Procédés Complicité Avec Spectateur Thêatre

l’invention du photomontage (vers 1917). Des artistes assemblent des morceaux de photographies dont ils ne sont pas les auteurs et créent ainsi leurs propres œuvres. • Rodtchenko, chef de file du constructivisme (largement soviétique) utilise un procédé semblable dans ses œuvres graphiques. 3 Il conçoit notamment l’affiche de Kino-Glaz de Dziga Vertov en 1924. Sur cette affiche, on peut voir : - du texte, un peu partout ; - en haut, un œil immense par rapport aux autres motifs (ne sont donc respectées

Epopée: Récit qui narre les exploits souvent guerriers des humains. Péripétie: Changement subit et imprévu d’un état dans un autre. Notamment des changements de ce genre qui ont lieu dans les pièces de théâtres, les romans, etc… Anaphore: Quand on répète un même mot en début ou fin de phrase (ex: moi, vous, moi). Personnages éponymes: Personnages qui donnent leur nom à l’œuvre. Epître: Grande

changement dans sa manière de peindre, il n’y a plus de fond, les traits sont imprécis et il utilise le carton comme support. Au sous-sol dans une immense salle nous sommes face aux lithographies qui ont révélé Toulouse Lautrec. La lithographie est un procédé d’impression qui permet de produire des images en plusieurs exemplaires .Ces affiches représentent des lieux de fête parisiens, des personnages célèbres qu’il côtoyait. Le Moulin Albigeois Pillar ALBARACIN Cette exposition avait lieu aux

ramassée, la plus épurée, la plus dépouillée d'incidents. Les faits qui se déroulent sous les yeux des spectateurs sont réduits au minimum. Alors que le dramaturge aurait pu procéder par revirements et coups de théâtre successifs pour unir puis éloigner successivement les deux personnages, il ne fit intervenir aucun évènement extérieur à l’action et qui aurait pu lui faire de l’ombre, aucun coup de théâtre, le rôle du hasard étant réduit à la lettre arrachée à I'héroïne, et qui informe Titus de son projet

le narrateur nous parle. Le déictique « là » semble nous indiquer un endroit qui se trouve devant nous. Complicité ou familiarité supposées entre le lecteur et le narrateur. Cette complicité se renforcera par la suite dans le livre par « le vous » qui s’adresse au lecteur et par le style oral. B) Le personnage : Frédéric : pas de présentation réelle sinon par un brouillage avec le procédé de généralisation de tous les Frédéric. Pas d’identification très nette : pluralité vient effacer la notion

460 et 429), renforcé la puissance athénienne et il s'était mis à embellir la cité de nombreux temples et monuments. Les Grandes Dionysies attiraient désormais d'immenses foules venues « de tous les horizons où l'on parlait le grec » (Baldry, Le théâtre tragique des Grecs, Paris, Maspéro-La Découverte, 1975, p. 34). 1 C'est dans le cadre de compétitions clôturant les fêtes en l'honneur de Dionysos, Lénéennes et surtout Grandes Dionysies, qu'avaient lieu les représentations théâtrales. Leur organisation

p 53 II Les hommes qui fondent la Famille Magnifique p 58 1 Eléments de biographie p 58 2 Engagement théâtral et vision de la culture p 70 3 Le sens du projet des Magnifiques p 74 III Le public p 79 1 Le public de théâtre : l’élite et la masse p 79 2 Le public des Magnifiques p 83 CHAPITRE III — LE ROLE SOCIAL DE LA CULTURE EN MILIEU RURAL p 94 I Le rôle de la culture p 94 1 La culture selon le public p 94 2 La culture selon les élus

nombre de compagnies et de théâtres, festivals, à travers lesquels j’imaginais découvrir le fonctionnement de structures non institutionnelles, aux projets artistiques singuliers. De l’autre, des structures de coopérations culturelles ; ralliées aux organismes des affaires étrangères. Le poste qui me semblait correspondre le mieux à ma personnalité était celui de stagiaire en relation publique. J’ai d’ailleurs longuement hésité à poser ma candidature auprès du Théâtre National de Toulouse qui offre

«Prenez» : Imaginez, - «liard» : Petite monnaie qui valait trois deniers. Selon ‘’Le Mercure’’, «Arlequin qui tient encore un peu à sa chère villageoise parle en homme qui y tient encore beaucoup […] Cette scène aurait fait un plus grand effet sur les spectateurs si Arlequin leur eût paru uniquement occupé de Silvia. […] Le roi en est si attendri que peu s'en faut qu'il ne lui [à Arlequin] cède sa maîtresse». Le ton des paroles du Prince frôle ici la mièvrerie. Il faut remarquer le rôle que joue à la fin

sans se lasser et dont leurs spectateurs, leurs lecteurs (...) leur demandent sans cesse l’affimation. Nous exigeons seulement que cette histoire vraie nous soit contée avec art et de cent façons.” Jacques Lemarchand, Le Figaro littéraire, 1955. * Les hommes sont mortels: “l’originalité de Camus est d’insister sur cette constatation banale.” R.-M. Albérès, Les hommes traqués, A. Michel, Paris, 1953, p. 195, cité par Sonia Kamel, La condition humaine dans le théâtre d’Albert Camus (cf. bibliographie)