poète et la foule » in España (1845) Texte C - Charles Baudelaire : « Théophile Gautier », L'Art romantique (1857) Annexe - Paul Eluard : L'Évidence poétique (1939).   Texte A -  Victor Hugo : « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Dieu le veut, dans les temps contraires, Chacun travaille et chacun

existe une forme de tendresse de la part de La Fontaine dans sa manière de décrire la jeune paysanne et sa propension au rêve, il n’en reste pas moins que le fabuliste semble s’ériger contre l’imagination et la folie des rêveurs. En effet qu’il s’agisse de Perette ou du poète, le rêve s’achève brutalement : le rêve du fabuliste s’écroule et celui de la laitière provoque sa ruine. L’apologue dénonce donc les excès de l’imagination . A force de croire que son rêve se

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées Mon paletot aussi devenait idéal; (1) J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; (2) Oh ! là là ! que d'amours splendides j'ai rêvées! Mon unique culotte avait un large trou. — Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. (3) — Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front

Commentaire « La soupe et les nuages » Baudelaire est un poète lyrique du 19ème siècle. Il fait l’éloge de la modernité. Il révolutionne la poésie classique en écrivant tous ses recueils de poèmes en prose et non en vers, sauf un, “les fleurs du mal”. Il est aussi adepte du spleen, un état mélancolique, sans raison, mélange d’ennui, de lassitude, liés aux saisons, au temps, aux souvenirs. Ainsi le poème “La soupe et les nuages” est un poème du recueil “Petits poèmes en prose”, connu aussi sous