Premier Choc Pétrolier

 V.M.C DOUBLE FLUX Charles PETOIN et Tristan BOISSOUT Introduction Avant le premier choc pétrolier, l’isolation des habitations n’était pas une obligation. La ventilation était alors tout à fait aléatoire puisque l’air entrait et sortait un peu partout ! Aujourd’hui, en renforçant l’isolation, il devient plus important de ventiler un logement afin : d’éliminer les odeurs et polluants intérieurs, de renouveler l’air que l’on respire, d’éliminer la vapeur d’eau accumulée dans l’air

village « important » a sa « coopé » où l’on y trouve des fruits, des légumes mais aussi des ustensiles de ménages, de la vaisselle, de l’habilement. La majorité des achats de la vie quotidienne se font à l’intérieur même du village. Avant le premier choc pétrolier, la croissance rapide du niveau de vie détache les classes moyennes mais aussi une large partie des milieux populaires de l’alimentation rurale traditionnelle. Nous obervons que les plats « vrais » en France sont issus des cuisines régionales

le volume de la production, les prix, le chômage, etc. Les fluctuations économiques peuvent-t-elles trouver leur origine dans les chocs de demande ? Dans un premier temps, l’analyse portera sur les fluctuations de l’activité économique en générale puis sur l’explication de ces fluctuations économiques notamment à travers la notion de choc de demande. La croissance économique est un phénomène cyclique et instable. Elle suit une tendance de long terme, relativement régulière, appelée « le trend

le secteur de la presse est en crise. Plus particulièrement les quotidiens nationaux. Si les symptômes de cette mauvaise santé se font ressentir depuis l’après guerre, le début des années 70 est le véritable déclencheur, suite notamment au premier choc pétrolier (1973-1974) qui va entraîner une très forte augmentation des coûts de production papier et par la même occasion une hausse du prix de vente. Depuis les années 80, la crise qui frappe les quotidiens nationaux ne va pas décroître, entraînant

Seconde Guerre Mondiale, dans les pays développés les fluctuations de la production sont nettement atténuées : les taux de croissances restent toujours positifs et les « récessions » ne désignent que quelques ralentissements de l'activité. Le premier choc pétrolier (73-74) est marqué par des récessions en 74-75 et 80-82 sans que l'on puisse parler d'un retour à l'identique du cycle majeur. Le cycle de Kitchin : dure environ 3 ans. Il affecte de nombreuses branches, s'observe à partir de l'activité

Israélo-arabe a permis aux économies mondiales de valoriser davantage cette matière. Avant cette date, le pétrole bien que déjà produit et consommé profitait surtout aux puissances industrielles d’alors dont l’essor économique en dépendait. Suite à ce premier choc pétrolier de 1973, le paysage monétaire et financier international a changé. En effet, certains pays producteurs (les pays du golfe et l’Algérie en l’occurrence) parviennent à retenir une partie non négligeable de la rente pétrolière. Ceux de l’Organisation

électrique produite cette année-là l’a été à 91 % depuis des centrales hydrauliques, à 3 % grâce à l’éolien, à 2% en utilisant le bois et en moindre quantité à l’aide de l’énergie solaire. Malgré tout, l’Hexagone est le meilleur élève européen puisque premier producteur d'électricité renouvelable. Désireux de s’engager plus concrètement dans l’exploitation de la biomasse, le gouvernement a fixé un nouveau tarif afin de rentabiliser la production d'électricité en usant de cette énergie renouvelable : le

production des pays du Moyens Orient et de l’Afrique du Nord passera de 29Mb/j en 2004 à 50 Mb/j en 2030 (le taux d’approvisionnement passera de 35% en 2004 à 44% en 2030). • Les transports : un secteur très dépendant du pétrole : Apres le premier choc pétrolier de 1973, plusieurs pays ont pris des mesures pour diminuer les parts du pétrole dans l’énergie consommée. La France a réussi à réduire de moitié la consommation du pétrole entre 1973 et 2003, c'est-à-dire de 68% à 34% ceci au bénéfice du

développés. La lutte contre l'inflation est l'objectif de stabilité des prix est l'objectif principal. Plusieurs causes: - Choc sur l'offre des biens peut avoir pour origine une trop forte augmentation des salaires, ce choc peut également venir d'une augmentation de la fiscalité; enfin ce choc peut venir d'une inflation importé comme par exemple lors du premier choc pétrolier de 1973, donc d'une forte augmentation. - Demande si on croit à la théorie keynésienne, l'inflation par la demande peut survenir

ralentissant le commerce international. La crise de 1929 durera en fait jusqu'en 1932 dans certains pays européens et provoquera une forte hausse des prix (inflation) et du chômage. Une croissance exceptionnelle de la fin de la guerre au premier choc pétrolier de 1973 (« les Trente Glorieuses ») • Des années 1950, au milieu des années 1970, les pays industriels connaissent une période de forte prospérité économique, aussi appelée « Trente glorieuses » par l'économiste Jean Fourastié. Cette période