Presse-Océan

états Echec de l’universalisation Puissance des budgets privés… Section 2 – une société de flux 1- Flux de marchandises Les flux maritimes, terrestres et aériens.   Dans les flux maritimes : le monde océanique c’est les ¾ de la planète, un océan mondial. La mer est un espace de l’océan mondial en libre communication avec les autres. Des mers peuvent communiquer par des détroits. 90% des marchandises échangées ds le monde (télé Corée du sud, Iphone de Chine, voitures Japon…) passent par la

maritime dans son ensemble, c'est-à-dire dans ses trois dimensions : surface, masse des eaux, fonds. Dans un tel contexte, le droit de la mer était appelé à connaître un grand développement. C'est aujourd'hui sans doute, et depuis plusieurs décennies, la partie du droit international qui évolue le plus : « Tout ce qui concerne la mer bouge et le droit international maritime qui accompagne et encadre l'activité en mer bouge également. L'évolution est donc un facteur intrinsèque de sa nature 1. » Tout

L.S IBN SINA MAHDIA 2011/2012 DEVOIR DE CONTROLE 3 1S7 2H Nom Prénom N° 1S7 COMPREHENSION (5PTS) 1) Quel est le problème écologique évoqué dans le texte ? 2) En évoquant ce problème, l’auteur cherche-t-il à nous rassurer ou à nous inquiéter et sensibiliser ? Justifiez votre réponse par des éléments du texte. 3) Quelles sont les causes de ce problème écologique ? ………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………

tableau • technique proche de celle d’u peintre, il utilise tous les types de lignes : verticales ou obliques (« les escaliers », « cataractes comme des rideaux », « colonnade »), courbes (« arcades »), horizontales (« étangs, « nappes d’eau », « océans », « tunnels ») • impression de confusion, de profusion, tableau qui donne le vertige : « d’immenses glaces » • jeu de miroirs : le lieu de démultiplie à l’infini : « jusqu’aux confins de l’univers » • rimes croisées => écho • beaucoup

LES OCEANS / / Recherche 1è S oct. 2010 ____________________________________________________________ ___________________________ M.A.R. oct.10 v1 1) Nous sommes locataires d’une planète bleue. En donner : - deux conséquences physico-chimiques ; - deux conséquences biologiques

retour" v 3 " jamais" v 4 " un seul jour" l'auteur montre ici qu'il veut metre fin au temp qui passe avec sa kestion v3-4 " ne pourrons nous ... un seul jour? " champ lexical de la mer " rivages" v1 océan des ages" v3 "jeter l'ancre" v 4 métaphore = " océan des âges" v 3 l'auteur ici veut arété le temps, la vie passe vite, on vieillit, il veut tout stopé avec " jeter l'ancre" ds l'océan strophe 2 v1 : " Ô lac" ici le poète s'adresse au lac en utilisan une personnification

épaisseur moyenne de 3 kilomètres, alors que celle de l’Arctique a une épaisseur qui ne dépasse pas les 3 mètres. Ce contraste s’explique par ce qui se trouve sous la glace : L’Antarctique est une terre entourée d’océans, alors que l’Arctique est un océan entouré de terre excepté le Groenland. La première raison pour laquelle la calotte arctique fond à un rythme aussi rapide est qu’elle

bien visible au large du Japon (Fosse des Mariannes) dans une zone de subduction franche qui fait 11 km de profondeur. Sur la plaque chevauchante, on trouve un relief positif, qui peut être une chaîne de montagne : subduction péri-coninental (océan sous continent) Ex: la cordillère des Andes. ou alors un chapelet d’îles dans le cas d’une subduction intra-océanique (lithosphère océanique sous lithosphère océanique) Ex : les Antilles. Remarque : Ces îles sont disposées en arc de cercle. (doc 5a

flots le parfum, le son et la couleur Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser la gloire D'un ciel pur où frémit l'éternelle chaleur. Je plongerai ma tête amoureuse d'ivresse Dans ce noir océan où l'autre est enfermé; Et mon esprit subtil que le roulis caresse Saura vous retrouver, ô féconde paresse, Infinis bercements du loisir embaumé! Cheveux bleus, pavillon de ténèbres tendues Vous me rendez l'azur du ciel immense et rond; Sur

Samuel Huntington dans Le Choc des civilisations. L'École anglaise : la sea power[modifier] Cette École définit la puissance anglaise par la domination des mers ou océans (théorie de l'empire maritime). Principal contributeur, l'amiral britannique Halford Mackinder (1861-1947) conçoit la planète comme un ensemble composé par un océan mondial (9/12e), une île mondiale (2/12e - Afrique, Asie, Europe) et de grandes îles périphériques ou Outlyings Islands (1/12e - Amérique, Australie). Afin de dominer