Première Personne Du Singulier

aller avec les bateaux qui prennent le large. Le narrateur est uni à la ville et il y a une personnification de Marseille qui est son interlocutrice. Il entretient un rapport intime avec celle-ci. En effet il utilise son nom et la deuxième personne du singulier pour s'adresser à la ville. Il est dans un rapport d’attente, de demande, il utilise l’impératif, la supplication et le conditionnel. Il est aussi dans un rapport de frustration car ce qu’il espère est impossible. Enfin le poème se clôt sur

marque de la première personne  « je respire ; je vois ; mon âme… » + vocabulaire des sentiments avec «  heureux » + lexique de la beauté et de la joie «  chaleureux, éblouissent, savoureux, vigoureux, charmants… » Présentation d’un procédé :  « des arbres singuliers et des fruits savoureux » : les deux adjectifs  mettent en valeur le paradis baudelairien : l’exotisme (« singuliers ») et la sensualité (« savoureux »). L’équilibre et le parallélisme du vers 6 : « Des arbres singuliers et des fruits

Il s'implique dans sa plaidoirie en utilisant beaucoup d'indices personnels à la première personne du singulier « Je viens » (l.1) « j'avais prescrit » (l.3) « j'avais pris plaisir » (l.8). Molière montre par cela l'égocentrisme des médecins. Il commence d'ailleurs son discours en commençant par « Je ». Monsieur Purgon parle tout le temps de lui, en commençant toute ses phrases par la première personne du singulier. Il coupe Argan dans son discours pour pouvoir reporter l'attention sur lui. Pour

béatitude, | | |et je vais être enfin, par votre seul arrêt, | |960 |heureux, si vous voulez, malheureux, s’il vous plaît. | Etude succincte de la première tirade de Tartuffe. Qu’y a-t-il d’intéressant à commenter dans ce passage à propos 1°) du lexique ? 2°) de l’énonciation pronominale ? 3°) de la rhétorique hyperbolique ? 1°) Lexique habilement mêlé de la déclaration amoureuse, du corps ou du

qu’on lui désobéisse « Julien pensa qu’il était de son devoir d’obtenir que l’on ne retirât pas cette main quand il la touchait. ». En effet s’il ne parvient pas à avoir cette main il sera inferieur même ridicule ce qui est inconcevable pour une personne comme lui. Donc il se prépare mentalement pour cette rude épreuve. D’ailleurs, ici on retrouve une intervention de l’auteur « L’idée d’un devoir à accomplir, et d’un ridicule ou plutôt d’un sentiment d’infériorité à encourir si l’on n’y parvenait

REPONSES AUX QUESTIONS 1) Déterminons l’énonciateur de chacun de ces trois textes. - Le texte A «  Des cannibales » est l’extrait de « les Essais » qui sont un œuvre autobiographique de Montaigne. Dans ce texte l’auteur utilise la première personne du singulier « je » pour le designer lui-même alors l’énonciateur dans ce texte est l’auteur Montaigne. - Le texte B est l’extrait de « Des entretiens sur la pluralité des mondes » de Fontenelle. Ce dernier met en scène un philosophe qui fait un cours

instituteurs, fait une déclaration a une certaine Hélène, une femme rencontré en 1943 et qu’il finira par épouser en 1946. Les thèmes de ce poème sont les sentiments amoureux, la nature et la femme, avec le Lyrisme pour registre dominant. Dans une première partie, nous verrons comment l'auteur communique ses intentions, notamment a travers les pronoms personnels, les adjectifs possessif et l’importance du destinataire. Puis dans un deuxième temps l’obsession que l’auteur a envers la destinataire a

les souffrances maternelles » l.13. Cette périphrase a pour but dénoncer la supériorité masculine d’époque avec ironie, en inversant la situation d’infériorité. L’auteur universalise sa parole pour défendre toutes les femmes, on a donc l’emploi du singulier à plusieurs reprises : « le sexe supérieur » l.13, « reconnaît et déclare » l. 14. Olympe de Gouges annonce par la suite les Droits de la femme et de la citoyenne faisant évidemment référence à la Déclaration de l’Homme et du citoyen.Les deux premiers

l’amour. - Quatrains = manifestation physique et psychologique de l’amour III. Situation d’énonciation. a) Locuteur et destinataire. - Locuteur : Forte présence du locuteur, marquée par la forte présence des pronoms personnes et des déterminants de la première personne du singulier. Mais ce locuteur est anonyme (aucun indice, dans le texte, ne permet de deviner l’identité de l’énonciateur, ni de dire si c’est un homme ou une femme). - Destinataire : Aucun indice, dans le texte, ne permet d’identifier

Énoncé Pierre Loti (1850-1923), a mené une carrière de marin et d'écrivain. « Je voudrais essayer de dire l'impression que la mer m'a causée, lors de notre première entrevue. […] Et j'éprouve encore un frisson rétrospectif, dès que je concentre mon esprit sur ce souvenir. J'étais arrivé le soir, avec mes parents, dans un village de la côte saintongeaise(1), dans une maison de pêcheurs louée pour la saison des bains. Je savais que nous étions venus là pour une chose qui s'appelait la mer, mais je