Principe de Copernic

se fait à partir de principes : il y a des propositions dont la vérité est indéniable. À la fois leur contraire est impossible, et ils ne peuvent être démontrés. C’est en particulier le cas des mathématiques et de la géométrie. Les principes se trouvent dans la raison humaine, d’où leur dénomination de rationnelle. Ainsi le mathématicien n’a besoin de rien d’autre que son esprit. Par contraste, il y a la connaissance dite historique, qui ne se fonde pas sur des principes mais sur des données

l'effort intellectuel et l'exercice du corps; L'ouverture sur le monde. Le siècle de la Renaissance ne peut plus être comparé au Moyen-Âge sur bien des plans. L’envie d’explorer le monde (Christophe Colomb, Vasco de Gama), le désir des sciences (Copernic, Gallilée, Palissy…), et surtout le développement de l’imprimerie font progresser la culture du XVIe siècle. Cependant, la monarchie absolue et centralisée est toujours présente et de nombreuses guerres de religion enflamment la France. Dans ce

la perspective en peinture et on assiste surtout à la révolution copernicienne. Contrairement à la pensée médiévale hérité des grecs où l’univers est un monde clos, enfermer dans une sphère qui porte des étoiles et dont le contre est la terre et Copernic va démontrer que la terre tourne autour du soleil. Synthèse sur l’Humanisme : 1- Le contexte En Europe, unité religieuse qui va être détruite par la réforme et les guerres de

 monde  Grec  admette  que  la  T  est  une  sphère.   Grec  ont  été  les  premiers  à  dissocier  les  observations  astronomiques  et  coté  religieux,  à  séparer  les   principes  de  l’astronomie  et  les  capacités  à  établir  un  calendrier.   Hipparque  -­‐2  siècle  av.  JC,  définit  déjà  une  échelle  des  magnitudes.       Platon  (-­‐427-­‐347)

prendre les devants avec les principes qui déterminent ses jugements, suivant des lois immuables, elle doit obliger la nature à répondre à ses questions et ne pas laisser conduire pour ainsi dire en laisse par elle; car autrement, faites au hasard et sans aucun plan tracé d'avance, nos observations ne se rattacheraient point à une loi nécessaire, chose que la raison demande et dont elle a besoin. Il faut donc que la raison se présente à la nature tenant, d'une main, ses principes qui seuls peuvent donner

L’illusion que le progrès scientifique et technique permettrait une protection contre tous les risques du début à la fin de la vie conduit à accepter des restrictions des libertés et des atteintes à la vie privée. Au nom d’une conception exacerbée du « principe de précaution » ou de l’« insécurité zéro », la « tolérance zéro » remet en cause l’équilibre entre prises de risques inhérentes à la liberté personnelle et protection de l’ordre public. C’est en s’appuyant sur ces fantasmes et sur ces angoisses

religion) et prend place dans une époque métamorphosée par les grandes découvertes (les Amériques), le progrès technique (l'invention de la boussole) et bouleversée par la finalité de certaines études scientifiques : celles entre autres de Nicolas Copernic et de Galilée qui prouvent que la terre n'est pas au centre de l'univers. Ce mouvement s’oppose au classicisme. On parle alors d’élan « dionysiaque » (lié à l'instable, à l'excès, à l'expression des sensations) opposé au mouvement « apollinien »

classiques. b. Caractéristiques du théâtre baroque Le baroque traduit les inquiétudes liées à l’instabilité politique et religieuse (les guerres de religion opposent catholiques et protestants) et aux tourments métaphysiques (les découvertes de Copernic révèlent que la terre n’est pas le centre du monde). Il trouve dans le théâtre l’expression privilégiée de ses thèmes de prédilection : la métamorphose, le jeu, le mouvement, l’instabilité, l’ostentation, l’illusion.  - L’instabilité et le mouvement

théologique particulier. Il émerge dans une période de crise (les guerres de religion), prend place dans une époque changée par les grandes découvertes ( les Amériques) , des progrès techniques (invention de la boussole) et scientifiques : les études de Copernic et de Galilée qui prouvent que la Terre n'est pas au centre de l'univers. Il en résultera trois conséquences capitales : l’ère de l’héliocentrisme (la Terre n’est plus au centre de l’Univers) ; l’Homme est donc décentré puisqu’il existe un univers

dans le Maniérisme), et l’utilisation d’artifices. Si le maniérisme ouvrit une première brèche à la Renaissance, le baroque en fut la réponse opposée. On retrouva l’affliction psychologique de l’Homme – un thème abandonné après les révolutions de Copernic et de Luther dans la recherche d’un soutien solide, une preuve de l’ultime puissance humaine – à la fois dans l’art et l’architecture de la période baroque. Une part révélatrice des œuvres fut réalisée sur des thèmes religieux, depuis que l’Église