Principes Et Limites De La Pensée Mercantiliste

fonctionnement normal du marché ne permet pas d’aboutir à une situation d’équilibre satisfaisante. → Cf le graphique représentant l’équilibre parfait entre la demande globale et l’offre globale lorsque la concurrence est pure et parfaite. Les limites de la régulation par le marché justifient alors l’intervention de l’Etat, qui intervient par le biais de la politique économique, le marché ne peut pas se réguler seul. Les moyens d’intervention de l’Etat dans la sphère économique reposent sur un

l’acquisition d’une marchandise qu’il transporte sur une autre place, et il revend pour revenir régulièrement, le plus vite possible, à l’argent A’, en espérant qu’il y ait bouclage avec profit, A’’>A. Le marchand ne se sépare de l’argent qu’avec l’arrière-pensée de le rattraper. Observons l’action d’un gros marchand de vernis, Michel da Lezze. Ce marchand conduit des échanges, et pour lui, échanger signifie avant tout réciprocité, dans le sens ou tout projet de A vers B induit un trajet retour de B vers

consommateurs. En d’autre terme la problématique soulevée ici est : comment concilier une logique mercantiliste qui voit le «bio» comme un moyen de développer certains marchés avec une logique écologique qui correspond à une volonté de la demande de mieux consommer ? Pour répondre à cette question, nous analyserons dans un premier temps la déferlante «bio» dans notre pays. Nous verrons ensuite quelles sont ses limites et à qui profite le bio. Pour terminer nous nous demanderons quel est l’avenir de ce

causes de la richesse des nations. Il montre : - que l'échange est un jeu à somme positive, contrairement aux mercantilistes, premiers capitalistes qui envisageaient l'économie comme une guerre où ce que les uns gagnent est perdu par les autres. - qu'en laissant chacun agir selon son intérêt on aboutit à développer la richesse générale, par l'effet d'une "main invisible". On pense même que les "vices privés » (comme l’égoïsme) sont des "vertus publiques" (car il permet l’enrichissement de la

.................................................................. 13 1. L’impôt dans la théorie pré-libérale ......................................................................................................... 14 a) b) L’impôt chez les mercantilistes .....................................................................................................................................14 L’impôt chez les physiocrate .............................................................................

2 I.L’économie et son domaine 2 A.Qu’est ce que l’économie 2 1. La relativité des besoins et la rareté des biens 2 2. Définition 3 B. Les principaux courants de la pensée économique 3 1. Les préceptes classiques et néo-classiques 4 2. La pensée marxiste 7 3. La pensée keynésienne 9 a) La critique des libéraux Page 1 sur 9 9 lundi 27 octobre 2014 Chapitre 1 : Les fondements de l’activité économique I. L’économie et son domaine A. Qu’est

* Des services (prestations, 3/4 des richesses d’un pays développé appartient au secteur tertiaire). Ces services peuvent être marchands ou non. L’intensité des besoins est illimitée mais les ressources destinées à satisfaire ces besoins sont limités, par conséquent, ils sont rares (matière première, énergie…). Ce qui explique le fait qu’il est nécessaire de faire des choix. Economie : Science humaine qui étudie comment les ressources rares sont employées pour la satisfaction des besoins des

fournit notre effort. Pour satisfaire les besoins qu'ils éprouvent, on doit allouer des ressources rares entre des emplois alternatifs : Ainsi, la notion de rareté entre en jeu. En effet, les moyens des individus sont leurs revenus, or ils sont limités. Il faut donc faire des choix. Cette science économique pose donc la question des satisfaction des besoins humains, et la raison d'être de l'économie est cette satisfaction. La société capitaliste a pour objectif de répondre aux besoins et aux

du niv de l’N -> Baisse de la productivité -> Baisse des W. L’offre ne crée pas la demande contrairement à ce que disent les classiques, avec l’appui de Say, qui confirment que l’offre crée sa propre demande. B. La réponse de Keynes : le principe de la demande effective La demande effective, constituée de la conso et de l’I, est le moteur de l’éco : • Le rev résulte de tech, de ressources et du volume de l’N. • La relation entre le rev et la conso dépend de la propension à consommer

CHAPITRE 2 : Les grands courants de la pensée économique Introduction : Ce qui est proposé ici est un simple aperçu de quelques mouvements de théories économiques qui ont jalonnées l’histoire de la discipline. Objectif 1 : Regarder comment différents auteurs ont construit des raisonnements économiques. Pour cela, on tentera de rapprocher la méthode vue dans le chapitre 1 aux propositions de quelques grands auteurs. Objectif 2 : On constatera que les théories économiques sont construites