Procédés Conventionnels Théâtre Partagé Avec Le Spectateur

sera la dédicataire du Voyage. Céline est attiré par la finesse, par la légèreté, l’apesanteur. C'est à la fois une thématique personnelle et une esthétique. Il ouvre un cabinet médical et travaille en banlieue (Clichy). 1927 : Il écrit une pièce de théâtre : L’Eglise, satire du colonialisme en Afrique, de la Société des Nations. Première trace d’antisémitisme : le nom du personnage principal. Les obsessions commencent. C’est une pièce injouable. 1924-32 : compose son 1er grand livre : Voyage au bout

épopée en prose, épopée mais glissement de la thématique guerrière à la thématique amoureuse. Mêmes exigence que l’épopée : longueur, héroïsme…), roman comique (Le Roman comique, de Scarron : histoire d’une troupe de comédien = roman qui parle du théâtre, pas livre de farces. C’est une parodie du roman héroïque, personnages modestes, qui subite le rire, il est aussi long, foisonnant, beaucoup de personnages, péripéties invraisemblables, goût pour les structures enchâssées). C’est le ROMANESQUE.

faisant semblant de commenter les faits il met en avant ses vertus. B/ Un personnage ruse Le renard construit une argumentation envers le roi Sujet du discours non correspondant à celui prescrit  on ne prélève pas de pronom « je » Il procède par retournement et inversion des images, il dévalorise les victimes  accumulation asyndétique « eh bien manger mouton, canailles, sottes espèces » Berger présenter comme « coupable de tous les maux » oppresseur de tous les animaux Transformat*

un passage d'horreur. Dans les termes de mise en garde, il serait "interdit aux moins de 12 ans, passage comportant des scènes dont la violence [visuelle et psychologique] risque de heurter la sensibilité du spectateur", puisque l'âge minimum du spectateur est défini et que chaque spectateur a sa sensibilité propre quel que soit son âge. Dans cette optique, le fantastique serait repérable pour tout lecteur, si celui-ci subit un texte perturbant. Cet aspect fluctuant peut être considéré comme

entre le lecteur et le narrateur. Cette complicité se renforcera par la suite dans le livre par « le vous » qui s’adresse au lecteur et par le style oral. B) Le personnage : Frédéric : pas de présentation réelle sinon par un brouillage avec le procédé de généralisation de tous les Frédéric. Pas d’identification très nette : pluralité vient effacer la notion d’une identité précise. Abandon de ce personnage qui laisse la place à la description d’un hêtre. Frédéric II a le nom d’un roi (portrait sera

paradoxal ou non. Chevillard, dont la “poésie” publiée dans ce numéro participe de ce type de création dans lequel la langue se trouve au premier plan, évoque à ce sujet les “nécessaires catastrophes”5 produites par le court-circuitage du langage conventionnel lorsque la métaphore ou l’humour entrent en jeu. Ouvertures et intertexte L’implicite et l’allusif sont constitutifs des fictions (très) brèves. Souvent, et c’est clairement le cas chez les auteurs abordés dans ce numéro, elles s’ouvrent sur l’intertexte

Université de Nantes et Éric Pellet Agrégé de Lettres modernes Université de Paris XII – Val-de-Marne Marianne Chomienne Agrégée de Lettres modernes Collège Charcot, Saint-Malo Sylvie Fontaine Agrégée de Lettres modernes Responsable théâtre – éducation Nouveau Théâtre d’Angers Dominique Haubert Agrégée de Lettres modernes Académie de Paris Eva Mouillaud Certifiée de Lettres modernes Collège Évariste Galois, Nanterre Françoise Santoni-Bissaïn Certifiée de Lettres classiques Collège Jean Moulin, Croissy-sur-Seine

maison» par deux femmes, sa sœur, Mlle Baptistine, et une servante, Mme Magloire) et un esprit de charité vraiment évangélique, qu’il déploie dans son «dur évêché». Son incarnation des vertus évangéliques l’amène à reconnaître, à travers un vieux conventionnel mourant, la lumière de la Révolution, et même à lui demander sa bénédiction, sans qu’il soit «un évêque philosophe» ou «un curé patriote». En effet, c’est un fervent royaliste qui ne cessa de témoigner au régime impérial une réserve hostile, qui

s’il est avancé, n’inspire que sarcasmes. Au premier rang de ceux-ci, le roman. Boileau cite le terme, ou bien il évoque dédaigneusement ses héros « doucereux », mais c’est au détour d’un vers, en manière de repoussoir. Selon lui, le roman, comme le théâtre contemporain est envahi par les faiblesses de l’amour ; mais il faut « excuser» sa « frivolité » sans conséquence ! « Dans un roman frivole aisément tout s’excuse / C’est assez qu’en courant la fiction s’amuse ». b. La question de la vraisemblance

. . . . . . . Sujet 16 • Texte de Georges Brassens (série collège, juin 2006) . Sujet 17 • Texte d’Arthur Rimbaud (série collège, juin 2006) . . Sujet 18 • Texte de Jules Supervielle (série collège, nov. 2007) . . . . . 261 ¾ ½ ¾ ¾ ¾ Le théâtre L’autobiographie 294 301 Sujet 19 • Texte de Marcel Pagnol (séries tech. et prof., juin 2005) ¾ Sujet 20 • Texte de Jérôme Garcin (série collège, avr. 2007) . . . . ¿¼½ Sujet 21 • Texte de Romain Gary (série collège, déc. 2007) . . . . ¿¼ Sujet