Problématique Déforestation

aujourd'hui. On peut remarquer sur le document ci-dessus que plus de 70% des forêts du monde on était détruite depuis 8 000 ans. Il existe plusieurs causes dues à cette déforestation. La première est l'agriculture de substance, suivit de l'élevage, l'énergie en bois, agriculture permanente et du gaspillage. La déforestation a pour conséquence, la destruction d'habitat de milliers d'êtres vivants. Les forêts hébergent plus de 80% de la biodiversité terrestre et abritent et nourrissent le plus

ressources agricoles, les pays en développement sont très exposés aux modifications des équilibres écologiques. Or, c’est précisément dans ces régions, en particulier dans les bassins forestiers du Congo, de l’Amazonie et d’Asie du Sud-est, que la déforestation est la plus importante. ii- Exploitation des ressources forestières Face à la demande croissante des ressources de la planète, la gestion durable des forêts paraît être l'un des défis environnementaux les plus importants que l'humanité a à

et qui réduit des labours ce qui provoquera une réduction de l’émission de CO2 et de m’érosion. Les risques sanitaires ne sont pas connus, il y a une grande dépendance des agriculteurs vis-à-vis des semenciers. Le Brésil lutte aussi contre la déforestation en Amazonie, toutes ces mesures volontaristes ont permis de stabiliser certains fronts pionniers tout en préservant des îlots de forêts des politiques de développement les plus prédatrices pour les écosystèmes.

pour notre planète. Il s’agit de la pollution de l’environnement et des problèmes écologiques, tels que l’effet de serre, le réchauffement de la terre, la production de gaz toxiques, le changement climatique, la désertification progressive, la déforestation, la contamination alimentaire, la surpopulation, la disparition d’espèces végétales et animales. Il faut prendre des mesures pour contrôler l’environnement et prévenir les catastrophes. Par exemple, pour garder l’atmosphère propre, on utilise le

Plan de révision 2e étape Dossier 2 Différencier déboisement, déforestation et dégradation forestière: Déboisement : des arbres sont coupés sur un territoire, peu importe la raison. Dégradation : les conditions nécessaires à la repousse sont compromises, mais les dégâts ne sont pas permanents. Déforestation : la détérioration de la forêt est permanente. La forêt est remplacée par un territoire agricole, urbain ou autre. Les types de forêt : Les 3 types de forêt dans le monde: Forêt

«roturiers», comme ils sont nommés dans l’étude, ont déjà conduit à l’effondrement de civilisations. Dans son essai L’Effondrement, présenté dans Le Monde, Jared Diamond expliquait par exemple comment les Mayas ont couru à leur propre fin. La déforestation et la culture intensive du maïs ont été les premiers pas vers l’écroulement de cette civilisation. L’auteur identifie cinq facteurs qui mènent à l’effondrement d’une civilisation, facteurs qui rejoignent l’étude de la Nasa. Jared Diamond parle

imortante mais pourtant rendements tp faible. Insécurité alimentaire : 25% des A son sous alimentés et 20% son mal alimenté. Emeutes de la fin sont récurrentes. Facteur aggravant, naturel et éco : Risque environnementaux-> érosion des sols, déforestation, désertification, handicaps des pratiques agricoles et conséquence du réchauffement climatique. Utilisation d’OGM favorise la dégradation des sols. I) Continent Africain face à la mondia : A- «  Mondialisation » de domination ancienne : Une

question décisive du degré de substitution entre ces différents capitaux. On évoquera, à l’aide d’exemples, les limites écologiques auxquelles se heurte la croissance économique (épuisement des ressources énergétiques et des réserves halieutiques, déforestation, augmentation de la concentration des gaz à effet de serre, etc.). On soulignera à ce propos que le PIB n’a pas été conçu pour évaluer la soutenabilité de la croissance. [Traité dans le chapitre 1] » « L’exemple de la politique climatique permettra

coton fut véritablement décisive dans les années 1980 pour ensuite décroître peu à peu ; notons qu’il s’agit d’une culture dont les rendements sont plutôt moindres face au soja ou à la canne à sucre. Pourtant en intensifiant dangereusement la déforestation et l’utilisation d’engrais chimiques le coton semble connaître une nouvelle progression au Brésil. Aussi Erik Orsenna, romancier et académicien français auteur de Voyage aux pays du coton (Fayard, 2006) tente de comprendre l’organisation et les

faim. Il s'agit donc d'une agriculture encore peu soucieuse des critères du développement durable[4]. En effet, si son rôle économique est important, elle ne répond pas aux attentes sociales et écologiques : la sous-nutrition reste massive, la déforestation et la pollution sont croissantes ; pour échapper à cette pollution, les agriculteurs se déplacent vers les forêts et déforestent, ce qui attire l'urbanisation et donc la pollution... En conclusion, l'agriculture brésilienne est certes l'une