Problématique Le Port Baudelaire

moins démodés, les plus atemporels. Ce sont des moments de tendresses car ce sont des sentiments vrais. 464 – 489 les portes du temple. Le premier sujet c’est la description du premier regard que porte Enée quand il arrive à Carthage. Il tombe sur le temple de Junon. Sur les portes, une succession de scènes sont gravées dans le bois. On raconte des évènements sur les portes du temple. Il n’a pas encore vu didon, il ne sait où il est, il a perdu ses compagnons dans la tempête. Enée n’est pas encore

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62 ÉVALUATION Tester ses connaissances sur la poésie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64 VERS LE BAC Question sur un corpus : Baudelaire, Jaccottet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 Commentaire • Dissertation • Écriture d’invention . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68-73 2 © Hachette Livre 2013, Cahier de français 1re – La photocopie non autorisée

aux questions 11 Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76 Le Jeu de l'Amour et du Hasard I, 6 81 Amphitryon I, 2 (extrait) 87 Les Liaisons dangereuses 92 Bel-Ami (incipit)

pressionnisme a fait oublier. Qu’est-ce qui caractérise les images ainsi obtenues ? La gravure, dans sa simplicité de lignes et de manière, et dans son dépouillement, privilégie l’essentiel, semble fixer un instant, comme ici, capté avec vigueur. Selon Baudelaire, que connaît et dont s’inspire Verlaine, la gravure est le genre « qui se rapproche le plus de l’expression littéraire » en ce sens qu’il offre et suggère un espace à l’expression de la subjectivité. 3 Montrez que le dépouillement propre à cette

Les utopies du XVIIIe siècle, on pense notamment au Voyage de Gulliver de Swift (1726) ou à La Découverte australe de Restif de la Bretonne, semblent atomiser l’ailleurs en un chapelet insulaire. Cette pléiade d’îles déconstruit l’unité déjà problématique du genre. Le XVIIIe siècle commence à faire la critique de l’utopie, qui vole en éclats, comme l’a montré Bronislaw Bacszko, dans Lumières de l’Utopie. Il met au jour des micro-utopies. Pour renouveler un modèle narratif qui lasse, on n’hésite

types de femmes européennes, « anglaise » puis « autrichienne ». Elle démontre ainsi que c’est l’environnement qu’elle a stylisé et dans lequel elle se met en scène qui va déterminer chez le spectateur son appartenance ethnique. Ainsi, au-delà des problématiques liées au rapport de force homme/femme, l’artiste nous interpelle également sur les visions stéréotypées que nous avons de certaines cultures et avec lesquelles nous lisons ses autoportraits. L’autoportrait ci-contre est une œuvre de Sarah Lucas

l’époque, de la société et du contexte : par exemple, prescrit par un médecin ou auto-administré, un même produit sera considéré comme un médicament ou une drogue. Au XIXème siècle, elle était largement consommée par les artistes, comme l’illustre Baudelaire avec ses « paradis artificiels » . 1804 : Sacre de Napoléon I 1805 : Extraction de la morphine à partir de l’opium 1839 : 1ère guerre de l’opium 1848 : 2ème République proclamée 1852 : Napoléon III Empereur 1856 : 2ème guerre de l’opium

présupposé de ces cours magistraux : concevoir le théâtre comme un genre littéraire dont il s'agirait de proposer une histoire et une histoire de la théorie. Le théâtre est-il un genre littéraire ? Le théâtre en tant que tel ne relève pas de la problématique générique. A l'intérieur certes des genres théâtraux, définis par des poétiques, mais le Théâtre en tant que tel n'est pas forcément un genre, il serait davantage un mode de représentation particulier que l'on pourrait qualifier de direct que l'on

réception, de l'intertextualité, de la sociocritique, etc. ont imposé une nouvelle conception du fait littéraire, celle d'un acte de communication dans lequel le dit et le dire, le texte et son contexte sont indissociables. D'abord marginales, ces problématiques occupent à présent le devant de la scène. Bien des chercheurs ont pris acte de cette transformation, mais la majorité des "usagers" des études littéraires continuent à raisonner sur les schémas traditionnels, sans s'apercevoir que la conjoncture

c’est-à-dire qu’il se situe hors de la structure communicationnelle. Enfin, aussi irréel que puisse paraître l’énoncé lyrique, le « je-origine » est réel [2]. Malgré ces critères, dans Une saison en Enfer, la nature du sujet et son identification sont problématiques. D’une part, le référent du « je » varie ; d’autre part, l’énonciation n’est pas toujours à la première personne. Les fluctuations énonciatives sont renforcées par les connotations plurielles du titre. On peut voir dans Une saison en enfer l’indice