Prévôt de Paris

JEAN DE LA FONTAINE Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, et mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. C'est en effet en s'inspirant des fabulistes de l'Antiquité gréco-latine et en particulier d'Ésope

avec l’Ancien Régime (I) puis les conséquences sur l’organisation judiciaire (II). I.L’œuvre de la Constituante sur le système judiciaire : une volonté de rupture avec l’Ancien Régime. Adrien Duport (1759-1798) est un député de la Noblesse de Paris aux Etats-Généraux. Il s’agit d’une personnalité forte en cette période de changements : il participe, en effet, activement aux débats de l’Assemblée Constituante, à la rédaction de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Il est nettement

couleur des robes portées dans les diverses fonctions, le parlement de Paris étant peut-être le seul corps faisant exception, toujours habillé de rouge.   Le rouge est de mise lors des cérémonies publiques mais d’une façon générale, au jour de la rentrée solennelle des parlements, aux grandes audiences qui suivaient, à celles qui se tenaient à Toulouse régulièrement durant le premier semestre de l’année judiciaire, et à Paris, de la Saint Martin à l’Annonciation; à celles qui précédaient la Notre-Dame

généraux. Les lettres de convocation aux États-généraux sont envoyées du 14 au 19 février (pour les pays d'État). En mars débutent les assemblées électorales de bailliages et de sénéchaussées, ainsi que la rédaction des cahiers de doléances. Pour Paris et sa prévôté, le règlement des élections est publié le 28 mars. Dès le 30 avril, les députés du Tiers de Bretagne se réunissent à Versailles et forment le « club breton » afin de coordonner leurs réflexions. Au début de la Révolution française, une

et son bureau. Par exemple, en 1614, le clergé était présidé par le cardinal De Joyeuse archevêque de Rouen , la noblesse par Henry de Bauffremont, baron de Sennecy  et le tiers état par Robert Muron président des requêtes du Parlement[4] de Paris, Prévôt des Marchands[5]. L’initiative des débats vient soit du Roi soit des députés. Le processus habituel suivit par chaque ordre est le vote; Picardie, Dauphiné, Provence, Lyonnais-Auvergne, Orléanais-Berry-Touraine). Chacune de ses entitées détermine

deviennent beaucoup plus puissants… Dans le cadre de chaque seigneurie existent des communautés paysannes et des villes qui vont peu à peu tenter d’obtenir un statut privilégié… 2) Les Villes : Elles sont administrée par une autorité : prévôt ou baillis sont les représentants du seigneur dans la ville. Au 11eme siècle, on assiste a une reprise des activités économique et commerciales qui permet à la classe des marchands de se constituer ( la ville devient un centre de fabrication et d’échanges

Cette organisation sera conservée par les IVe et Ve République. Cette administration est remplacée en 1944 par la Sûreté nationale et, finalement, la loi du 10 juillet 1966 crée l'actuelle police nationale incluant la Préfecture de police de Paris (créée par la loi du 9 juillet 1964). Du milieu du XXe siècle à 1984, la police nationale a participé à l'aide médicale urgente avec sa composante police-secours, tâche maintenant dévolue aux sapeurs-pompiers. Toutefois, les CRS participent toujours

appelle le palais où vivent les individus fidèles appelés par le roi. Ils sont nourris et partagent sa maison appelée la domus où ils sont contraints de le suivre dans ses déplacements. Il n'y a pas de capitales malgré l'existence de pôles majeurs comme Paris, Orléans et Soissons. La Cour est une Cour itinérante qui n'est pas sédentaire, c'est-à-dire qui exige des déplacements. Cette organisation pléthorique/excessive rattachée au palais est tirée des traditions germaines et romaines. Au sein du palais

lever des droits d'entrée (le tarif) sur les marchandises . Son objectif était d’étendre l’assiette fiscale parisienne afin de compenser le manque à gagner de la taille car les villes étaient alors exemptées de cet impôt . L'opposition du Parlement de Paris obligea le ministre à revenir sur ces réformes ou à en réduire les effets . La deuxième cause du déclenchement de la Fronde se trouve au niveau social . Il s'agit d'une remise en cause des privilèges des parlementaires parisiens c'est à dire d'une

VI qui a su améliorer dans un premier temps la cohésion du domaine royale sans pour autant l'aggrandir. Pour consolider le petit État capétien, Louis VI confie l'administration des localités importantes à de nouveaux fonctionnaires royaux, les prévôts, qui sont par la suite contrôlés par d'autres fonctionnaires, les baillis. En outre, Il écarte des grandes charges de l’État les puissants féodaux. En centralisant le pouvoir autour de lui, Louis le Gros redonne ainsi à la monarchie sa puissance et