Premières Nations

habitants de tous les pays ont eu les yeux rivés sur Londres, unifiant le monde d’une façon que seul le sport est capable de créer… Tout en le laissant divisé, chacun supportant une nation. Les Jeux Olympiques modernes, créés en 1896 par le Baron Pierre de Coubertin, sont, en effet, le lieu de rencontre d’une majorité de nations pendant quinze jours. Ils ont pour caractéristique de prôner la neutralité, à savoir un caractère apolitique et areligieux. Cependant, ils sont un des rares évènements mondiaux

traits, contrairement aux Hutu qu’ils considèrent comme inférieurs. Ils en déduisent ainsi que les Tutsi, qu’ils appellent les « nègres blancs » auraient une ascendance plus proche des Européens. Les Belges qui héritent de cette colonie après la Première Guerre Mondiale décident de se reposer sur les Tutsi pour leur administration coloniale. Les Tutsi ont donc, seuls, accès aux études et à la gouvernance tandis que les Hutu et la petite composante des artisans Twa sont cantonnés aux activités subalternes

Qu’Est-ce qu’une Nation ? Formule de Ernest Renan. Il répond « C’est un plébiscite de tous les jours » C’est un vouloir vivre collectif, c’est une communauté suffisamment homogène pour former une entité homogène On partage les mêmes valeurs donc on vit ensemble de manière pacifiée. C’est un regroupement d’individus qui partagent les mêmes valeurs. Cette thèse de la nation, c’est la thèse spirituelle et subjective de la Nation. Ce sont les valeurs, l’état d’esprit qui forment une Nation. La théorie

est liée à l’armée car elle est liée au sol, au territoire. La patrie est la terre des pères et cela sous-tend que les patriotes sont donc des frères. La patrie est un terme plus politique de nation car ce sont souvent les élites politiques qui en appellent au peuple pour défendre la patrie alors que la nation est liée au sentiment d’être un peuple, un ensemble de citoyens aux valeurs et à l’histoire communes. Les élites sont une minorité dirigeante qui a de l’influence sur le pays, sur les masses

l’apprentissage de la citoyenneté » et le bouleversement des rapports sociaux -la première partie de l’ouvrage se termine par un chapitre consacré à « la Révolution française et l’Europe ». -elle souligne que la Révolution française est la première à légiférer pour l’universalité des hommes. Mais est-ce que cet acquis justifie *le* mythe de l’exception française et la vocation messianique impartie à la Grande Nation ? -mais avant de porter un jugement l’auteur donne une définition du mot révolution

SPC 15-03-2010 processus de construction de la nation Différentes définitions de la citoyenneté, présentation canonique de Marshall avec un point de vue développementaliste, dimension civile de la citoyenneté au XVII, politique au XVIII-XIX et sociale au XIX-XX. Ethnocentrisme de Marshall, avec la citoyenneté en grande Bretagne, sa théorie ne valait pas pour l'Allemagne(avec le stratagème Bismarckien ni pour l'Espagne car la dimension sociale s'est dvp avant la dimension politique de la

1799 les doctrines de souveraineté nationale et de souveraineté populaire sont définies (en référence à Rousseau et Voltaire). Ensuite en 1791 est rédigée la première constitution française reprenant les principes de la souveraineté nationale et c’est à partir de ce moment là que le peuple détient la souveraineté nationale même si la Nation ne comprend que les personnes pouvant payer le cens. Par la suite, la constitution de 1958 reprend les principes de la souveraineté et définit que « la Souveraineté

métaphore va être filée (elle se poursuit) dans tout le premier paragraphe jusqu’au mot « guérir » , on a en effet le champs lexical de cette maladie et l’intrusion de termes médicaux comme « convulsive » « plaie profonde » et le verbe « guérir », la nation serait le corps malade, ce terme apparait à la ligne 2 « corps politique », ligne 9 « elle trouble ». La guerre est un état maladive anormal tandis que la paix serait un état normal donc symbole de santé. Ligne 2 le mot santé s’oppose au mot maladie

au roi avait pris l'habitude de se placer à droite de l'hémicycle, tandis que ses opposants s'installaient à gauche. Ce positionnement droite/gauche au sein de l'Assemblée nationale est demeuré, même après la fin du monarchisme, hormis pendant la première Assemblée nationale structurée en "gironde", en bas, (députés proches du pouvoir) et en "montagne", en haut (députés de l'opposition). Politiquement, le terme "droite" désigne des courants ou partis mettant en avant la rigueur morale et un certain

trouve limitée ». II- LA NATION La nationalité est un lien juridique qui unit les individus composant une population à un Etat. Ce sentiment d’appartenir à une communauté caractérisée par une identité collective, c’est ce que l’on peut appeler la nation. Il existe 2 conceptions : Une conception allemande : la nation repose sur des éléments objectifs comme la langue, la religion, la culture qui traduit l’appartenance à une communauté. Fichte, dans ses Discours à la nation allemande (1807-1808), insiste