Primitif flamand

on assiste à un double phénomène de fusion. I. Fusion entre les races Les mariages mixtes (entre personnes de peuples différents) se multiplient et la conséquence est qu’après plusieurs générations il devient difficile de retrouver l’ancêtre primitif mais aussi de dire sous quelle loi il vivait. L’unité de religion, de langue, le rapprochement des élites vont aboutir à la formation d’une société nouvelle dans laquelle les ethnies originelles sont de moins en moins perceptibles. II. Fusion

Arabes, donc via l'Afrique du Nord, leur permet de revendiquer une présence en Andalousie plus légitime, parce que plus ancienne, que celle des Castillans. La deuxième notion est celle d'égalité, dont le traitement est illustré par la parabole du flamand (« flamenco » désigne à la fois l'oiseau et le Gitan) et du canard (« pato » se rapproche intentionnellement du mot Payo). Le sous-entendu est : si les Gitans et les Payos sont tous les deux des hommes, ces derniers sont toutefois ridicules et maladroits

ordalies unilatérales, subies par le seul défendeur (ordalie de l’eau et ordalie du feu) * Les ordalies bilatérales, supportées par les deux parties au procès (duel judiciaire (preuve par bataille), l’épreuve de la croix). Ces modes de preuves primitifs et archaïques vont progressivement être abandonnés, pour adopter des modes de preuves plus rationnels, comme le témoignage, l’aveu, les preuves écrites. Mais la preuve pas bataille demeure la preuve de droit commun pour tout procès important. Seules

quatre-vingt centimètres sur plus de un mètre de largeur et trois mètres de long environ, d’enlever la terre, pelletée par pelletée, puis de remettre, à l’aide de grandes fourches spéciales, des cailloux (entassés pour ce faire sur le talus) jusqu’au niveau primitif, puis encore de répandre une mince couche de terre là-dessus, avant de damer le tout jusqu’à l’horizontalité désirable, vous aurez en peu de temps vos mains criblées d’ampoules, vos épaules couvertes de sueur, malgré votre torse nu qui rôtit à l’implacable

innovation qui traduit bien l’essor d’un ordre public ducal. Évolution comparable ds le comté de Flandre. Possesseur d’un immense domaine, exerçant un contrôle sans partage sur les grands monastères de son comté dont il dirige la réforme, le comte flamand profite en outre dès le Xè s. du rôle moteur joué par les villes drapières de Flandre ds la lente renaissance de l’économie d’échanges. En outre qualités politiques et forte personnalité de presque tous les comtes des Xè-XIè s. Abandon du syst.

marque a précédé le marketing et trouve sa source dans le besoin d'identifier l'origine d'une fabrication. Depuis l'aube des temps, elle joue le rôle d'identification et d'authentification. Les marchands grecs de l'Antiquité comme les artisans flamands du Moyen-Âge possédaient une marque distinctive (peu visible en général) qui permettait de discerner la provenance du produit. Pourtant elle a dû attendre que le XXième siècle soit bien engagé pour s'imposer au rang des préoccupations importantes

Il s’appelait Jean-Guillaume-Robert La Hardye de Florizel. Dans toute la Flandre, le mélange de la race espagnole et de la race germanique a produit un type bien spécial. L’hispano-flamand est à la fois un rêveur et un homme d’action. Il a, de l’Espagnol, la fierté, la bravoure et l’amour des aventures ; du Flamand il tient la patience, l’entêtement et le sens commercial. La Hollande, la Belgique et le nord de la France doivent leur prospérité à cette alliance de deux éléments en apparence inconciliables

(XVe siècle). Aujourd’hui, beaucoup d’historiens et d’historiens de l’art, dans la mouvance d’André Chastel, travaillent sur la transition lente entre l’art gothique et l’art renaissant (la continuité étant sans doute plus visible dans la peinture flamande et allemande que dans la peinture italienne). La notion même de Renaissance, si elle trouve son origine dans la pensée de certains auteurs du XVIe siècle, a essentiellement été forgée postérieurement, afin de donner corps à la supposée rupture avec

l’influence grecque dans le christianisme primitif. Cette influence est visible également dans le vocabulaire de l’Église, dont les principaux termes viennent du grec : évangile, diocèse, église, eucharistie, etc. D’après la tradition, le chrisme a été adopté comme signe de reconnaissance sur les étendards de Constantin, le premier empereur chrétien. Doc. 4 : L’ermite Hilarion L’image exprime bien la conception chrétienne de l’ascétisme à l’époque du monachisme primitif. Hilarion est représenté nu, couvert

patient, et de sa mort certaine dans le cas que l’on ne l’ait pas opéré, surpassera la représentation trop vive de sa douleur présente et passagère. C’est à ce point de vue qu’il faut se placer pour juger de certaines coutumes atroces des peuples primitifs dont on retrouve les traces parmi les sauvages. Quelquefois c’était le salut de l’agrégation (comme dans les sacrifices), quelquefois c’était le bien de la (p. 33) victime même (c’est le cas des parents vieux tués publiquement par leurs enfants)