Principe Du Respect De La Personne Selon Kant

amalgamant des choses fort différentes ! Nous sommes par exemple tous capables, sans hésiter, de repérer et de nommer les thèmes qui entrent dans le champ de l’éthique. Vous vous attendez sans doute aujourd’hui à entendre parler d’euthanasie, de respect de la volonté du malade, de cessation de traitement ou de sédation…etc. Et à juste titre, puisque toutes ces questions qui font difficulté dans nos pratiques, sont bien des thèmes abordés par l’éthique médicale « appliquée » à la fin de vie. Mais

objets fabriqués, mais nous sommes des vivants. On ne naît pas avec des instincts, tous les comportements sont appris. ★ Clivage entre intention morale et acte  contresens sur Kant. La question est autre chez Kant : est ce que l’intention peut se résumer au bénéfice que l’on attend de l’acte ? Tout l’intérêt de Kant montre que la conscience morale appartient à chaque homme, même aux criminels : chacun sait où est son devoir  certains l’accomplissent, d’autres non. Le fait d’accomplir fait en

devoirs, nous savons de ce que nous devons faire et nous sommes donc capables de nous juger nous-même. Cette dimension de la conscience s’appelle la conscience morale. Celle-ci se traduit par des sentiments tels que le regret ou le remord. Même si personne ne nous voit accomplir ou non nos obligations, notre conscience joue le rôle d’observateur et de censeur. La notion de réaliser nécessairement quelque chose s’oppose à la notion de liberté. En reprenant le concept de l’utilitarisme de Mill, on peut

de la raison pratique. La conscience morale est une forme d’angoisse. En effet, la révolution opérée par Freud est assez simple : la théorie psychanalytique consiste à détruire, à désintégrer le sujet humain, tel que Descartes puis Kant l’avaient définis, sujet défini comme être doté d’une faculté de représentation, à savoir la Conscience. La conscience dans la philosophie classique était une et unique, d’un seul bloc, sans faille. Freud introduit justement une faille au sein même

différence si on veux être soi même. Mais l'on ne peut construire son identité sur le simple fait que l'on ne devrait pas être pareil que les autres. Car mapparemment si l'on peux s'attribuer une propriété, on peux l'attribuer à une multitude d'autre personne. Par exemple nous pouvons tous dire que nous possédons une identité culturel, j’obéis au règles de vie de mon ethnie, mes tradition sont les même que ceux qui croient au même chose que moi. Il semble aussi que l'on possèdent aussi des propriétés

(=capacité de transformer la réalité, d'agir sur le réel.). Tout pouvoir n'est pas autorité, l'autorité n'est pas forcément lié à la violence. L'autorité dépend du consentement de celui sur lequel elle s'exerce. Ce consentement peut aussi relever du respect des lois, de la morale (le sage; ex: Socrate), du savoir faire (le disciple par rapport au maitre). Dans une œuvre intitulé « Le savant et le politique », Max Weber distingue 3 types d'autorités: l'autorité de la tradition, l'autorité légale et

serait extérioriser ses pensées à l'aide du langage . Suite à cette définition la pensée est en première position et le langage en seconde position , nous pensons d'abord puis nous mettons en forme nos pensées afin d'exprimer cela dans des paroles . Selon Hegel une pensée qui n'est pas mise en forme par le langage est absurde , cela n'est pas véritablement une pensée . En d'autres termes c'est avec les mots que nous pensons car « vouloir penser sans mots comme Mesmer l'a tenté une fois apparaît comme

l’objet qu’il doit nécessairement respecter. Ainsi le designer a seulement pour tâche de rendre beau l’utile enfin de vendre plus cher l’objet. Autrement dit l’alibi du beau justifie une accentuation des profits. De la sorte, on mesure mieux la différence entre un artiste contemporain et un designer lorsqu’on considère la manière dont les artistes ne respectent pas la fonctionnalité de l’objet dans leurs œuvres. Ils en font le sujet de leurs créations sans jamais la respecté parce-que l’art est synonyme

ensemble de procédés par lesquels on applique des connaissances scientifiques, pour obtenir un résultat déterminé. - Histoire. Avant propos : Aux XVIIe et XIXe siècles, Kant et Hegel se sont efforcés de conférer à l'Histoire (philosophique) une intelligibilité et une unité fortement remise en question de nos jours : il n'y a pas, selon nos contemporains, une histoire, mais des histoires. Par étymologie, Histoire vient du grec historia, la recherche. Sens philosophique : a) discipline, étude, connaissance

théorie de la mimesis - Hegel : le beau est une création de l'esprit - De Vinci : la peinture doit imiter la nature - Kant : le jugement esthétique a une portée universelle - Bergson : L’Art est révélateur / l’artiste voit mieux que nous “la multiple splendeur du monde” (Han Suyin) - Albert Camus: servir ceux qui subissent l'histoire : assigne à l'artiste une mission morale - Kant : La nature inspire le génie “Génos” = né ainsi - Nietzsche: le génis s’acquiert par le travail et l’effort et les deux