Prisme d'accrétion

magmatiques, des failles inverses et des plis caractérisent une zone de contraintes tectoniques compressives. L’axe des plis et la direction des plans de failles sont parallèles à la fosse. - On peut éventuellement trouver à côté de la fosse un prisme d’accrétion sédimentaire témoignant aussi une compression. - Ces déformations s’expliquent par la convergence des deux plaques qui engendrent ces contraintes compressives : les failles et les plis sont le résultats d’un raccourcissement horizontal de la

la plaque continentale, et une plaque plongeante, la plaque océanique. Cela provoque la disparition de l’océan. Au cours de la subduction, les sédiments sur la plaque descendante sont raclés par la plaque chevauchante et incorporés dans le prisme d'accrétion, un amas de sédiments près du continent dans la fosse océanique. Au fil du temps, l’accrétion s’élargit, et la limite de la plaque bouge. Si la subduction dure assez longtemps, l’océan peut disparaître entièrement, comme l’océan alpin qui a

océaniques continuellement apportés par la plaque chevauchée sont "rabotés", considérablement déformés et entassés en écailles superposées. Failles inverses, plis faillés et zones de chevauchements témoignent d'un raccourcissement important dans un prisme d'accrétion (comme les Barbades). [modifier] L'enfoncement de la plaque lithosphérique océanique [modifier] Les foyers sismiques Les foyers sismiques sont de plus en plus profonds sous la plaque chevauchante depuis la fosse vers l'arc insulaire

plissement et leur fracturation. CONCLUSION : Ces arguments sont en accords avec le modèle proposé car celui-ci indique : Au Paléocène – Eocène moyen il y a formation d’une zone de subduction où de la lithosphère océanique avec des sédiments du prisme d’accrétion (future unité Pouebo) s’enfonce sous la lithosphère océanique (zone de subduction océan – océan ; la lithosphère de la plaque chevauchante est la future nappe ophiolitique). A l’Eocène moyen et supérieur le matériel de la future unité Diahot

la dorsale, plus les basaltes du plancher océanique sont anciens. b) Au niveau d’une dorsale, qui est une véritable chaîne sous-marine de montagnes, la lithosphère océanique est particulièrement épaisse. c) Une dorsale océanique est une zone d’accrétion, c’est-à-dire une zone de création de lithosphère. d) Les sédiments les plus anciens recueillis au fond des océans sont situés au niveau des dorsales. 2. Les fonds océaniques : a) sont constitués dans leur plus grande partie de basaltes. b)

| | |Structures plissées, failles inverses. | | | |Prisme d’accrétion sédimentaire : sédiments océaniques déformés et entassés en écailles superposées, entre la plaque subduite | | | |et la plaque chevauchante.

d'une activité volcanique explosive, mais il existe aussi des magmas restant en profondeur); Bordas p 214. Notion développée dans le II. - une déformation lithosphérique importantecours; Bordas p 214 (déformation dans la chaîne de montagne) + le prisme d'accrétion évoqué p 215 (déformation dans les sédiments qui recouvraient la croûte océanique). - une activité sismique suivant une distribution géométrique particulière. TP1 Bordas p 216-218. - une répartition particulière des flux de chaleurcours; Bordas

Antilles situé au niveau de la fosse et donc formé de roches sédimentaires déformés par des plies et des failles inverses. Elles témoignent d’une structure propre aux zones de subduction à faible pendage (angle d’inclinaison) on l’appelle le prisme d'accrétion sédimentaire. Il est dû au “rabotage” des sédiments de la lithosphère subduite par la plaque chevauchante. Ils ont tendance a ne pas s’enfouir et ils sont peux solidaire donc ils ont tendance a se désolidarisé. Tout cela fait qu’ils ne s’enfouissent

Andes) avec : - des plis, témoins d’un raccourcissement lithosphérique d’où une convergence - des failles parallèles à la subduction, souvent inverses, témoins d’une convergence et à l’origine des séismes - des chevauchements - un prisme d’accrétion à profil sismique à côté de la fosse : les sédiments océaniques très déformés sont entassés en écailles superposées et témoignent d’une compression importante (n°2 p.201) • Une activité magmatique importante avec plutonisme (de type granitoïde)

vient se concentrer au niveau de la zone de subduction pour former un prisme d'accrétion. Un troisième type de collision implique la convergence de deux plaques continentales. L'espace océanique se refermant au fur et à mesure du rapprochement de deux plaques continentales, le matériel sédimentaire du plancher océanique, plus abondant près des continents, et celui du prisme d'accrétion se concentrent de plus en plus; le prisme croît. Lorsque les deux plaques entrent en collision, le mécanisme