Précarité

l’emploi est très sensible à la conjoncture. Inégalité intergénérationnelles : l’écart entre le taux de chômage des jeunes et celui des non jeunes est d’environ 8% sur toute la période étudiée. 3) La difficulté des jeunes à sortir de la précarité On remarque aussi sur le graphique les différences de variations du taux de chômage en cas de reprise économique : le taux de chômage des jeunes se résorbe moins rapidement que celui de leurs ainés. On peut imputer ce phénomène à la multiplication

contre 7,7 % des hommes (au seuil de 50 % du revenu médian). Cette précarité est plus grande après 75 ans où 1,5 fois plus de femmes que d’hommes sont pauvres. Cela s’explique par le fait que les femmes vivent plus longtemps et qu’elles ont moins souvent occupé un emploi. Elles perçoivent des pensions très inférieures en moyenne. Les jeunes femmes de moins de 30 ans sont aussi plus nombreuses que les hommes à connaître la précarité. Il s’agit notamment de mères célibataires avec de faibles revenus

remarque qu’entre 1982 et 1999, la part des ménages possédant 2 emplois stables est passée de 1/3 environ (32,8%) à ¼ (25%). Par ailleurs, la part des ménages où il n’y a aucun emploi stable a doublé sur la même période, passant de 10,4% à 21,4%. La précarité des emplois augmente même si sur 100 ménages, plus des 2/3 (53,5+25 = 78,5%) ont au moins un emploi stable à temps plein. 5. Le développement des emplois instables peut expliquer en partie le renforcement des inégalités de revenu et de patrimoine

sont devenus plus rares parmi les personnes âgées (moyennant quoi, à l'âge de 80ans, on dénombrait en 1970, 38% des ménages pauvres alors qu'aujourd'hui seul 2,8% des hommes et 5,7% des femmes de plus de 75ans sont pauvres). Tandis que chômage et précarité obligent, leur nombre s'est envolé chez les jeunes ( en France, 23% des jeunes sont pauvres). Les autres types de ménage particulièrement exposées au risque de pauvreté sont les personnes isolées, les familles mono-parentales et les familles

tranches d’âge, est significative de la dégradation de l’emploi depuis les années 1970. Mais elle montre comment un taux moyen peut masquer des réalités très différentes. La majorité des jeunes peu qualifiés savent qu’ils passeront par le chômage et la précarité avant de pouvoir s’intégrer dans la vie professionnelle. Le niveau actuel du chômage a des répercussions qui vont au-delà des niveaux de vie : difficulté à se stabiliser, trouver un logement, partir en vacances, s’établir en couple, etc. Dans les

Alternatives économiques). De plus, la mondialisation économique et financière provoque la destruction et la délocalisation des industries et des services, une baisse des salaires, une dégradation des conditions de travail, du chômage ainsi que de la précarité et accroît par ailleurs les inégalités Nord/Sud. La mondialisation pose donc un débat sur la question du rôle de l'Etat qui est cruciale. 2) Comme autre modèles à notre mondialisation : * Il y a le mouvement des altermondialistes , qui se battent

débutant), l’auteur aboutit à une série de sept expériences « idéal-typiques », c’est-à-dire modélisées, construites théoriquement, qui (l’auteur insiste bien sur ce point) ne sauraient être confondues avec la réalité. L’enjeu de ces expériences de la précarité porte sur la construction de l’identité par ces personnes, et la négociation de leur statut. On peut d’abord repérer les « fragiles », qui connaissent un éloignement de la sphère du travail, mais peuvent espérer une réinsertion : il s’agit d’un

Pour conclure, le narrateur nous montre que la saleté, la pauvreté et la mort caractérisent ce bidonville, contrairement à ce qu’il s’était imaginé. En quelques sortes, bien que le roman soit récent, la question du mal-logement et de la précarité domine encore, surtout dans les pays pauvres. Ce texte pourrait, en plus des médias, faire prendre conscience aux gens que, dans le monde, des populations vivent quotidiennement dans des bidonvilles, autrement dit dans l’insalubrité permanente.

sentons concernés par les problématiques économiques et sociales. Nous sommes les adultes, les travailleurs et les retraités de demain. Aussi, nous défendons et nous faisons valoir nos droits lors de manifestations. Nos inquiétudes vis-à-vis de la précarité des emplois, du chômage, et de la réforme des retraites sont réelles. En somme, nous pouvons dire que nous sommes loin d’être dépolitisés. Au contraire, plus informés, plus critiques et plus exigeants, nous attendons de nos chefs d’états, plus

nombreuses et varient selon la couleur politique. Ainsi, les sympathisants de droite invoquent surtout des facteurs économiques et sociaux avec notamment la crise économique, le chômage des jeunes qui créent en eux un sentiment de frustration et la précarité de certains quartiers. En revanche, les sympathisants de gauche citent davantage des facteurs qui renvoient à l’autorité comme le manque d’autorité des parents sur leurs enfants et le recul de certaines valeurs morales dans notre société. II)