Poésie Fantastique

généralement une meilleure compréhension et amène plus de facilités pour s'identifier à ces auteurs qu'on peut qualifier de « novices ». Mais ce n'est pas tout, l'essai s'appuie sur du réel et sur le monde qui l'entour alors que l'apologue s'inspire du fantastique et du merveilleux ce qui le fait paraître moins sérieux aux yeux du lecteur et l'exclue du monde réel. Il n'est pas rare, par exemple, de voir dans les fables des animaux qui parlent. En outre, l'essayiste, contrairement au fabuliste, écrit explicitement

Nouvelle fantastique Questions: -Qui? Ingrid, le fantôme et moi -Quoi? Apparition d'un fantôme dans la cabane -Où? Dans une cabane en bois au fond du jardin -Quand? Il y a deux ans, la nuit du trente et un octobre Situation initiale: Au dehors, la nuit était froide et humide, mais un bon feu brûlait clair dans le petit salon aux stores tirés. Il y avait deux ans, Ingrid et moi avions le même âge, quinze ans. Toutes deux étions brunes aux yeux noisettes et assez grandes. Nous étions dans

Prinzessin Brambilla). De plus, Balzac se sert de lui, pour créer un « fantastique à la française » et écrira l’épigraphe suivante dans la préoriginale de Sarrasine : « Croyez-vous que l’Allemagne ait seule le privilège d’être absurde et fantastique ? ». Il voulait alors ainsi s’attirer les bonnes grâces de W. Scott, alors critique littéraire et tempérer l’engouement qui existait pour son adversaire allemand. On parle donc de « fantastique à la française », d’une part, parce qu’il est expliqué comme tel

il ne voyait... terres nues ». Les métaphores « épaisseur d'encre » et « terres nues » expriment la désolation des lieux. Celle-ci est renforcée par la négation « aucune ombre » et « l'embrun aveuglant des ténèbres » qui rendent ce paysage quasi fantastique. Émile Zola décrit le personnage avec précision car il connait sa carte d'identité et la destination qu'il compte atteindre: Montsou. On sait également que ce personnage quitte Marchiennes « vers deux heures du matin ». Il est vêtu d »une veste

est considéré comme un remède : « Tu vas prendre froid ! s'écria Alise. Couvre-toi ! — Non, murmura Chloé, il le faut, c'est le traitement. ». L’écume des jours culmine différents types de romans I : Un roman fantastique. * Premièrement, il s’agit d’un roman fantastique. Ce genre est un univers étrange qui ne se plie pas aux logiques du quotidien. Il exprime les inquiétudes et les terreurs. La peur progresse et nous affecte au rythme d’une succession de signes étranges. De plus, l’expression

PROBLEMATIQUE: par quels procedes propres au recit fantastique l'auteur parvient-il a rendre cet extrait attrayant pour le lecteur I. LE RECIT FANTASTIQUE: a) l'immersion d'un fait surnaturel dans un monde réel cet extrait est le recit d'une apparition du diable, il releve donc du surnaturel. Il faut analyser le discours du diable qui donne de la vie au recit b) le recit d'une metamorphose en plus d'une simple appartion que le lecteur pouvait assimiler à une hallucination delirrante du personnage

Morte amoureuse. T. GAUTIER Plan : Le récit rétrospectif support d’une étrange aventure 1. L’apparition des incertitudes 2. la remise en question de la réalité 3. les manifestations physiques du fantastiques La particularité de ce récit rétrospectif réside dans sa capacité à nous restituer avec le plus d’exhaustivité possible, une aventure pour le moins étrange. En effet (connecteur), alors que le personnage principal semble tout à

fait disparaître en un tournemain; ont soufflé sur sa lourdeur, sur sa laideur et me l'on restitué éblouissant et perpétuel". À la suite de quoi l'auteur nous fais remarquer qu'après tout notre corps lui même a déjà une certaine part de secrets fantastiques " il a lui aussi ses caves et ses greniers, il a ses séjours obscurs, il a ses plages lumineuses" ainsi il serait "un corps incompréhensible, corps pénétrable et opaque, corps ouvert et fermé: corps utopique". Notre corps serait donc un mystère

penser que toute littérature améliore si non la société, du moins le niveau des individus qui la composent, en développant le sens esthétique, l’esprit critique, la connaissance de soi. Au siècle dernier, Boris Vian nous entraîne dans un univers fantastique où la matière cicatrise et où les souris parlent aux chats. La fantaisie, l’humour cachent une réflexion plus grave sur un monde violent dans lequel la mort est toujours gagnante. Jusqu’aux romans de science-fiction qui en nous distrayant, nous

lecteur et le personnage principal. Le roman et son personnage nous procurent alors un sentiment d’évasion aussi bien grâce à une histoire très réaliste et crue à la manière de Guy de Maupassant, que par le biais d'histoire incroyable d'un genre fantastique par exemple. Guy de Maupassant choisi dans les dernières lignes de son roman Une vie, de suggérer une réflexion auprès du lecteur : « La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit ». Cette citation nous permet alors de nous