Poésie Engagée Religion

Dossier Poésie. Sommaire : Introduction 1. Histoire et évolution 2. Les poètes aux différents siècles 3. Fonction de la poésie Conclusion Tout d’abord Le mot « poésie » vient du grec ποιεῖν (poiein) qui signifie « faire, créer » : le poète est donc un créateur, un inventeur de formes expressives. Le poète, héritier d'une longue tradition orale, privilégie la musicalité d'où, dans la plupart des textes poétiques, le recours au vers qui apporte aussi la densité

adepte de l’épicurisme, est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée et « officielle » dans le contexte des guerres de religions avec les Hymnes et les Discours (1555-1564), que l’épopée avec La Franciade (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Il échoue à vouloir

la guerre, non seulement matériels mais aussi ceux des âmes innocentes (des enfants). En effet, à la question « Que veux-tu ? », l’enfant aux yeux bleus réplique, déterminé, « Je veux de la poudre et des balles », ainsi s’achève le poème. La poésie engagée dénonce également. Par exemple, dans son poème Comprenne qui voudra, Paul Eluard donne son opinion sur les femmes tondues après la Libération (1944), au prétexte qu'elles auraient eu des relations intimes avec l'occupant. Ensuite, la littérature

se dit « infaillible en religion » ce qui montre une certaine prétention que Prévert cherche à dénoncer. Son nom est associéà des termes péjoratifs « combinard », « cumulard », « l’affreux vieillard », accentués par leurs terminaisons en -ard-. Il est décrit « plein de cruauté », de « roublardise » et de « papelardise ». Il vivrait dans un « luxe démesuré », avec des « cure-dents en argent » et des « chiottes en platine ». Prévert tourne également en dérision la religion dans « Ecritures saintes »

« Des Libérateurs ? » avec sa réponse vers le bas « la libération ! Par l’armée du crime ». On peut voir une flèche allant vers le bas formée des portraits des personnages avec écrits « juif, polonais, attentat… ». Les hommes sont décrits par leur religion, leur nationalité, leurs actes et leur appartenance politique. L’affiche est de couleur rouge car les hommes sont communistes et « ont fait couler le sang ». Il y a six photos d’attentats qui représentent les actions qui leur sont reprochées et ainsi

adepte de l’épicurisme, est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée et « officielle » dans le contexte des guerres de religions avec les Hymnes et les Discours (1555-1564), que l’épopée avec La Franciade (1572) ou la poésie lyrique avec les recueils des Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Sommaire

scène plus profonde avec grand mur de fond. -Temple : plan circulaire (tholos) ou rectangulaire à cella (naos grec) interne, mais : 1) Podium élevé avec un escalier en façade (on peut accéder à un temple grec sur les 4 côtés). 2) Colonnes souvent engagées dans le mur (moitié postérieure de l’édifice) et absentes à

Bruyère écrivain moraliste qui critique un vice et cherche à en détourner le lecteur Texte B : genre autobiographique mais Victor Hugo écrivain engagé, ici fait part de son indignation : registre polémique et pathétique Texte C : Jacques Prévert poésie engagée, met en évidence comment la misère, la faim peut conduire au crime Domaines d’application : la littérature en général, nécessite donc de recourir à des exemples variés Problématique : rôle de l’écrivain engagé et la force dénonciatrice des

deux modalités au service de l'expression des sentiments. Certains termes manifestent également de l'implication de l'énonciateur qui cherche bien à persuader son lecteur : « Hélas » au vers 14, apostrophe du vers 17. Enfin, s le champ lexical de la religion : « anges », « enfer », « Dieu », « âme », « blasphème », termes utilisés pour suggérer que l'exploitation des enfants est contraire à la volonté de Dieu, que ce travail relève du blasphème puisque l'homme « défait ce qu'a fait Dieu » (vers 19),

princes », Pierre de Ronsard est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée et « officielle » dans le contexte des guerres de religions avec Les Hymnes et les Discours (1555-1564), que l’épopée avec La Franciade(1572) ou la poésie lyrique avec les recueils Les Odes (1550-1552) et des Amours (Les Amours de Cassandre, 1552 ; Les Amours de Marie, 1555 ; Sonnets pour Hélène, 1578). Analyse :