Première guerre civile libyenne

l'Atlas, comme Jendouba, avant de toucher le Sud tunisien pour enfin gagner la capitale, Tunis. Le président Zine el-Abidine Ben Ali, en fonction depuis 23 ans, intervient trois fois à la télévision, sur la chaîne publique Tunisie 7 ; lors de sa première intervention, le président menace les causeurs de troubles de terribles sanctions et accuse les médias étrangers. Lors des deux dernières interventions télévisées, Ben Ali adopte un ton plus calme et promet du changement et notamment la liberté d'expression

discours télévisé de Mouammar Kadhafi et exigé des autorités libyennes «l'arrêt des violences contre leur propre peuple», ajoutant que dans le cas contraire l'Allemagne «réfléchirait à des sanctions». 19h10. Un des trois avions envoyés par la France pour rapatrier ses ressortissants de Libye n'a pas pu atterrir mardi à Tripoli et a dû être dérouté vers Malte, a-t-on appris de source diplomatique. 19 heures. Catherine Ashton appelle tous les Libyens «à la retenue». La chef de la diplomatie européenne a

LE PREMIER MINISTRE LIBYEN DÉMIS DE SES FONCTIONS : Intro : PLAN : I / L’instauration des valeurs démocratiques en Libye : ( ANTOANETA ) Après la Seconde Guerre mondiale, la France et la Grande-Bretagne se partagent le contrôle de la Libye et elle est, grâce à l'ONU, la première colonie d'Afrique à accéder à l'indépendance en 1951. Le 24 décembre 1951, le roi Idris Ier proclama l’indépendance du royaume de Libye. La Libye rejoignit la Ligue arabe en 1953 et les Nations unies en 1955

GEOPOLITIQUE DU TCHAD SOMMAIRE Introduction A. Le contrôle du pouvoir : une dynamique «Nord-Sud» suivie d'une opposition Nord-Nord 1. Différences géographiques et ethniques 2. Origines du conflit 3. Le déroulement de la guerre civile B. Economie tchadienne : entre difficultés et espoirs pétroliers 1- Défis de l’exploitation pétrolière a) Présentation de la situation pétrolière b) Indépendance énergétique et perspectives de développement c) Relance du

C:\Users\Nicolas\Pictures\globe.pngTPE : CRISE ET PROGRES TPE :Crise et progrès Problématique : En quoi les multinationales alimentent-elles des conflits dans les pays du Tiers-Monde. Introduction : Étude de trois cas: - Guerre civile au Congo - Guerre en Irak - Guerre en Libye Causes des conflits commerciaux liés aux multinationales A. Ressources convoitées par les multinationales 1° Le Coltan (minerais) pour le Congo 2° Le Pétrole pourl’Irak 3° Le Gaz et le pétrole pour la

La Libye est un pays de l’Afrique du nord, bordée par la mer méditerranéenne, c’est le 4eme plus vaste pays africain elle possédé des frontière avec 6 pays africains (l’Algérie, La Tunisie, l’Égypte, le Tchad, le Niger et le Soudan). Le territoire libyen a une superficie de 1 759 540 km carré, la population est d’environ 6 millions 200 mille habitant (2008). La Libye est divisée en trois grandes régions géographiques la Tripolitaine (région agricole) occupant l’Ouest du pays, Le Fezzan (région désertique)

2003-2004 par George W. Bush et son gouvernement: il s'agissait de promouvoir la démocratie et les valeurs occidentales dans tout le monde arabe et musulman, au besoin par la guerre. Les Etats-Unis étaient à la pointe de ce combat, comme ils l'avaient fait avec succès en Allemagne et au Japon au lendemain de la seconde guerre mondiale et comme ils allaient le faire en Irak, où le régime de Saddam Hussein venait d'être renversé par la force. Et le mouvement devait se répandre tout naturellement dans

assurer leur protection, en Haute-Egypte surtout. Cela dit, le gouvernement d’Al Sissi répond d’une main de fer et a rétabli un certain ordre, au prix de milliers d’emprisonnement, plus ou moins arbitraires souvent. * les armes des stocks libyens se sont disséminées dans le Sahel tandis que les mercenaires que Kadhafi avait engagé dans la région sont repartis dans leur pays d’origine, en particulier le Mali, où ils ont créé une nouvelle menace. Le Mali s’est retrouvé

via son conseil de sécurité se saisissent du dossier pour adopter une résolution condamnant le régime de Damas et autorisant éventuellement une intervention armée aux façons irakienne et libyenne sur la base d’un droit d’ingérence dit humanitaire controversé et son corollaire du principe de protection des civils. Devant la recrudescence de violences du régime bassiste face à une opposition dite syrienne, les pays occidentaux et du golfe prennent l’initiative d’introduire en octobre 2011 et en février

force en cas de violation. En Irak, à l'issue de la guerre du Golfe, les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France avaient pris une décision plus contestée au plan du droit international, car adoptée hors du chapitre VII. Le secrétaire général, Boutros Boutros-Ghali, s'y était opposé. En vue de la protection des populations kurdes et chiites, les trois pays avaient décidé de deux zones d'exclusion successives, en 1991 et en 1992 : la première au nord du 36e parallèle, protégeait notamment la région