Presbytère

histoires ou bien à peindre des figurines du théâtre de Skelt, dont les titres évocateurs enflamment l'imagination du jeune Louis12. Autres conséquences de sa santé défaillante, les périodes de cure ou bien de convalescence chez son grand-père, au presbytère de Colinton (Colinton Manse)13. C'est là qu'est son « Âge d'Or »14. Situé à quelques kilomètres d'Édimbourg, Louis y retrouve ses nombreux cousins et cousines et tout n'est que jeux et amusements sous la bienveillance de Jane Whyte Balfour — la

bride et pour la mettre au pas. Bernard allait moins bien parce qu’il avait recommencé de boire des apéritifs. Quelles paroles échangeaient ces êtres autour de moi ? Ils s’entre­tenaient beaucoup du curé, je me souviens (nous habitions en face du presbytère). On se demandait, par exemple, "pourquoi il avait traversé quatre fois la place dans la journée, et chaque fois il avait dû rentrer par un autre chemin...” In Thérèse Desqueyroux, ch. VIII (extrait). (1) - "A la voie" cette expression signifie

puisque sa demi-sœur s’est mariée. La mère a eu un cauchemar. Elle rêvait qu’on avait kidnappé Colette. Colette dit que c’est qu’un rêve, mais la mère ne sa calme pas. Colette apprend aussi des nouveaux mots. Un est : « Presbytère ». Mais elle ne connaît pas la signification. Un presbytère était selon elle la maison du curé. Puis, elle donne une description de quelques livres. Comment elle aimais être entre les livres même avant de savoir lire. Elle aimait lire tellement!

importance. Taquinerie et humour. La petite Jeux d'enfant un jeudi après-midi. Colette doit avoir 8 ans environ. L'enlevement Sa mère anxieuse a rêvé qu'on enlevait sa fille. Colette a 12 ans. Le curé sur le mur Colette joue avec le mot « presbytère » qu'elle aime bien et dont elle ne connait pas la signification. Elle a 8 ans. Ma mère et les livres Colette a 8 ans, petite femelle. Sa mère lui a communiqué l'amour des livres. Colette les touche, les respire dans la bibliothèque avant de

le petit village italien de la Bassa. Le maire du pays, Peppone, un | | |communiste, vient de triompher aux élections et son succès est dur à Don Camillo, sympathique curé de choc, qui, dans | | |l'ombre du presbytère, s'entretient presque amicalement avec Dieu. La population de Bassa est divisée en deux clans, | | |sauf pour la vieille institutrice Madame Cristina, qui revoit toujours les notables comme s'ils avaient dix ans. Une | |

Cependant, Jodoin n'accorde justement aucune autorité à celui-ci puisqu'il ne va pas à la messe le dimanche. Lorsque Rose lui demande d'aller s'expliquer à M. le Curé, il lui répondit : «qu' il n'entrait pas dans [ces] habitudes de fréquenter les presbytères [...]» (p.111). Ensuite, il ne se laisse pas intimider par les questions de M. le Curé à la librairie Néon. Il parvient même à inverser les rôles en devenant celui qui dirige les questions : «C'était bien la première fois que je poussais la vente

elle son désir de mariage. Charlotte avoue à Elizabeth, stupéfaite de sa décision d'épouser Mr Collins, qu'elle n'est pas romantique et qu'elle n'attend du mariage que la sécurité financière et une maison confortable ; elle se satisfait de vivre au presbytère de Hunsford, près de Rosings Park, et de s'occuper de son propre foyer, en dirigeant adroitement son mari. Sir William Lucas ayant été élevé à la dignité de chevalier par le roi à l'époque où il était maire de Meryton, il a pris des idées de grandeur :

brulés), gratuité des sonneries de cloches et libre accès au fidèles dans le sanctuaire. - 6 mois avant le massacre d’Alain de Moneys, existe la banalité des conduites de cruauté. -Les municipalités rurales deviennent jalouse des dépenses du presbytère pour des raisons de restauration. -21 aout 1862, 3 granges et des meules de foin sont brulés en même temps cela déclenche la panique dans la région. C‘est le parti clérical qui est accusé. -La dime hante les esprits, les paysans pensent qu’elle

certaines recherches sur le vocabulaire de ce livre. Etant donné que je ne suis pas catholique, j’ai eu du mal à comprendre certaines parties de l’histoire, qui se déroule le plus souvent à l’église de Saint-Fiacre. Par exemple les mots « missel », « presbytère », « nef », « sacristain », « bedeau », etc. Je trouve ça un peu dommage d’avoir du rechercher ces quelques mots de vocabulaire pour comprendre certaines parties de l’histoire. Néanmoins, cela n’a pas trop freiné ma compréhension de l’œuvre. Et

minutes du film. Espace clos, oppressant, le petit presbytère enferme les deux femmes dans leurs mensonges, dans leur douleur et leurs blessures. Là aussi, il faut relever l’importance des espaces, qui sont primordiaux dans le film, la mère se retrouve emprisonnée dans un territoire hostile, entourée de ces vastes horizons montagneux, ce grand lac qui quelque part les enferme aussi. Par leur immensité, ils sont aussi fermés que le petit presbytère, les personnages sont obligés de se confronter.