Princesse De Clèves Les Réveries Solitaires

en poésie : Voiture et Benserade. - dans le genre romanesque : L'Astrée d'Honoré d'Urfé, Le Grand Cyrus et Clélie de Mlle de Scudéry. Madame de Lafayette fut influencée par la Préciosité, on relève certains éléments précieux dans La Princesse de Clèves. LE CLASSICISME Le classicisme désigne l'art et la littérature de la France à partir des années 1660, alors que Louis XIV est le monarque absolu du royaume. S'adressant d'abord à l'intelligence, figurant l'ordre, la raison et l'équilibre

(1649-1653) ; Clélie, histoire romaine (1654-1660) Littérature d’idées • R. Descartes. Discours de la méthode (1637) • B. Pascal. Pensées (1670) Littérature narrative • Mme de Villedieu. Les Désordres de l’amour (1675) • Mme de La Fayette. La Princesse de Clèves (1678) Épistolaire : • G. de Guilleragues. Lettres portugaises (1669) • Mme de Sévigné. Lettres (à partir de 1670) Littérature poétique • J. de La Fontaine. Fables (1668-1693) • N. Boileau. Satires (1666-1716) ; L’Art poétique (1674) ; Le Lutrin

chiffres de Madame de Valentinois paraissaient par tout, et elle paraissait elle-même avec tous les ajustements que pouvait avoir Mademoiselle de la Marck sa petite-fille, qui était alors à marier. La présence de la Reine autorisait la sienne. Cette Princesse était belle, quoiqu’elle eut passé la première jeunesse ; elle aimait la grandeur, la magnificence, et les plaisirs. Le Roy l’avait épousée lorsqu’il était encore Duc d’Orléans, et qu’il avait pour ainé le Dauphin, qui mourut à Tournon ; Prince,

Andromaque (1667) *Mme de Lafayette, La Princesse de Clèves (1678) La Bruyère, Les Caractères (1688) XVIIIe siècle *Montesquieu, Lettres persanes (1721)  ou  ∆  De  l’esprit  des  lois (1748) *Marivaux, Le  Jeu  de  l’amour  et  du  hasard (1730) Abbé Prévost, Manon Lescaut (1731) *Voltaire, Lettres philosophiques (1734) ou Candide (1759) *Rousseau, Julie ou La Nouvelle Héloïse (1761) ou Les Confessions (1782/1789), Les Rêveries du promeneur solitaire (1782) Laclos, Les Liaisons dangereuses

 48 L/ES/S) SÉQUENCE 2 – Le portrait dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle • Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (p. 66 ES/S et Techno / p. 68 L/ES/S) • Paul Scarron, Le Roman comique (p. 68 ES/S et Techno / p. 70 L/ES/S) Séquence 3 – De la rencontre amoureuse à la séparation dans les romans du XVIIe siècle au XXe siècle • Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves (p. 84 ES/S et Techno / p. 86 L/ES/S) Le XVIIIe siècle : le personnage est un « individu » SÉQUENCE 1 –

d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII. Pour la France, le XVIIe siècle en tant qu’unité historique peut être défini par deux dates : 1598 et l’édit de Nantes d’Henri IV qui met fin aux guerres de religions du XVIe siècle, et

savoir rester libre, à se méfier de tous les extrémismes, à être tolérant, et surtout à aimer la vie telle qu’elle est et à la goûter pleinement. ------------------------------------------------- 3. ROMAN DANS LE XVII SIECLE: DE L'ASTREE A PRINCESSE DE CLEVES Au XVIIème siècle (Louis XIV: la Monarchie absolue) le théâtre est le genre dominant (Corneille, Molière Racine); mais le Roman était si peu considéré que très peu d'écrivainss sont exclusivement romanciers et certains hésitent à avouer une

du Lauzun et le recueil s'achève avec l'emprisonnement de Lauzun + le remariage de Monsieur, fuite de Louise + suicide de jsp qui pg 166 Choix intéressant car effets de structure = assourdissant, musique atténuée avec le final // structure Princesse de Clèves, tributaire d'un découpage éditorial involontaire à l'inverse de Mme de La Fayette. Année portée sur drame personnel départ de sa fille car son mari à sa résidence et sa charge à cet endroit => marque entrée en correspondance de Sévigné

roman d’éducation qui illustre l’idéal humaniste. *Guilleragues : Lettres de la religieuse portugaise (1669). Les lettres brûlantes adressées par une femme passionnément amoureuse à l’homme qui l’a quittée. Très bref. *Mme de La Fayette : La Princesse de Clèves (1678). Une jeune femme de la Cour se marie à un homme qu’elle estime beaucoup mais n’aime pas. Survient le duc de Nemours, dont elle tombe amoureuse (et réciproquement). Que fera-t-elle ? *Jonathan Swift : Les Voyages de Gulliver (1726). Les

socialité, le temps n’est pas compté : l’expression « à loisir » suggère une durée sans limite ou que l’on peut librement dépenser comme le suggère la complément de temps « toute une heure ». Ce temps librement perdu est revendiqué comme le temps de la rêverie. Si le poète passe « toute une heure à [se] mirer dans l’eau », ce n’est pas, ou pas seulement, par ce narcissisme qui est un des indices du maniérisme français de l’époque ; c’est le moment d’une inquiétude, où le poète s’interroge sur son destin