Prévalence

antirétroviraux sont disponible au Sénégal depuis 2001 et sont gratuit. Les médicaments permettent de ralentir la progression de la maladie mais n’empêchent pas la contamination. Les objectifs pour lutter contre cette maladie sont : * Maintenir le taux de prévalence à ce niveau faible * Systématisé le dépistage volontaire * Améliorer la qualité de vie des personnes infectées * Sensibilisation sur les dangers su Sida et la conduite à tenir * Réduire les impactes sociaux économiques

données de prévalence de poidspour-âge représentatives à l’échelle nationale. Le risque attribuable de la population totale (RAP) est estimé en évaluant l’endroit où la ligne de la Figure 2 coupe le taux de prévalence du pays pour les enfants en-dessous de 80 pour 100 de la médiane de poids-pour-âge référence du National Center for Health Statistics (NCHS). Le pourcentage de tous les décès associés à la malnutrition légère et modérée peut être estimé à partir des données de prévalence des poidspour-âge

d’ici à 2015 Indicateurs 5.3. Taux de prévalence de la contraception 5.4. Taux de natalité parmi les adolescentes 5.5. Accès aux soins prénatals (au moins une visite et au moins quatre visites) 5.6. Besoins de planification familiale non couverts OMD 6 : Combattre le VHI/Sida, le paludisme et d’autres maladies CIBLE 6.A. D’ici à 2015, avoir enrayé la propagation du VIH/sida et avoir commencé à inverser la tendance actuelle Indicateurs 6.1. Taux de prévalence du VIH chez les 15 à 24 ans 6.2. Utilisation

estimée à 11,1 millions d’habitants en 2001 et un indice de fécondité de 6,44 enfants par femme. La variante basse se fonde sur une stratégie plus volontariste d’extension de la contraception (on retient une hypothèse de près de 30 % de taux de prévalence contraceptive en 2001). Dans ce second cas, la population du Sénégal serait de 10,9 millions en 20014 pour un indice de fécondité de 5,75 enfants par femme. Les estimations de la Direction de la prévision et de la statistique (DPS, 1992) sont

honneur dans ce sens. Les objectifs de la campagne, sur la qualité de vie des Québécois, touchent certains enjeux de la société actuelle, dont le mythe du corps parfait, autant chez la femme que chez l’homme. Ils espèrent réduire de 2 % le taux de prévalence de l’obésité et de 5 % de l’embonpoint chez les jeunes et les adultes d’ici 2012. Ils ont élaboré de nombreux plans d’interventions, dans différents secteurs, qui touchent des cibles d’âges différents directement ou indirectement. Ces interventions

devant le téléviseur favoriserait le surplus de poids chez les jeunes. Exemple frappant : La Suisse. C’est là bas que les enfants sont les moins nombreux à regarder intensivement la TV (24 %) et c’est aussi l’un des pays qui présentent la plus faible prévalence d’obésité et d’embonpoint infantiles, parmi les 34 pays étudiés³. Il semble donc que tout soit affaire de limite, d’utilisation à bon escient. Et c’est des parents que doit venir la responsabilité. A un âge où leurs enfants sont encore sous leur

nombre de patients par établissement de santé concerné. Certaines pathologies touchant l'outre-mer sont inconnues en métropole, d'autres présentent des taux de prévalence différents, par exemple les infections et épidémies de type gastro-entérites. Parmi les maladies transmissibles, les Antilles et la Guyane connaissent une forte prévalence de l'infection au VIH et de la dengue avec des flambées épidémiologiques importantes. Ces maladies touchent de manière moins considerable La Réunion, qui est cependant

Morbidité : outils de mesure de l’état de Santé d’une population Nombre de cas malades, fréquence, effectif. Qui ? Caractéristiques de temps et de lieu. Ou ? Et Quand ? Incidence et Taux d’incidence : indicateur de vitesse de propagation. Prévalence et Taux de Prévalence : indicateur statique. Les données sont souvent issues d’un Echantillon. Mode d’expression des maladies : Epidémie, Endémie, Sporadique et Pandémique. Mesure de la Mortalité : Mortalité globale ou Taux Brut de Mortalité (TBM). Mortalité

informé, le patient peut limiter un grand nombre de complications. Le diabète touche aujourd’hui dans notre pays environ 2.5 millions de personnes le diabète de type 2 étant le pus fréquent et touchant à 90% les personnes âgées. Son taux de prévalence est estimé à 3% en métropole et 10% dans les DOM-TOM, sans compter les patients atteints non diagnostiqués. En 1999, 27 000 décès ont été causés par le diabète. De nombreuses complications liées à cette maladie engendrent des conséquences dans la

général I.1.1- Présentation du PAMAC La pandémie du VIH/Sida constitue une contrainte majeure au développement du Burkina Faso en dépit d’une baisse du taux de prévalence passé de 6,5% en 2001 à 2,3% en 2004 selon la méthode utilisée par l’OMS/ONUSIDA basée sur la surveillance des sites sentinelles. On observait en 2001 un taux de prévalence de l’ordre de 6,5% chez les 15-49 ans et de 4,8% chez les femmes enceintes. En 2004, le rapport d’ONUSIDA estimait à 270.000 le nombre de personnes vivant avec