Prie-Dieu

Intro : Poème extrait de… Poème de 1872 qui fait suite à l’incendie de la bibliothèque des Tuileries lors de la commune à Paris en 1871. blablabla I . L’éloge du livre a) Un précieux héritage du passé et à laisser à notre futur, longue énumération de cet héritage phrase très longue de « Quoi! dans ce vénérable amas des vérités, »…. à ….« Tu jettes, misérable, une torche enflammée ! » (anaphore : le fait de commencer chaque vers par Dans) b) Divinisation de la littérature, les auteurs

l existait jadis un démon-renard a neuf queues, celles-ci étaient si puissantes qu'un seul battement de l'une d'elles provoquait des razs de marrées et faisait s'écrouler des montagnes, accablés par ce monstre, les hommes réunirent une troupe de ninjas. L'un d'entre eux particulièrement vaillant , parvint à neutraliser la bête... ...Mais son exploit lui coûta la vie. Ce valeureux ninja était le quatrième maître Hokage ! Cet Hokage ne tua pas le démon-renard, il l'enferma dans le ventre d'un nouveau

jouent à des êtres divins : « ils se prenaient pour des anges ou des oiseaux du paradis, sans destin ». Enfin, la narratrice mentionne Dieu, tout en exagérant le volume des paroles du muezzin et des enfants, afin d’opposer l’être humain à la divinité, ligne 12  : « et leurs cris se mêlaient à ceux du muezzin qui hurlait dans le micro  pour mieux être entendu de Dieu. ».

souffrance qu'il ressent. Le Désespoir est aussi un moyen pour l'auteur de faire part des doutes qu'il porte sur la providence. Des le début du poème, on peut voir Lamartine accuser directement et clairement : « Le Créateur », qui pour lui désigne : dieu, le destin ou encore la providence. ( v.1). Il l'accuse d'avoir « enfanté le monde des germes du chaos. » (v.2/3) ou encore d'avoir créer un monde imparfait avec « une œuvre imparfaite » (v.4). On peut voir qu'il fait une opposition en le bien et le

S'il ne viendrait à l'esprit de personne de s'interroger sur la condition masculine, celle des femmes, en revanche, soulève un certain nombre d'interrogations. Les femmes ont en effet souffert de ce que Pierre Bourdieu qualifie dans l'ouvrage du même titre de la domination masculine. Le terme de condition renvoie dans la philosophie existentialiste à celui d'essence ou de nature. De même qu'on s'interrogeait dans les années 1950 sur la question de la nature humaine, on peut s'interroger sur l'existence

l'apanage d'un certain mode d'organisation sociale, de certaines sociétés, que le savoir n'est pas absolu. Bibliographie DOQUET Anne, Les masques Dogon: Ethnologie savante et ethnologie autochtone, KARTHALA éditions, 1999. GRIAULE Marcel, Dieu d'eau: Entretiens avec Ogotemmëli, FAYARD éditions, 1997. CALAME-GRIAULE Geneviève, Contes dogon du Mali, KARTHALA éditions, 2006.

doute, désirons tout ! Tant de belles choses sont rendues impossibles uniquement parce que nous croyons qu'elles sont impossibles... On pourrait même dire que désirer l'impossible est un devoir : car notre devoir est de désirer l'Idéal, l'Absolu (Dieu), qu'il s'agisse de de Justice (le Bien), de Beauté ou de Vérité. Ainsi Platon n'hésite pas à défendre le mensonge politique pour pousser les hommes à désirer ce qui est peut-être impossible, car c'est un devoir éthique : ainsi faut-il dire que le

Brian Froud – l’ami des fées Brian Froud est né en 1947 à Winchester. C’est un illustrateur de « féerie » britannique mondialement connu. Depuis plus de 35 ans, Brian Froud a été considéré comme l'artiste de fée référent dans le monde et une autorité sur les fées et les traditions féerique. Les peintures féeriques de Brian Froud ont coloré notre vision des royaumes de faery avec les riches, des tons terreux de sa propre vision forte, ainsi que influençant toute une nouvelle génération de

Morale : les hommes préfèrent la souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c'est ce que La Fontaine méprise dans la nature humaine. La mort est une guérison, mais les hommes sont lâches. Morale : les hommes préfèrent la souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c'est ce que La Fontaine méprise dans la nature humaine. La mort est une guérison, mais les hommes sont lâches. Morale : les hommes préfèrent la souffrance à la mort, car ils en ont peur, et c'est ce que La Fontaine méprise dans la

Comment penser le sport du 21ème siècle autrement que fidèle à son idéologie du progrès sans fin, de la "liberté de l'excès" et de l'extrême ? Progrès des records bien sûr mais surtout progrès du dopage physique et mental pouvant aller jusqu'à la fabrication du "cyborg sportif" (2), progrès de la violence et des tricheries, des concentrations sportivo-financières et des cotations en Bourse pour des clubs toujours plus riches, progrès dans la manipulation des consciences, dans la volonté de faire-croire