Princesse De Clèves Les Réveries Solitaires

La princesse de ClèvesintroductionPrincesse de cleves = 1678 anonymement  car le genre du roman était assez mal vu à cette époque Paris ss regle louis 14→ roman historique→ un des premiers romans dits psychologiques & le premier roman d’analyse de la littérature française → modernité→ marqué par préciosité 17e siècle→ classé dans mvmt classicisme→ œuvre = composée en 4 parties→ témoigne sur rôle des femmes au 17e siecle dans litterature → + grd succès de mme de la fayette

Lecture Analytiques Page 140 À 141 La Princesse De Clèves Etlecture Analytiques Page 159 La Princesse De Clèves 1° Lecture analytiques page 140 à 141 la princesse de Clèves Introduction

Le texte que nous allons étudier est un extrait de La Princesse de Clèves de l’écrivain Madame de La Fayette. Cet extrait est tiré du tome quatrième, publié en 1678. Madame de La Fayette est un écrivain du XVII siècle et son œuvre s’inscrit dans les œuvres du registre classique. Dans cette scène la Princesse de Clèves se croit seule mais M. Nemours se dissimule derrière sa fenêtre et découvre celle qu’il aime en pleine rêverie. En quoi peut-on considérer cette scène comme une scène d’aveu? Pour

page 140 à 141 la princesse de Clèves Introduction La célèbre scène où M. de Nemours surprend Mme de Clèves qui s’abandonne

Rêverie d'une amoureuse solitaire Sitôt que la nuit fut venue, il entendit marcher, et quoiqu'il fît obscur, il reconnut aisément M. de Nemours. Il le vit faire le tour du jardin, comme pour écouter s'il n'y entendrait personne et pour choisir le lieu par où il pourrait passer le plus aisément. Les palissades étaient fort hautes, et il y en avait encore derrière pour empêcher qu'on ne pût entrer; en sorte qu'il était assez difficile de se faire passage. M. de Nemours en vint à bout néanmoins;

celle du monde. Il s’agira alors pour le personnage central de faire un choix qui engagera toute son existence : s’adapter ou renoncer. Cette définition du roman vous semble-telle correspondre à votre lecture de La Princesse de Clèves et à celles des textes et des œuvres étudiés dans le cadre du parcours de lecture « individu, morale

53 La Solitude de la Princesse de Cl~ves Rima Majaess /Mémoire de spécialisation écrit sous la direction de Pierre Gérin, professeur imérite du Département de langues modernes de l'Université du Mont Saint-Vincent ! Halifax, N.-E~7 l. Réflexions sur la solitude Nombreux sont les critiques qui ont étudié !'oeuvre de Mme de Lafayette. Ils révêlent pour la plupart l'existence de la solitude, mais il paraît que nul ouvrage ne discute véritablement ce thame pourtant bien apparent. La PPincesse

La princesse de Clèves 1678 Introduction - Ce que donne l’épopée dans le monde moderne. Monde du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste

mouvement littéraire précis. Trois auteurs tout sauf contemporains les uns des autres, qui nous opposent leurs différentes visions du héros – ou pas. Dans cet extrait La Princesse de Clèves, roman précieux publié anonymement en 1679 par Marie-Madeleine de La Fayette, M. de Nemours surprend Mme de Clèves qui s’abandonne à une rêverie solitaire dont il est le centre, ce qui éveille en lui des sentiments amoureux passionnés. L’incipit de Madame Bovary, publié par Flaubert en 1857, nous offre une présentation

qu’il ressent et qui tente désespérément de rester lucide et maître de lui, tout en se débattant dans les souffrances de la jalousie et du remords. Le célèbre roman de Mme de Lafayette est, pour l’essentiel, l’histoire d’une âme, celle de la Princesse de Clèves. Mais ce roman, ne se résume pas à cela, il apparaît également comme étant un roman historique, il garanti l ‘exactitude des évènements et des mœurs, qui reconstituent la pensée et le style d’une époque. A cet égard, le récit des deux dernières