Principes Et Limites De La Loi De Say

permettant l'accumulation de biens et services possédés par une nation. L'ouvrage fondateur de la science économique est celui d'Adam Smith, qui date de 1776 et s'intitule Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations. Jean-Bap-tiste Say, autre classique », définit l'économie comme «la manière dont se forment, se distribuent et se consomment les richesses ». b. La science des choix Selon Edmond Malinvaud l’économie est la science qui étudie comme des ressources rares sont employées

les causes de la richesse des nations ». La question qu’il est pose est pourquoi certains pays se développent plus vite que d’autres ? Economie d’après lui : c’est science qui s’occupe de la richesse des nations. 2- Au début du 19ème siècle, JB Say, il fait paraitre un manuel d’économie politique « la science de la production de la distribution et de la consommation des richesses ». Richesse (biens et services sont des richesses). L’économie s’intéresse au fait de produire les biens, de distribuer

l'apparition de crises de natures diverses et d'intensités plus ou moins importantes. La question de la nature et des causes de ces crises avait déjà été considérée par nombre d'économistes classiques, dont Adam Smith, David Ricardo ou Jean baptiste Say, mais aussi par l'économiste Karl Marx. Or, ces économistes sont à l'origine d'une partie des théories qui régissent le fonctionnement et la compréhension du système économique libéral. Ainsi, afin de mieux comprendre les mécanismes à l'œuvre lors

 des  établissements  de   crédit  :  multiplicateur  ou  diviseur  de  crédit  ? .............................................................................................................. 8   II.   La  limite  au  pouvoir  de  création  monétaire  des  banques  :  la  liquidité  bancaire....................... 6   Titre  0     Chapitre  0   3.   Economie  monétaire     Page  2

les causes de la richesse des nations ». La question qu’il est pose est pourquoi certains pays se développent plus vite que d’autres ? Economie d’après lui : c’est science qui s’occupe de la richesse des nations. 2- Au début du 19ème siècle, JB Say, il fait paraitre un manuel d’économie politique « la science de la production de la distribution et de la consommation des richesses ». Richesse (biens et services sont des richesses). L’économie s’intéresse au fait de produire les biens, de distribuer

permet aussi de déterminer une valeur monétaire des biens, elle est un voile. Si on veut comparer deux biens il faut comparer le temps de travail respectif pour la production de ce bien. Le salaire étant à peu près équivalent -La loi de Say et neutralité de la monnaie. La loi des débouchés. On peut en tirer deux choses neutralité de la monnaie et impossibilité générale de surproduction Lorsque l’on produit un bien il va nécessairement être vendu. L’offre créée sa propre demande. Si un bien ne se vend

exactes ou aux sciences humaines, l’économie se situe à la frontière de l’utilisation de méthodes purement scientifiques. 1. Le caractère des phénomènes économiques. A. Le caractère causal et ses limites : Le but d’une science est d’énoncer des lois et de les regrouper afin d’en faire des théories. Une loi est la démonstration d’un lien de causalité : un phénomène, par une relation, explique un autre phénomène. Il s’agit donc ici de mettre en relation des phénomènes économiques afin d’émettre des lois

mercantilistes sont souvent considérés comme les premiers économistes. Les penseurs mercantilistes prônent le développement économique par l’enrichissement des nations en conquérant de nouveaux marchés. Il s’agit de développer les exportations et de limiter les importations, d’augmenter la richesse et la puissance des monarques. L’État a alors un rôle primordial dans le développement de la richesse nationale car il doit développer une politique protectionniste, c’est-à-dire, établir des barrières pour

qu’il en soit autrement, peut-être à mettre en place un système éducatif. Ce faisant, Adam Smith approche la notion d’externalité que développeront plus tard les économistes et qui justifiera en partie l’intervention de l’état. Pour illustrer ce principe de division du travail, Adam Smith a employé l'exemple d'une manufacture d'épingles, probablement repris à Henri-Louis Duhamel du Monceau[31], ou bien en se référant à l'article "épingles" de l'encyclopédie de Diderot et d'Alembert (1755) dont on

chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. » Certains philosophes des Lumières lui préfèrent la définition suivante : « La liberté est l'autorisation de n'obéir à aucune autre loi extérieure que celles auxquelles j'ai pu donner mon assentiment » (Kant, note de la 2e section de Vers la paix perpétuelle). La liberté se traduit par le droit pour chacun d'agir comme il le décide afin de poursuivre ses objectifs propres par ses moyens