Produit intérieur brut réel

autres, le chômage augmente, les faillites se multiplient, etc. Dans un climat de destruction générale de la valeur (élimination des stocks, fermeture des entreprises et des filières les moins rentables), l’économie se retrouve en état de déflation réelle. Le système devient alors chaotique et incontrôlable, les troubles politiques et sociaux venant encore aggraver la situation. Nombre d’économistes pensent que nous sommes aujourd’hui dans la phase B d’un cycle entamé il y a environ 35 ans, et que

de sociétés, d'administrations. Cette production donne lieu à versement de rémunérations : biens et services produits, rémunérations : salaires, dividendes, agents qui peuvent se transférer certains droits en échangeant des titres financiers (actions et obligations), à partir des rémunérations et en tirant sur les réserves d'épargne : acquisition des biens et services produits pour les consommer ou les accumuler. La comptabilité nationale considère l'économie comme un "jeu" dans lequel

contribue à la croissance économique. Celle-ci se définit principalement comme étant l'augmentation de la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée. En pratique, l'indicateur utilisé pour la mesurer est le produit intérieur brut ou PIB. En parallèle, on constate que l’environnement prend une place prépondérante dans la société. On peut donc se demander : la croissance économique au sein des PDEM (Pays Développés à Economie de Marché) peut-elle être conciliable avec

par le manque de transparence dont a fait preuve le pays dans la présentation de sa dette et de son déficit. Pour l'économiste Jean Pisani-Ferry, « depuis dix ans, l'écart moyen entre le déficit budgétaire réel et le chiffre notifié à la Commission européenne a été de 2,2 % du produit intérieur brut (PIB). » La crise menace de s'étendre à d'autres pays, notamment le Portugal et l'Espagne, des pays fragiles qui ont été amenés à prendre des mesures de rigueur. Pour certains, cette crise traduirait les

société et cela par le suicide. Cette transition a vraiment bouleversé la population Russe les privatisations dans le secteur public au nombre très important de 112 625 entreprises de plus à suivi une inflation très importante qui a divisé le produit intérieur brut en deux à été très difficile en tout point pour la population. Le chômage lui a augmenté très rapidement entre 1990 et 1994 il atteignait 0.1% en 1990 a augmenté de 0.8% en 1992 et 7.5 en 1994. On observe donc une augmentation du taux de chômage

façon durable un produit réel global ; d’autre parte, l’ensemble des changements observables dans le système économique et dans le type d’organisation qui conditionnent la croissance. » Expansion Phase d’un cycle économique sur le court terme, alors que la croissance engage le long terme Mesure de la croissance PIB : produit intérieur brut  Somme des VA réalisées dans un pays (ex de la France : peu importe que l’entreprise soit française ou pas) PNB : produit national brut Somme des

petite taille sont desormais au cœur des politiques de structuration vers l’economie de marché. La cote d’ivoire aussi n’est pas en marge de cette situation. Ainsi la question qu’on pourrait se poser est la suivante : quelle est la contribution réelle des PME dans le développement économique et social de la cote d’ivoire ? C’est a cette préoccupation que notre étude s’attèlera a y répondre I. GENERALITES SUR LES PME 1_notion de pme La definition de la PME( Petite et Moyenne Entreprise)

B.C.C. : Banque Centrale du Congo CDF : Franc congolais FMI : Fonds monétaire internationale OHADA : Organisation pour l'harmonisation du droit des affaires en Afrique. OMD : Objectifs du millénaire pour le développement. P.I.B. : Produit Intérieur Brut P.P.T.E. : Pays pauvres très endettées USD : Dollars Américain LISTE DES TABLEAUX ET GRAPHIQUES Tableaux Tableau 1 : Le taux de croissance du PIB et le Taux d’inflation Tableau 2 : La structure de la balance des paiements

Gadrey - En matière de comparaisons internationales comme sur le plan des progrès au cours du temps, la vision dominante de la richesse est actuellement une vision purement économique et monétaire. Ne sont prises en compte, dans le calcul du Produit intérieur brut (PIB) que les valeurs ajoutées de la production marchande, auxquelles on ajoute le coût de production des services non marchands des administrations publiques (par exemple l’éducation, la santé publique). C’est donc une richesse purement marchande

l'ONU regroupant les pays les moins développés socio-économiquement de la planète. En 2003, le C.E.S. des nations unies a retenu trois critères pour déterminer la liste des PMA : * revenu par habitant basé sur une estimation moyenne du produit intérieur brut par habitant pendant trois années ; s'il est inférieur à 900 $ US, le pays est retenu pour la qualification de PMA, * retard dans le développement humain basé sur un indice composite incluant des indicateurs de santé, nutrition et scolarisation