Produit La Richesse En Créant La Misère

tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des

Introduction Dans un contexte historique précis (guerres de religion, guerres mondiales, atteintes à des libertés, misère sociale...) le poète peut décider de mettre son art au service d'une cause. Dans ce cas, on dit que sa poésie est engagée. Elle invite ses lecteurs à la réflexion ou à l'action. Sa fonction est de révéler la réalité : la poésie engagée est toujours ancrée dans l' Histoire. On trouve donc souvent des noms de lieux, de personnes ou de dates. Elle sert aussi à convaincre les

oeuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ? Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères

dire que cette exploitation est contraire à la religion. C) Une très forte argumentation : En dernier lieu, l'auteur fait appel à la raison de son lecteur pour finir de le convaincre. Au vers 14, il énonce une paradoxe : « Qui produit la richesse en créant la misère, » en signifiant que les adultes s’enrichissent en rendant les enfants malheureux. Tout ceci, afin de surprendre et d’inviter à la réflexion. Pour finir ce poème, du vers 33 au vers 34 à la suite : « Au nom du vrai travail, saint,

mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère » b) La peine de mort Il est résolument contre la peine de mort. Dans son enfance, il assiste à des exécutions publiques qui le marqueront toute sa vie. Il démontre l’injustice de cette peine dans ses ouvrages, ses discours. Il utilise sa notoriété et met son éloquence au service de cette idée. Il pense que les vrais coupables sont l’ignorance et la misère. Par exemple, Le dernier jour d’un condamné (1829)

condamnent à une seul chose,la mort « qui tue, œuvre insensée ».Le progrès est donc une sorte de lame à double tranchant car il crée le bonheur de certain tout en provoquant le malheur des autres,ici celui des enfants (vers 24) « qui produit la richesse en créant la misère ». Au final à travers la description de cette usine et grâce au multiple registre qu'il emploi (réaliste,pathétique,fantastique),Victor Hugo réussit à nous montrer sa vision du progrès:une abomination qui n'avance qu'en provoquant

doctorat en philosophie qu’il obtient en 1841 de l'université d'Iéna). Il exercera le métier de journaliste politique à la Gazette rhénane de Cologne. En octobre 1842, il en devient le rédacteur en chef. Ses articles décrivent et dénoncent la misère de vignerons de la Moselle, défendent la liberté de la presse, condamnent les politiques réactionnaires du gouvernement prussien, etc. En 1843, un interdit gouvernemental met fin à la production et à la diffusion du journal. À l’automne

d’énergie facilitent et intensifient la production d’acier, la construction navale, automobile… La recherche scientifique et la chimie, de plus en plus importantes dans les entreprises, permettent de mettre au point de nouveaux procédés, de nouveaux produits qui ne tardent pas à trouver des applications dans des secteurs très divers (alimentation, médecine, textile, télécommunications, vie quotidienne…). La vie quotidienne, le paysage (désormais éclairé par des réverbères), les distances (qui paraissent

qui tue, œuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée, Et qui ferait - c'est là son fruit le plus certain ! - D'Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l'âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d'un enfant ainsi que d'un outil ! Progrès dont on demande : « Où va-t-il ? que veut-il ? » Qui brise la jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, Une âme à la machine et la retire à l'homme ! Que ce travail, haï des mères

permis aux ennemis de l’Islam de déposséder massivement et légalement l’humanité de sa richesse. Il n’y a pas non plus de prise de conscience du fait que ces ennemis aient conçu un système monétaire qui les mettrait à la tête d’une dictature financière sur le monde entier. Ils ont déjà réussi à asservir des millions de Musulmans (ainsi que d’autres au sein de l’humanité) avec des salaires de misère (ou avec la misère elle-même), tout en poursuivant un sinistre programme mondial pour le compte de l’état