Prieur

CARDINAL CIBO . * LE MARQUIS DE CIBO , son frère. * SIRE MAURICE , chancelier des Huit. * LE CARDINAL BACCIO VALORI , commissaire apostolique. * JULIEN SALVIATI . * PHILIPPE STROZZI et ses fils : ** PIERRE STROZZI , ** THOMAS STROZZI , ** LEON STROZZI , prieur de Capoue, * ROBERTO CORSINI , provéditeur de la forteresse. * Seigneurs républicains : ** PALLA RUCCELLAI , ** ALAMANNO SALVIATI , ** FRANCOIS PAZZI , * BINDO ALTOVITI , oncle de Lorenzo. * VENTURI , bourgeois. * TEBALDEO , peintre. * SCORONCONCOLO

CARDINAL CIBO . * LE MARQUIS DE CIBO , son frère. * SIRE MAURICE , chancelier des Huit. * LE CARDINAL BACCIO VALORI , commissaire apostolique. * JULIEN SALVIATI . * PHILIPPE STROZZI et ses fils : ** PIERRE STROZZI , ** THOMAS STROZZI , ** LEON STROZZI , prieur de Capoue, * ROBERTO CORSINI , provéditeur de la forteresse. * Seigneurs républicains : ** PALLA RUCCELLAI , ** ALAMANNO SALVIATI , ** FRANCOIS PAZZI , * BINDO ALTOVITI , oncle de Lorenzo. * VENTURI , bourgeois. * TEBALDEO , peintre. * SCORONCONCOLO

Les deux tableaux de Hamilton et de David apportent des points de vue différents sur l’emploi ou non du mot Martyre pour la dernière reine de France. Un autre tableau pourrait justifier ce terme de martyre, celui de Sophie Prieur, «Veuve Capet » (nom donné au couple royal pour leur procès car il revenait à Hugues Capet d’où les Bourbons sont issus et symbolisait donc la monarchie en France). Il s’agit d’un sobriquet ironique attribué par les révolutionnaires)). Il montre un

qu'il n'est pas de sang royal (bâtard). Deux dames de la cour, chez le marchand, demandent à leurs officiers d'aller chercher Julien Salviati. Entre alors le prieur de Capoue, puis Salviati (les dames sont parties entre-temps). Celui-ci aperçoit Louise Strozzi et raconte au prieur que cette femme est d'accord pour coucher avec lui. Le prieur - frère de Louise - s'offusque et s'en va. Acte 1 Scène 6 - Le changement de Lorenzo Marie Soderini et Catherine Ginori sont sur les bords de l'Arno.

l’institution religieuse en France dans le troisième chapitre. Voltaire critique notamment l’Église en s’attaquant à la bible, livre sacré de la religion catholique, lorsque l’Ingénu interprète mal la lecture de cet ouvrage. Voltaire écrit : « Le prieur résolut enfin de lui faire lire le Nouveau Testament. L’Ingénu le dévora avec beaucoup de plaisir […] et il jura qu’il couperait le nez et les oreilles à Caïphe et Pilate, si jamais il rencontrait ces marauds-là. » (p. 17). Dans cette citation, Voltaire

Acte II, scène I : Personnages présents : Philippe Strozzi, Le prieur, Pierre Strozzi, Résumé : Tirade de Philippe : Il se repasse les évènements de l’Acte I (La sœur de Maffio corrompue, les Bannis…). Il parle à l’humanité en la jalousant un peu. Le prieur raconte aux deux Strozzi l’intervention de Salviati à propos de Louise, leur jeune sœur, qu’il prend pour une fille facile à avoir. Acte II, Scène II Personnages présents : Valori, Lorenzo, Tebaldeo Freccia, Résumé : Les trois personnages

qu'il n'est pas de sang royal (bâtard). Deux dames de la cour, chez le marchand, demandent à leurs officiers d'aller chercher Julien Salviati. Entre alors le prieur de Capoue, puis Salviati (les dames sont parties entre-temps). Celui-ci aperçoit Louise Strozzi et raconte au prieur que cette femme est d'accord pour coucher avec lui. Le prieur - frère de Louise - s'offusque et s'en va.   Acte 1 Scène 6 - Le changement de Lorenzo   Marie Soderini et Catherine Ginori sont sur les bords de l'Arno.

prononce par la reine. Merci ! Lycée DAUDET – 13150 TARASCON – 1ES1&2 – Textes pour les épreuves orales de l’EAF – Page 15 sur 27 2 – Argumenter au temps des Lumières Texte 8 : Voltaire, L’Ingénu (1767), Chapitre I Chapitre I : Comment le prieur de Notre-Dame de la Montagne et Mlle sa sœur rencontrèrent un Huron. 1 Un jour saint Dunstan, Irlandais de nation et saint de profession, partit d'Irlande sur une petite montagne qui vogua vers les côtes de France, et arriva par cette voiture à la

les autres parlaient en mourant.[ D’autres criaient à haute voix : “Confession ! Confession ! Je me confesse, ayez pitié, je me remets entre vos mains. ” ] Si grand fut le cri des estropiés que le prieur de l’abbaye sortit avec tous ses moines. Quand ils aperçurent ces pauvres gens ainsi renversés dans la vigne et blessés à mort, ils en confessèrent quelques-uns. » · Retour du balancement et de la construction antithétique

Extrait du chapitre V (les 4 derniers paragraphes) : lecture cursive. Le prieur fut confondu ; sa sœur pleura. "Mon cher frère, dit-elle, il ne faut pas que notre neveu se damne ; notre Saint-Père le pape peut lui donner dispense, et alors il pourra être chrétiennement heureux avec ce qu’il aime." L’Ingénu embrassa sa tante. "Quel est donc, dit-il, cet homme charmant qui favorise avec tant de bonté les garçons et les filles dans leurs amours ? Je veux lui aller parler tout à l’heure." On lui