Prémisse

grande + e grande moyenne petite ... ... (R1) s : petite (R2) s : petite ... moyenne + grande + ... ... ... ... (R3) s : petite ... (R4) s:moyenne (R5) s:moyenne ... ... ... ... ... ... Remarques : « SI (e) est petite » : constitue une prémisse de la règle « ET »: est appelé opérateur de conjonction « ALORS (s) est petite » : est appelé implication (conclusion) de la règle La liste des règles est appelée base d’inférence (inférence : opération logique par laquelle on admet une proposition

– Jamais de titre • Entrée en matière • A la ligne • Présentation : • au minimum, références précises du texte • A la ligne • Problématique (enjeux) • A la ligne • PLAN • Saut de ligne (s) • Si possible, entrée en matière (prémisses, « amorce »…) • Situer le texte dans son contexte : socio-historique, culturel : mouvement littéraire, genre… A la ligne • Présentation : • au minimum, références précises du texte. • Puiser dans le paratexte. • Si vous connaissez le texte

(F-GB) posit° de faiblesse. E-U rentre en guerre, aider les Alliés. Europe perd sa force et GB. Métroples posit° défense. Nazistes exterminent juifs.→ nationalistes (Indes) profitent dla crise pour intégrer Nations unies. •Nations unies sont les prémisses de ONU. E-U et R-U y pensent dps 1941 pour assurer paix et sécurité.Promot° des valeurs dla démocratie en guise d’arguments à la fin colonisat° Empire des Indes. •Empire des Indes→ colonisat° à indépendance en 1947 •Indépendance négociée entre

CONTENU1. INTRODUCTION (1000 mots)2. METHODOLOGIE ET PRESENTATION DU CORPUS BRUT (1000 mots) 2.1. Le péritexte journalistique et le genre rédactionnel du Corpus 2.2. Pour une approche sémantico-pragmatique3. CADRAGE THEORIQUE (1300 mots) 3.1. L’humour : L’analyse d’un jeu sur l’échiquier subjectif et énonciatif 4.1.1. L’incongruité 4.1.2. La distance 4.1.3. L’ambiguïté 4.1.4. L’ambivalence 4.1.5. La connivence 4.1.6. La bienveillance 4.1.7. Le ludisme. 3.2. L’humour et l’argumentation dans

limiter le privilège avant qu’il n’existe ? ... Ce serait un effet sans cause" et ainsi la "regulation était un correctif au privilege" et pas le contraire. [P-J Proudhon, System of Economic Contradictions, p. 371] Comme Polyani l’explique, les premisses néo-libéraux sont faux, parce que l’intervention de l’état "s’occupe de certains problèmes surgissant des conditions industrielles modernes ou, en tout cas, dans la méthode qu’utilise le marché pour les traiter." [ Karl Polyani, Op. Cit., p. 146

absolue et éternelle aux vérités et aux valeurs actuellement incontestées, mais cette attitude, si elle peut présenter quelque avantage dans l'action, a peu de chances de favoriser une discussion. En ef fe t , l 'interlocuteur peut adhérer aux prémisses de l 'argumentation, et il ne sert à rien d'enfoncer des portes ouvertes ; ou bien il peut contester le point de départ, et il est indispensable, si l'on veut con­ tinuer la discussion, de ne pas considérer comme acquis un con­ sentement qu'il

ensemble fini d’observations particulières à une conclusion générale, et qui n’est pas de nature démonstrative […] Il y a différentes formes d’inférences inductives, mais la principale est l’induction énumérative (ou ‘baconienne’), qui part de la prémisse qu’un phénomène a toujours suivi un autre jusqu’à présent, et conclut que ces phénomènes seront toujours associés dans le futur » Source : Tiercelin, C. 2004 Définition 2. Induction, abduction Processus consistant à inférer des lois générales

laquelle on passe de plusieurs propositions considérées en elles-mêmes à une proposition nécessaire qui en est la conséquence – comme dans le syllogisme : Tous les hommes sont mortels, prémisse majeure ; Socrate est un homme, prémisse mineure ; Socrate est mortel, conclusion ( le moyen terme est « homme » - si les prémisses sont vraies, le syllogisme est vrai ; la forme du syllogisme est rigoureuse mais pas toujours vraie par exemple : « certains animaux ont des ailes or la vache est un animal donc la

points de départ appelés prémisses. Cela signifie que la solidité de la démonstration repose ultimement à la fois sur la valeur de ses points de départ et sur celle des règles logiques. Or, celles-ci ne sont pas elles-mêmes démontrables tout simplement parce que si on voulait les démontrer, il faudrait les utiliser puisque toute démonstration les emploie, ce qui supposerait qu'elles soient déjà démontrées ! Mais il n'y a pas que ces règles qui soient indémontrables : les prémisses de certaines démonstrations

et sur le châtiment de celle-ci. Nous pouvons dés lors nous demander d’où provient cette mauvaise conscience ? en quoi serait-elle un déchirement intérieur de l’homme ? et enfin nous nous demanderons si Nietzsche n’écrirait pas au XIXe siècle les prémisses de la philosophie contemporaine. Ainsi nous étudierons dans un premier temps la nature primitive de l’homme confronté à la société, avant d’élucider les conséquences de cette confrontation, et enfin nous verrons si Nietzsche n’écrivait pas en son