Prix Mystère de la critique

...................................................................................................3 1 Luc PLAMONDON, Monopolis .........................................................................................6 2 Didier DAENINCKX, Le Jeu-Mystère ...............................................................................9 3 Collin HIGGINS, Jean-Claude CARRIÈRE, Harold et Maude........................................13 4 Arthur RIMBAUD, Les effarés .....................................

biais d'une anthologie, par exemple. Il en existe en livres de poche. Vous pouvez lire des ouvrages ayant obtenu le Prix Goncourt des lycéens Ce prix littéraire a été créé, en 1988, par la Fnac et le Rectorat de Rennes pour donner aux jeunes l'envie de lire, le goût de l’écrit et de l’échange littéraire. Tous les lauréats : http://www.evene.fr/livres/prix-litteraires/prix-goncourt-des-lyceens.php Vous pouvez lire des romans modernes et contemporains : Olivier ADAM, Je vais bien, ne

par les archontes. Chaque concours mettait en compétition 3 concurrents, chaque auteur présentant sur un thème imposé une tétralogie comprenant 3 tragédies se rapportant à la même légende (Cf. Œdipe) et un drame satyrique franchement comique. Le prix fut remporté 13 fois par Eschyle, 20 fois par Sophocle, 5 fois par Euripide. II – HISTOIRE D’UN GENRE 1- Le théâtre grec Il a engendré la tragédie et la comédie. La tragédie grecque : Etymologie : vient de « tragos », le bouc + « oïdé »

avoir pour cela de jouer avec moi : l’autre est un signe et me fait des signes. Cela signifie d’abord qu’il y a toujours en l’autre une part irréductible de mystère qui nous échappe, et que nous voudrions à la fois épuiser, réduire et vider (« à quoi tu penses ? ») et en même temps préserver : plus moyen d’aimer l’autre quand il n’a plus de mystère, même si en même temps on voudrait pouvoir lire en l’autre à livre ouvert. Autrui n’est pas un objet qui s’analyse, mais un humain à rencontrer : ce n’est

individus, des groupes sociaux ou politiques, des États) qui s'apparente à un contrat. ---------- Les anciennes cosmogonies ou les grandes religions s'érigèrent en véritables remparts contre le mal. Qui désormais nous protégera ? e mal est un mystère, une énigme pour la pensée. Devant le vieillissement, la souffrance ou la mort, les catastrophes naturelles et toutes les injustices de l'exis¬tence, on ne peut que se poser la question de Job : pourquoi ? Devant l'autre type de mal, le mal moral

Le poète peut se définir comme un « voyant ». Partant du mot, de sa polysémie, de ses sonorités, il cherche à dire dans sa poésie la multiplicité du monde, parfois oublier par les lecteurs. Tandis que le langage commun rejette la complexité et le mystère, le langage poétique doit aller vers l'inconnu, rechercher l'inédit afin d'élargir la pensée, la faire naître. Le poète acquiert ainsi le statut de celui qui dit une vérité non soupçonnée. La vérité poétique n'est pas une vérité scientifique, elle

non-seulement un peu moins niais, mais encore dans l'appareil d'un jeune homme élégant dont les manières avaient été formées par les salons les plus polis, dont l'éducation avait été achevée par les femmes les plus gracieuses, qui avait enfin recueilli le prix de ses souffrances, et qui avait mis en usage l'expérience du plus bel ange que le ciel ait commis à la garde d'un enfant. Quand Henriette vit le jeune homme là où elle n'avait jamais vu qu'un enfant, elle abaissa le regard vers la terre par un mouvement

brochures vendues par les colporteurs). Le livre reste un produit et seuls les plus aisés ont les moyens d’acheter des livres (environ 7 francs 50 soit 2 jours de travail d’un ouvrier). A partir de 1830, les éditeurs vont s’efforcer de faire baisser le prix du livre. La seconde moitié du XIXème voit un élargissement du lectorat, dû au progrès de l’alphabétisation et de la scolarisation ; de la hausse du pouvoir d’achat ; et l’amélioration des progrès techniques dans la fabrication du livre permettent

défavorisée. Car malgré le fait que les produits homéopathiques (du moins les matières premières utilisées dans leur fabrication) soient, d’après le témoignage des praticiens en homéopathie, souvent moins chers que les produits allopathiques, leur prix de vente reste assez élevé par rapport à celui de ces derniers (remboursés pour la plupart, sous prescription). De plus, en général, leur coût de fabrication est plus élevé (sans compter la marge bénéficiaire prélevée par le fabricant) en raison notamment

mot résonne pour les femmes : PEUR. Nous sommes à Ciudad Juarez, ville frontalière entre le Mexique et les États-Unis. Chaque jour, des dizaines de femmes y meurent pour des raisons encore inconnus à ce jour et aussi parce que nées femmes. Tous ces mystères, Sandra a 2 semaines pour les résoudre et ainsi rapporter un reportage solide. Sur place, elle rencontre Miguel Perea, rédacteur en chef de l’hebdomadaire El Norte. Ce dernier lui explique qu’ici tout le monde est corrompu : aussi bien la population