Prison Montluc

l'idée remonte à la fin du XIXe siècle, est réalisée à la Libération (ordonnance du 2 février 1945). Les juridictions pour mineurs doivent privilégier les mesures « de protection, d'assistance, de surveillance et d'éducation », et ne recourir à la prison que « lorsque les circonstances et la personnalité du délinquant » paraissent l'exiger. L’ordonnance du 02 février 1945 relative à l’enfance délinquante et la création quasi concomitante (ord 01/09/1945) de « l'Éducation Surveillée » au sein du

"étoffes", "j' était libre",... -présent: , les phrases sont brèves, la fin du dernier paragraphe est composé de phrases structurées , gradation de l' énumération, rythme ternaire , surtout du singulier , prison ; "captif" , "mon corp est aux fers dans un cachot" , "mon esprit est en prison dans une idée"(métonymie), "courbé sous son poid", ... Les oppositions sont radicales. Pourquoi Victor Hugo a-t' il multiplié ces oppositions ? 3.Pourquoi ? Il a multiplié ces oppositions pour renforcer

La sécurité en prison La mission de sécurité de l’administration pénitentiaire consiste à assurer une sécurité optimale au sein des établissements pénitentiaires, en prévenant les évasions, les mutineries, les agressions envers le personnel, mais aussi les suicides et les violences carcérales. Aussi, pour gérer les mouvements des détenus et des intervenants extérieurs (professionnels judiciaires et visiteurs) et pour prévenir l’intrusion d’objets illicites, l’administration pénitentiaire concilie

réalisées, pourrait être contraires à leurs fois. La laïcité en prison : 50 à 80% des détenus dans les prisons françaises sont Musulmans, bien entendu, il ne s’agit pas de statistiques officielles puisqu’il est interdit de distinguer les gens par rapport à leurs confessions. Malgré ces statistiques approximatives, l’administration pénitentiaire ne semble s’occuper que des chrétiens. A l’inverse de la Grande-Bretagne où, dans les prisons contenant des personnes de confession musulmanes, deux imams

détenues et sur l’activité des établissements publics de santé qui les prennent en charge permettrait de réajuster périodiquement l’offre de prévention et de soins en fonction des besoins. G adsp n° 44 septembre 2003 dossier 17 La santé en prison Contexte et genèse d’une réforme En 1994, la prise en charge sanitaire des détenus est transférée de l’administration pénitentiaire au service public hospitalier. Cette réforme répond à la volonté d’améliorer l’accès aux soins des détenus et de

publicité du ministère de la justice, pour le recrutement de publicité surveillants pénitentiaires : On y voit une prison sans détenus, neuve, propre, loin de l’image de la prison insalubre, surpeuplée. Publicité du ministère de la justice, en septembre 2008 De plus, le choix du terme « surveillant pénitentiaire » permet d’éviter la connotation péjorative de « gardien de prison ». Cette idéalisation permet de placer l’objet de la communication dans un environnement positif, ce qui le rend plus

sujets à méditer et à mettre de l'ordre dans leur vie sous la pression de la mort imminente. > La peine de mort décourage les proches des victimes à " rendre justice " en marge des tribunaux. > Dans les régions où la surpopulation des prisons est devenue un véritable problème, la peine capitale est aussi perçue comme un moyen de libérer de l'espace pénitentiaire. | | > La peine de mort tue. Or, tuer est mal, la peine de mort est donc mauvaise. En accord avec Victor Hugo " Que dit

piège par les nazis, ils se battent pour leur liberté et celle de leur pays. Les oiseaux dans le ciel symbolisent la liberté. Pouvoir voler dans le ciel et respirer l’air frais est pour l’homme une liberté absolue. Après avoir passé des mois dans la prison de Saint-Michel et dans un wagon dont la chaleur y était intenable, les oiseaux seraient également un symbole de délivrance. D’un autre côté la liberté semble loin pour la fille au béret. La couverture est trouble, on y voit du brouillard au loin

peine de mort à l'encontre des citoyens romains était peu courante et jugée exceptionnelle. On lui préférait des peines de substitution allant, selon le crime et le criminel, de la réprimande privée ou publique à l'exil, ou la torture, ou encore la prison, et en dernier ressort, la mort. Il en était tout autrement pour les étrangers qui étaient considérés comme inférieurs vis-à-vis du citoyen romain et surtout les esclaves, considérés comme une chose dans le patrimoine (res in patrimonio). Précision

personnalité de mineur 40 A. Les étapes de l'acte criminel 40 B. Les conditions du passage a l'acte 41 Chapitre4. Traitement du phénomène 44 I. L'efficacité de la peine d'emprisonnement 44 A. La peine d'emprisonnement 44 B. Les peines alternatives a la prison 45 II. Réduction de l'ampleur du phénomène 48 A. Réformes de la panoplie législative 48 B. Des mesures de prévention 50 III. Remèdes a la délinquancejuvénile 50 A. Exemples du passé 50 B. Exemples modernes 51 ***Conclusion générale 54 Bibliographies