Poésie Orphique

Jean de La Fontaine A) Sa vie : Jean de La Fontaine nait , sous le règne de Louis XIII, en juillet 1621 , à Château-Thierry, dans une famille bourgeoise. C’est un poète, fabuliste, dramaturge et romancier français . Ses Fables constituent la principale œuvre poétique du classicisme. La Fontaine reçoit une éducation solide puisqu’il pratique le latin ainsi que le grec et aime lire les œuvres d’auteurs modernes . Cette grande culture est retrouvé dans les Fables . A l’âge de 19 ans , ses

pour but de faire une rupture avec leurs prédécesseurs, ils laissent la poésie médiévale pour s’exercer dans leur domaine en français. Ils y prônent l’utilisation du français au lieu du latin en poésie. A ce moment là, ils décident de tenir pour objectif le fait que la langue française devienne moins barbare et «vulgaire». De plus ils remarquent que la langue française est pauvre et n’est pas adaptée à l’expression de la poésie et décident de l’enrichir par le néologisme issu grâce au latin, au grec

confiance en lui, malgré sa jeunesse. Tu ne connais pas Yanek. Stepan : Yanek ? Annenkov : Kaliayev. Nous l’appelons aussi le Poète. Stepan : Ce n’est pas un nom pour un terroriste. (20) Annenkov : Yanek pense le contraire. Il dit que la poésie est révolutionnaire. Stepan : La bombe seule est révolutionnaire. Dora, crois-tu que je saurai t’aider ? Dora : Oui. Il faut simplement prendre garde à ne pas briser le tube. Stepan : Et s’il se brise ? Dora : C’est ainsi que Schweitzer

SIECLE XVIIe SIECLE XVIIIe SIECLE XIXe SIECLE XIXe SIECLE LA PLEIADE Courant poétique formé par un groupe de sept poètes. Nom emprunté à une constellation de sept étoiles 1549-1560 - Création d’une grande poésie en langue française qui puisse rivaliser avec la poésie grecque et latine - Admiration pour l'Antiquité et pour l’Italie (en particulier Petrarque) - poète serviteur de la Beauté. LE BAROQUE Conception artistique née dés la fin du XVIème siècle. Le mot vient du portugais

bouffonne que la verve insouciante et gouailleuse de Don César. Intérêt littéraire Avec cette pièce, Victor Hugo est revenu au vers. Il est beau, tour à tour ample, grave, souple, joyeux, sonore, envoûtant, plaintif. La pièce est transfigurée par la poésie. La reine et Ruy Blas chantent leur enthousiasme, leurs rêves, leur mélancolie, leur amour, avec un lyrisme qui a un grand pouvoir de suggestion. On a retenu la fameuse antithèse par laquelle se définit Ruy Blas : «un ver de terre amoureux d’une étoile»

introduire ici, à l’intérieur de la traduction littéraire, une nouvelle distintion, sur laquelle on aura l’occasion de revenir, cette fois entre la traduction de la prose ( littéraire ou philosophique ) et la traduction de la poésie. En effet, alors que les traducteurs de poésie sont toujours des poètes, meme si, comme Baudelaire pour Edgar Allan Poe, ils traduisent le vers rime en vers libre ou dans une sotre de prose poétique, les traducteurs de prose sont en revanche très exceptionnellement des

esthétique ». Le parti pris des choses, version moderne du De Natura Rerum de Lucrèce, se veut donc à la fois poétique et scientifique. S’inspirant de deux modèles littéraires, la leçon de choses et la fable, Ponge fait naître dans ce recueil une poésie à caractère encyclopédique et didactique avec une finalité évidente : parvenir à une leçon. Ponge avoue d’ailleurs un objectif : faire de son recueil une cosmogonie, construire un discours sur la Nature – divisée en trois règnes : minéral, végétal

L’Art poétique de Verlaine 1874. I) Une poésie didactique : l’art poétique a) Des conseils sur la forme et sur le sens Verlaine donne des conseils au lecteur qui voudrait devenir poète et cela se remarque dans le texte à travers ces différents éléments : → Utilisation de l’impératif : V 2, 17, 21. → Des injonctions ( des ordres): « Il faut aussi que tu n’ailles point », « nous voulons », « Tu feras bien », « que ton vers soit » à deux occurrences. → Utilisation de la deuxième personne du

Œuvres en 1643 chez Toussaint Quinet. Le poète fait paraître, avant son troisième recueil (les Œuvres, Troisième Partie, Toussaint Quinet, 1649), diverses poésies isolées: la Rome ridicule (1643), un Caprice (s.l.n.d, sans doute 1643) et une Épistre héroï-comique (1644). Il faut alors attendre 1658 pour voir paraître le Dernier Recueil de diverses poésies chez Antoine de Sommaville.La variété de l’œuvre poétique de Saint-Amant s’appuie à la fois sur une grande diversité d’inspiration et une grande maîtrise

l’inspiration et le travail prosodique et métrique. Origines de la poésie Le mot ‘poésie’ vient du mot latin ‘poesis’ qui lui-même vient du grec ‘poïeses’ qui signifie ‘création’. Pour les Grecs, le poète qui a d’abord été l’aède(le chanteur, conteur) est le créateur, l’artiste par excellence. A la notion de poésie, il y a une association très vite avec la versification et l’harmonie qui affirme son lien avec la musique. La poésie est quelque chose de très proche à la musique. Mythe de Orphée :