Princesse De Clèves Mort Du Prince

Surnomme le prince de la renaissance. Appartient au mouvement de la Pléiade Ecrit des poèmes lyriques, engagés et sur commande de la cour Poète officiel de la cour de Catherine de Médicis Connu pour les poèmes d’amour. Œuvres : Sonnet pour Hélène A Cassandre : Poésie VICTOR HUGO (1802 -1885) (tt le 19ème siecle) Chef de fil du romantisme Poète, académicien et intellectuel engagé. Homme politique s’opposant à Napoléon III (sur la peine de mort, l’école ou le

INTRO : -Roman du XVIII ème siècle, la préciosité est le mouvement littéraire de Mme De La Fayette - Histoire d’une princesse vierge de toute expérience arrivant a la cour. Elle se marie au prince de Clèves. Elle devra lui rester fidèle malgré l’amour qu’elle porte au Duc de Nemours suite à son éducation maternelle. Comment par son omniprésence Mme de Chartres influence-t-elle le portrait complet de sa fille ? I. Portrait esquissé du perso a) un portrait attendu -Arrivé

LECTURE« La lecture commence les yeux fermés »Sommaire ; 1- Les fiches de lecture des livres suivant : page 3 à 20 - A) Gargantua page 3 à 5 - B) Micromégas page 6 à 8 - C) La princesse de Clèves page 8 à 10 - D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs du mal

s’améliore et devient « plus humain ». Ce personnage n’est pas sans rappeler le personnage d’un roman du même auteur, Le Dernier jour d’un condamné. C’est un roman parlant de la politique de l’époque et de la peine de mort toujours de vigueur, nous suivons le « chemin » d’un condamné à mort. Dans Illusions perdues de Balzac, un jeune homme se retrouve à Paris où il perd vite ses illusions. C’est trois situations où le drame est présent, éveille chez le lecteur, des sentiments qui peuvent influencer son

C’est un philosophe : un des directeurs de l’Encyclopédie (1751/1772). Il est aussi auteur de pièces de théâtre. Il invente un nouveau genre, le « drame bourgeois ». Il était aussi critique d’art : Salons. Enfin il a écrit des romans parus après sa mort : Le neveu de Rameau et Jacques le Fataliste. Il a travaillé

soleil, ce qui déclenche l'hilarité de l'audience. La sentence tombe : il est condamné à la guillotine. Meursault voit l’aumônier, mais quand celui-ci lui dit qu'il priera pour lui, il déclenche la colère de Meursault. Avant son départ, le condamné à mort finit par trouver la paix dans la sérénité de la nuit. | ■ Personnage principal ne se conforme pas aux canons de la morale sociale, et semble étranger au monde et à lui-même. Meursault se borne, dans une narration proche de celle du journal intime

Lys dans la vallée Lettre volée Les fleurs bleues Le hussard sur le toit Le Lion L’île des esclaves Lettre à un otage Le chat et les pigeons Le vallon Le cheval pâle Le flux et le reflux La promesse de l’aube La mort est mon métier Lolita Les mouches Les mots L’arrache - cœur Les mains sales Le mur La nausée Les Hauts de Hurle -Vent La chamade L’étrange histoire de Benjamin Button M Mithridate Mémoires d’Outre - tombe

longuement travaillé sur les stèles funéraires de la dynastie Han (de 200 av. J.C. à 200 ap. J.C.) et il a publié des rapports archéologiques et des romans (Les Immémoriaux en 1907, Stèles en 1912, René Leys en 1922). Beaucoup ont été publiés après sa mort accidentelle en 1919, réunis sous le titre d’’Essai sur l’exotisme. Il a renouvelé l’image de l’exotisme, en refusant l’aspect naïf et un peu fier avec lesquels les écrivains « exotiques » de son époque découvraient ces contrées jusque-là peu visitées

laquelle il vit. a) Le personnage de roman a pour objectif de faire travailler l'imagination du lecteur: « La princesse de clèves », Madame de Lafayette: L'auteur fait beaucoup d'éloge sur les personnages (Henri II était un prince galant , bien fait, Amoureux...)qui sont historiques. L'idéalisation des personnages donne l'impression au lecteur qu' Henri II était un prince galant et amoureux alors qu'il n'est que tout le contraire. b) Le personnage créé par l'auteur, donne tout de même

siècle à nos jours. Texte 1 : Madame de La Fayette, La princesse de Clèves (1678) a) Le texte Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune et l'avait laissée sous la conduite de Mme de Chartres