Profit Marx Keynes Ricardo

l'activité économique d'une nation. PIB (Produit Interieur Brut): Somme des VA des secteurs institutionnels. Section II : Les Grands courants de la pensée économique 1 - Le Libéralisme: Le courant de pensée de l'école classique (Adam SMITH, David RICARDO, Thomas MALTHUS, Jb SAY), ''Recherche sur la nature et les causes de la richesse d'une nation''. Liberté politque: Liberté de pensée ce que l'on veut, d'agir comme on le souhaite, d'hadérer aux politiques que l'on souhaite ( ex: Révolution Française

aucun n’est susceptible d’influencer le marché) • homogénéité des produits (tous les produits sont identique)  seul le prix sera de nature à influencer les choix • libre entrée / libre sortie sur le marché • mobilité des facteurs de production (Ricardo) • transparence de l’information Ce marché a une vertu très particulière : il aboutit à l’équilibre (si on entrave pas cet équilibre en intervenant). C’est la notion de mécanisme de marché. Le marché est juste dans son fonctionnement (équitable)

chômage involontaire, le seul chômage véritable. Contrairement à l'optimisme candide de la théorie classique, Keynes ne croît pas que notre système économique puisse assurer automatiquement le plein emploi. Le capitalisme moderne, organisé par les marchés boursiers et financiers, lui paraît même moins apte que le capitalisme familial à permettre la convergence des anticipations. C'est pourquoi Keynes a prophétisé un développement du rôle économique de l’État. L'Histoire des Trente Glorieuses (1945-1975)

Pour eux le commerce et l’industrie sont la pourcc transformer les richesses, alors que la seule activité productive est l’agriculture. Quesnay préconise la liberté du commerce, c’est le « bon prix » qui assure des recettes raisonnables, donc les profits qui pourront être reversé aux propriétaires fonciers. Quesnay propose la valeur ajoutée, un tableau économique qui introduit l’idée de circuit économique. Tentative de comptabilité nationale en représentant la circulation des flux réel et monétaires

réglementation. Or le point communs à tous les économistes du 19ème siècle, c’est qu’ils ont tous pensé que la rareté allait disparaitre parce qu’ils avaient tous une idée limitée des besoins humains. Chez les classiques, cela s’appelle l’âge d’or. Chez Marx c’est la phase ultime du communiste : à chacun selon ces besoins. Dans les deux cas c’est une illusion car la rareté n’a pas disparu. Il existe encore des besoins non satisfaits. Mais l’erreur est d’avoir cru que la liste des besoins humains est limitée

d’être contesté (par des philosophes, des alter mondialistes et certains économistes hétérodoxes) L’économie politique est parfois décriée car elle on la soupçonne de couvrir certaines pratiques qui font passer la recherche individuelle et égoïste du profit avant l’intérêt général de la société et de répandre l’idée que la recherche par chacun de son avantage conduit automatiquement à l’intérêt général. C’est surtout la pensée économique néolibérale qualifiée parfois de pensée unique qui est visée. Vous

pour limiter les naissances. - Dans les 80’s et 90’s : certains pays connaissent forte augmentation de leur population sans connaître le dév. - La croissance démographique serait une des raisons essentielles de ce blocage. K. Marx (1818-1883), s’opposera de manière virulente aux thèses malthusiennes : - Pour lui, la loi de la pop énoncée par Malthus ǂ naturelle, mais historique => condit° historiques de la p° et de son évolut° (intégration de PT dans l’agriculture =>

intéressés à certaines questions économiques, en particulier : la puissance des Etats, l’enrichissement des marchands et le commerce international. A. Smith ne verra dans la doctrine mercantiliste qu’un tissu d’erreurs, d’autres auteurs comme J. M. Keynes estiment qu’il s’agit là de conceptions fondées sur le bon sens. Nous étudierons le mercantilisme à partir de quatre thèmes : l’époque, la doctrine, les variantes nationales et les critiques des mercantilistes tardifs. La période mercantiliste se

source de richesse, mais celles ci sont réparties d’une manière souvent injuste. voir aussi l'analyse de Camille MALTHUS, Thomas Robert : (1766-1834) économiste anglais. Il étudia le rôle de la monnaie, de l’épargne et des investissement. RICARDO David : (1722-1823) économiste anglais. Analyste du capitalisme libéral. Ses théories de la rente foncière et de la valeur-travail ont influencé la pensée économique de son temps. SAY Jean-Baptiste : (1767-1832) économiste français. Professeur

trouverons pas d’acheteur ce phénomène touche essentiellement des biens durables L’horizon sur le long therme du capitalisme est celons Smith menacer par ce problème de déboucher et qui se traduit par une détérioration du taux moyen des profits (opposition avec Ricardo qui est partisans de la loi de Say) et donc de l’accumulation la solution consiste a ce tourner vers le libre échange avec les autres nation pour agrandir la taille du marché : c’est la division internationale du travaille2. on résume