Poésie Intemporelle

« HYMNE A LA BEAUTE » commencer ds l’intro par dire ce qu’est un hymne et garder le parallélisme pour la CCL. I. un chant sacré à la gloire de la Beauté. 1- poésie formelle qui glorifie une certaine idée de la Beauté : - succession de quatrains, alexandrins => strophes traditionnelles. - nombre symbolique, le chiffre 7 représente une forme de perfection inspirée de la Bible. - Une certaine rigidité qui apparente ce poème au Parnasse

faut pour ainsi dire le déduire, comme on fabrique un costume sur mesure. Enfin, mettez en évidence l'enjeu, l'intérêt et l'importance du sujet. => comment comprendre le sujet? Peu importe si la poésie raconte implicitement ou explicitement, ce n'est pas ce qui la caractérise. Dans la poésie l'information est quasi nulle, elle n'a pas pour but un reportage qui informe mais la communication d'une émotion: elle veut cet effet. S'il y a anecdote (petit récit significatif), ce qui compte c'est

de témoignage, parce qu'elle transmet un message, un contenu fort. 1. réalité historique ou ponctuelle. Ronsard, d'Aubigné, Hugo « souvenir de la nui du 4 ». 2. phénomène social : Hugo « Mélancolia », Prévert « La grasse matinée ». 3. réalité intemporelle : souffrance devant la guerre, innocence, injustice. Rimbaud « Le Mal », Prévert « Familiale ». II/ L'écriture poétique peut constituer une arme par la force de son langage. 1. souvent brièveté, concision. Poème forme un tout, raconte une histoire

votre culture personnelle vous amènent-t-elles à partager ce jugement ? La poésie est définie comme un travail sur les mots, un art du langage qui chercher à exprimer ou suggérer quelque chose. Les poètes travaillent sur le langage. Mais ils ont différentes façons de l’utiliser. Beaucoup de poètes ne sont pas engagés. Ils se réfugient dans leur tour d’ivoire et dans leurs jeux de langage. Ils utilisent la poésie pour extérioriser leurs sentiments, notamment avec le registre lyrique, qui se

régulièrement alexandrins et octosyllabes chez Charles Baudelaire ; bref poème en prose chez Yves Bonnefoy. De plus, les textes du corpus diffèrent également par les sujets et les registres. Deux poèmes associent les thèmes de l’amour, de la mort et de la poésie : celui de Labé et celui de Baudelaire. Le premier, où la plainte de l’amoureuse qui souffre et l’évocation de la création musi¬cale poétique sont étroitement mêlées, est un parfait exemple de lyrisme, assombri par l’association à ces deux thèmes

temps ? I/ Le passé et l’origine -Pour avoir conscience du passé, il faut avoir vécu certaines expériences dont celle de la mort, du deuil (cf l’enfant) → d’où les deuils successifs dans LH ? Deuils entraînent sentiment de détresse impuissante : la poésie est alors une façon d’honorer la mémoire des défunts, de leur rendre un ultime hommage (cf p.33 , 3 derniers vers), de maintenir un lien avec eux (cf p.61, 2 derniers vers) -Dans AlaLH : amplification impression de témoignage, de mise à distance

chez les poètes .Eux-mêmes ont choisis d'écrire clandestinement au risque de leur vie pour dénoncer ces atrocités et suscité la réflexion des lecteurs. Les poèmes que j'ai choisis sont tous des poèmes engagés. Malgré les nombreux genres de poésie, la poésie engagé est sans aucun doute ma préféré parce que selon mon opinion dans les autres genres les poètes font des proses sur des faits essentiellement futile ( comme par exemple leurs amours de jeunesse ou bien la nature voir même leurs voyages)

l'attachement à sa Flandre natale et la modernité. À l'évocation sensible de la terre répond l'appel fervent de l'ère industrielle. Visionnaire des masses, mû par l'espoir socialiste, il chante à la suite de Baudelaire, mais sur un mode épique, la poésie des villes et la puissance des masses humaines. Jouissant d'une immense popularité en France et à l'étranger, il est le Victor Hugo des années 1900. Son art redonne au lyrisme des élans longtemps interdits par le symbolisme. Sujet une ville particulière

sur des mètres iambiques, ces poèmes permettent à leur auteur d'invectiver ses ennemis sur des thèmes très variés, allant de la magie à la politique, en passant par la sexualité et la vie à la campagne, tout en faisant ses premières armes dans une poésie lyrique proche de l'élégie. Le recueil est imité d'Archiloque, poète grec créateur du genre (viie siècle av. J.-C.), et de l'alexandrin Callimaque de Cyrène (iiie siècle av. J.-C.), ainsi que, dans une moindre mesure, de Catulle et des Bucoliques

Aliénor D’Aquitaine………………………………………………………………………………………………………………..….…6 3.1. Roman courtois, Le Cycle du Graal…………………………………………………………………………………………….….7 3.3. Une quête mystique………………………………………………………………………………………………………………….….7 3.4. Trobar , une poésie raffinée…………………………………………………………………………………………………….…...8 3.5. Origines et influences…………………………………………………………………………………………………………………...8 3.6. Un troubadour exemplaire : Bernard de Ventadour……………………………………………………………………..9 CONCLUSION…………………………………………………………………………………………………………………………………………12