Premier concile de Nicée

matière de détournement culturel. On l’accuse, non sans raison, d’indélicatesses, de fausses citations. Voltaire forge aussi des textes pour les besoins de sa cause, comme semble-t-il le discours d’Osius admonestant les évêques avant la réunion du concile de Nicée (« Arius ») et le credo de l’abbé de Saint-Pierre qui porte son estampille (« Credo »). Ces considérations conduisent à la prudence et à la modestie quand il s’agit d’apprécier la présence du « déjà dit » dans le DP. La vigilance critique doit

seront par exemple marquées par la construction des premiers sanctuaires chrétiens dans tout l'empire. Arc de Constantin, construit par le sénat en l'honneur de sa victoire au pont Milvius et de son decennalia. Vers 324-25, l'empereur réunira les évêques pour le concile de Nicée, qui définira l’Église orthodoxe. L'empereur est le chef de l’ Église et, par tradition, l'évêque de Rome est nommé Pontifex Maximus (Pape), soit le chef spirituel. Ce concile met en place le Credo Orthodoxe et définie par la

elle s’adresse à tous les peuples. Cette religion est issue du judaïsme. Les Juifs suivent l’ancien testament : la Bible hébraïque (le peuple juif est au départ un peuple nomade : les hébreux). Dans cette bible héabraïque, il y a la torah : les 5 premiers livres dont la Genèse qui explique la création du monde en 6 jours et l’Exode qui décrit Moïse avec les 10 commandements et qui a libéré les juifs qui étaient esclaves en Egypte pour les amené en Palestine pour fonder Jérusalem. Cette bible hébraïque

d’ailleurs dans d’innombrables mythes tels celui d’Osiris qui les pèse en qualité et leur assigne une destination. Ainsi les grecs et Platon en particulier développèrent l’idée de vie posthume et du Corps Trinitaire dont l’âme serait immortelle. Le Concile de Nicée fera la synthèse en 325 de notre ère et ira plus loin encore en introduisant le principe d’une résurrection terrestre de la chair dans le Canon Chrétien que l’on retrouve par exemple dans les paroles du Credo3. Appréhender l’Immortalité L’immortalité

youtube.com/watch?v=utBUN1VxyRU&feature=related SURVOL DE L’HISTOIRE DU DIVORCE ET DU REMARIAGE DANS L’ÉGLISE Rév. Ernest W. Keefe SURVOL DE L'HISTOIRE DU DIVORCE ET DU REMARIAGE DANS L'ÉGLISE l. L'ÉGLISE AU COURS DES CINQ PREMIERS SIÈCLES A. LA PLACE ÉLEVÉE DU CÉLIBAT Deux concepts des Pères de l'Église qui ont marqué cette époque étaient la place élevée du célibat et leur position sur le remariage. Ceci ne veut pas dire que les Pères étaient unanimes dans leurs

Mathieu et Luc, n’indiquent pas particulièrement cette date). A la même époque vivait un évêque du nom de Nicolas en Lycie (côte sud de l’actuelle Turquie) : on connaît bien peu de chose de l’évêque de Myre, Nicolas. Sa participation légendaire au concile de Nicée qui fixe le credo chrétien est bien incertaine. Mais sa légende après sa mort, et la proximité de sa fête, le 6 décembre, de celle du solstice, feront plus tard de Saint Nicolas un personnage incontournable de la fin de l’année. Deuxième étape

Les premiers rois Mérovingiens Commentaire de texte : Lettre de Saint Remi à Clovis (vers 481 ou 486) Et le récit de Grégoire de Tours, Histoire des Francs (Livre II,87-88) « Adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré… » voilà tout l’enjeu de l’œuvre de Saint Remi qui avait pour but de convertir le roi païen franc Clovis et tout son peuple avec lui. La lutte contre le paganisme et l’arianisme trouve son répondant dans ce prêche prononcé par l’évêque Saint Remi lors du baptême

et le Décalogue. Le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome : fixent les lois de la religion juive. Doc 2 p 36 : Le Décalogue Pouvez vous distinguer des catégories au sein des 10 commandements ? Portent-ils tous sur le même sujet ? Les trois premiers commandements fondent le caractère monothéiste du judaïsme. (“Tu n’auras pas d’autre dieu que moi…tu ne te prosterneras pas…tu ne prononceras pas…”) Le quatrième commandement instaure le rite du sabbat (jour chômé). Les 5 autres commandements fixent

qu’à partir du XVIIIe siècle.  Prudentes (ceux qui connaissent le droit) = juristes romains A. Les origines de la jurisprudencia. Avant la fin du III siècle il y avait un lien très étroit entre le droit et la religion : sous la République les premiers interprètes du droit étaient des prêtre. Le Collège recrutait des patriciens ; ces pontifes connaissaient le calendrier mais ils connaissaient aussi les anciennes formules du JUS ; et c’est la raison pour laquelle pendant longtemps l’interprétation

car elle ne s’impose pas de façon obligatoire, mais il arrive que la doctrine inspire le droit. Ces sources existent depuis l’antiquité, mais n’ont pas toujours eu la même importance respective. Au Moyen-âge, on considérait que ce qui arrivait en premier était la doctrine, puis la coutume, puis la jurisprudence, et enfin, la loi. Aujourd’hui, le droit anglais et le droit américain considèrent que la jurisprudence est plus importante que la coutume, elle-même plus importante que la loi et la doctrine