Prison

les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite ! Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite... (Manière de résister : saboter les trains) ------------------------------------------------- C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères. (Guerriers, prisonniers) La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère. Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves. Ici, nous, vois-tu, nous on marche et

d'une personne singulière et éminente. Sous-titré Naissance de la prison, Surveiller et punir est un ouvrage majeur de Michel Foucault paru en 1975. Question, Débat, problèmes, réponses… Ce travail doit s’inscrire dans un double contexte : tout d’abord celui de la « Révolution Culturelle » après Mai 68 ; ensuite celui des révoltes des prisons et de l’engagement politique de M Foucault en créant le Groupe d’Information sur les Prisons (GIP). A travers cet ouvrage l’auteur conceptualise une pratique

disent la peine de mort nécessaire. D’abord, -parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. A quoi bon la mort vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison? Faites mieux votre ronde, si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries? Pas de bourreau où le geôlier suffit. Mais reprend-on, il faut que la société

document. Le document 2 met en valeur les différentes étapes historiques du rapport éducation - répression : En 1860, il y a de plus en plus d'établissements pénitentiers pour mineurs où le mot d'ordre est la punition, les dortoirs se transforment en prison individuelle. Le travail effectué n'est plus valorisé par un soucis pédagogique mais comme une punition de leur enfermement. En 1890, la discipline est de plus en plus dure et la durée des peines de plus en plus longue. En 1912, création du premier

de la prison Michel Foucault 1975 Tel Gallimard Le milieu carcéral est un sujet privilégié si l’on veut étudier le problème de la liberté ; c’est le lieu par excellence des privations des droits et donc des libertés : enfermement, isolement, travail non rémunéré etc. Surveiller et Punir de Michel Foucault est publié en 1975 et a pour sous titre Naissance de la Prison. Le point de départ de l’élaboration de son essai semble être les révoltes et les évasions massives dans les prisons dans les

de détention 2.5-Appui des ONG et Associations II-EVALUATION DES ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRES i -Etablissements en fonction 1. Prison civile de Bouaké 2. Maison d’arrêt et de correction de Korhogo 3. Maison d’arrêt et correction de Séguela 4. Maison d’arrêt et de correction de Bouna 5. Maison d’arrêt et de correction de Man ii -Etablissements non fonctionnels 6. Prison civile de Danané 7. Maison d’arrêt et de correction de Boundiali 8. Maison d’arrêt et de correction de Katiola 9. Maison d’arrêt

criminalité en France de l’ONDRP D5 : Prison et réinsertion La prison n’est guère propice à la réinsertion sociale des délinquants, susceptibles d’être isolés de la société pour de longues périodes, dans un milieu fermé, où ils seront soumis à tous les effets délétères et désocialisants de la prison. Cela étant, si les délinquants sont effectivement incarcérés, il faut alors veiller à ce que les effets délétères de la prison soient réduits le plus possible et qu’une aide soit donnée

annoté ; – un dossier littéraire avec une proposition de parcours de l’œuvre, intitulé « Un récit engagé » et un groupement de documents sur les figures de prisonniers dans la littérature et la peinture ; – une enquête documentaire sur le thème des prisons au XIXe siècle et de nos jours. • L’ouvrage est volontairement varié, attractif dans sa forme et non savant. On a choisi d’y privilégier l’étude des éléments du genre de la nouvelle (les personnages, les données du récit, la construction fortement

qui calculent ; une criminalité de marginaux. L’utilisation de la prison comme forme générale de châtiment n’est néanmoins pas encore perçue comme forme adéquate de punition. L’emprisonnement est prévu, mais parmi d’autres peines ; il est alors le châtiment spécifique de certains délits, ceux qui attentent à la liberté des individus (comme le rapt) ou ceux qui résultent de l’abus de la liberté (le désordre, la violence). La prison est considérée comme incapable de répondre à la spécificité des crimes

avance avec une vivacité spontanée, construit sur une énumération en cascade de substantifs pour marquer la multiplicité de ses informations : « les vaisseaux, la mer, la France, les affaires, les hommes, les évènements, les lois, les hôtels et les prisons ». Essayons de classer des divers registres de cette diverse expérience : - d’abord, on regroupe «les vaisseaux, le mer, la France, l’étranger » : ces termes marquent le mouvement, Vautrin n’est pas un sédentaire, il connaît des pays, il a