Prémisse

donc vigilant (e) ! 2. Exposé des faits pertinents auxquels se réfère explicitement ou implicitement la question posée (Adage juridique : Da mihi factum dabo tibi jus – ie "donnemoi les faits et je te donnerai la règle de droit" - Première prémisse de votre raisonnement). 3. Formulation en une phrase d’une question permettant de passer de l’étape précédente (n°2) à l’étape n°4 qui suit. Exemple tiré d’un cas pratique. Question n°3: « La décision du maire est-elle légale ? » Voici la

s’articule de la façon suivante : si les prémisses sont vraies, alors la conclusion doit être vraie. Les prémisses, pour l’indictiviste, sont forcément issues de l’observation. Le point de vue inductiviste est ensuite critiqué par Chalmers. Il expose le problème de l’induction par deux points : la logique et l’expérience. La logique ne permet pas de justifier l’induction car dans un raisonnement déductif si on se base sur des arguments inductifs les prémisses peuvent être vraies et la conclusion ne

Le droit est le lieu de cristallisation par excellence des idées politiques, par conséquence il n’est absolument pas neutreLa réflexion sur les institutions a quasiment disparu, le model institutionnel n’est pas mis en question Chapitre 1 : LES PREMISSES DU LIBERALISME POLITIQUE AU XVIIe SIECLEL’entré en modernitéEssayer de comprendre les systèmes (XIIe siècle) politiques traditionnelles pour comprendre la contestation du XVIIe siècle, pas de basculement extrement rapidePlus au moins partager dans

et de l’homme sont aujourd’hui très avancées, philosophes et scientifiques se posent des qs sans rep. D’ordre éthique notamment. La démonstration 1) La logique, science de la démonstration * Un raisonnement bien formé Faire dériver de prémisses admises une ccl nécessaire : il faut que le raisonnement qui y conduise soit bien formé. Qs : cmt le raisonnement est bien formé ? Logique→ en établit les critères et les conditions. Aristote = 1er au -4ème s. à tenter de construire la logique.

aller des effets pour remonter à la cause, ou une analyse dans laquelle on va de cas particulier pour remonter à une loi générale. Dans le cas d’un argument, par induction, la conclusion ne découle pas nécessairement des prémisses; sa conclusion a un contenu qui dépasse les prémisses, et donc l’argument n’est pas valide. Les scientifiques s’appuient sur des raisonnements inductifs dans la mesure où ils se fondent sur cette méthode à chaque fois qu’une prédiction se fait. Par exemple, en observant 1000

Aristote, “Savoir, c’est connaître par le biais de la démonstration”. Pour lui, seule la démonstration permet d’assurer que les propositions sont nécessairement vraies. Démontrer permet d’établir de façon rigoureuse la vérité d’une idée à partir de prémisses reconnues ou admisses comme vraies. Il faut alors se demander si on peut tout démontrer ou non. Pouvoir signifie être capable d’accomplir ou de faire quelque chose, comme une démonstration par exemple. Mais alors quels sont les procédés qui peuvent

énoncés contradictoires ne peuvent être ni simultanément vrais, ni simultanément faux. Le syllogisme, objet central de la logique d’Aristote, est un enchaînement de trois propositions, la dernière (ou conclusion) étant déduite des deux premières ou prémisses (la majeure et la mineure). On peut représenter un syllogisme par des cercles emboîtés. Il existe différents types de syllogismes. Exemple : Majeure Tous les hommes sont mortels Tout B est C Mineure Socrate est un homme A est B Conclusion

déterminés par le MT. Tout raisonnement concluant est composé de trois termes (PT, MT et GT), de deux prémisses, les deux premières propositions : celle qui comporte le prédicat est appelée majeure, celle qui comporte le sujet mineure. On peut poser : PT = A, GT = B, MT = C. Formalisation : Si tout C est B et si tout A est C, nul A n’est B. Deux règles à respecter : Dans l’une ou l’autre prémisse, le MT doit être pris au moins une fois de façon universelle, une fois de façon affirmative. Ex : |Nul

aussi découvert le raisonnement dialectique, l'enthymème [51]. Les prémisses utilisées sont celles auxquelles recourt la dialectique ; elles sont constituées d'opinions généralement acceptées, c'est-à-dire de ce qui est vraisemblable [52]. Le but de la persuasion est alors non pas de prouver la vérité de la conclusion à partir de celle des prémisses, mais de transférer sur la conclusion l'adhésion que l'auditoire a accordée aux prémisses. Selon Aristote, la rhétorique, tout comme la dialectique, n'a

structure de la méthodologie ou bien être supervisé par un auditeur expérimenté du service Audit Interne qui est en quelque sorte un chef de mission à temps partiel. Ce dernier assure l’orientation, la critique des travaux et la synthèse. III- Les 3 prémisses de la méthodologie de l’audit interne : « L’essentiel d’une mission d’audit consiste à examiner les composants de l’organisation et les conditions de fonctionnement d’une activité déterminée, pour les comprendre et identifier les risques et opportunités