Président d'Ukraine

de résolution ou de prévention des crises politiques (B). A. Le droit de dissolution, pouvoir discrétionnaire du Président de la République Lors de la rédaction de l’article 12 de la Constitution, le constituant a tiré les leçons du passé : sous la IIIe République, le droit de dissolution est tombé en désuétude après la dissolution de la Chambre des députés par le président Mac Mahon en 1877, et sous la IVe République, l’encadrement juridique du droit de dissolution était tellement rigoureux

révèle d’emblée le ridicule de la révolution de Louis Bonaparte qui s’est servi de celle du 18 Brumaire de son oncle Napoléon Ier pour légitimer l’instauration de son pouvoir autoritaire. Et Marx explique que son élection du 10 décembre en tant que Président de la République est due à la réaction contre la Restauration qui a fait disparaître tous les acquis révolutionnaire. Marx distingue ensuite trois périodes entre la Révolution de Février et la Révolution de Bonaparte. La première qui commence en

est-il le collaborateur du Président de la République ? « Dans toutes associations de deux hommes, il y en a toujours un qui se fait porter par l’autre ». Cette citation est du Général Charles de Gaulle qui fut l’instigateur de la Ve République. La constitution de 1958 met en avant le Président de la République qui est considéré comme l’autorité suprême du pouvoir gouvernemental. Or, dans la pratique le pouvoir exécutif est bicéphale. Il est composé du Président de la République et du Premier

« La clé de voûte de notre régime, c’est l’institution d’un président de la République désigné par la raison et le sentiment des Français pour être le chef de l’État et le guide de la France. » Général De Gaulle. Le rôle du président de la république fut affirmé par le Général De Gaulle comme « l’homme de la nation toute entière », il représente son pays et en est responsable. Son statut ainsi que son rôle fut a de nombreuse reprises changé provoqué par des événements extérieures qui ont entrainés

|PRESIDENT |PREMIER MINISTRE |DATE D’INVESTITURE | | | | | |Charles de Gaulle | |8 janvier 1959-28 avril 1969 | | |Michel Debré |8 janvier 1959-14 avril 1962 | | |Georges Pompidou

de l’autre les monarchistes en faveur de la paix, soutenu par les provinces. Le compromis de Bordeaux reporte la question des institutions et nomme Adolf Thiers président de la République. Par la suite, les monarchistes gagnent la lutte et Mac-Mahon est élu président avec la loi du septennat où le pouvoir constituant appartient au président (art 8 constitution du 25 février 1875). Le 13 décembre 1877 le maréchal de Mac Mahon se soumet et signe une déclaration mettant un terme à l'interprétation dualiste

Etude critique d'un document: Discours du président de la République, Jacques Chirac, le 16 juillet 1995. Le document est un discours du président de la République, Jacques Chirac, discours rapporté sur le site Internet de la présidence de la République; J. Chirac prononce ce discours le 16 juillet 1995 lors de la commémoration de la rafle du Vel d'Hiv et s'adresse à tous les français. J. Chirac vient d'être élu Président de la République et veut ainsi marqué le début de son septennat en reconnaissant

A) Les pouvoirs partagés L’article 19 précise effectivement quels sont les pouvoirs du président qui sont exercés librement sans contreseing du premier ministre ce qui implique, à contrario, que les autres décisions doivent être contresignées. En vertu de cet article, les actes du Président de la République, autres que ceux prévus aux articles 8 alinéa 1, l’article 11, 12, 16, 18, 56, et 61, sont contresignés par le Premier Ministre et le cas échéant par les ministres responsables. Dans un régime

collaborateur du Président de la République? La Véme République établit en 1958 un régime parlementaire moniste, c'est à dire que seul le gouvernement est responsable devant le Parlemen,t et monoreprésentatif en ce sens que seul le Parlement est élu au suffrage universel direct. Mais en 1962, le Président de la République, en l'occurence Charles de Gaulle, par une révision de la Constitution sera élu au suffrage universel direct. De ce fait, le régime devient bireprésentatif et le Président de la République

savoir le Conseil de la République ne donne pas d’autorisation préalable à la dissolution. En effet l’article 51 dispose que « La dissolution de l’Assemblée nationale pourra être décidée en conseil des ministres, après avis du président de l’assemblée » : seul le président de l’Assemblée nationale, peut soumettre un avis. Il n’existe par conséquent aucun véto du législatif sur le droit de dissolution qui ne peut plus intervenir dans sa procédure pour paralyser le mécanisme, ce qui favorise ainsi