Profit Marx Keynes Ricardo

l'intérêt du plein emploi pour la richesse de tous[19]. Au XXe siècle, beaucoup d'économistes sont revenus sur les critiques faites à l'encontre du mercantilisme et ont reconnu l'exactitude de certains points de leurs théories. Entre autres, John Maynard Keynes a soutenu certains principes mercantilistes [Lesquels ?]. La naissance de l'économie classique 1750 -1776 : les physiocrates et L'État a un rôle primordial dans le développement de la richesse nationale, en adoptant des politiques protectionnistes

Colbert, Montchrétien (Traité d'économie politique, 1615), Hume, Locke, Petty, etc. XVIe / XVIIIe Caractéristiques communes : - L'enrichissement est une fin louable en soi : la recherche de la richesse crée la richesse. En voulant faire du profit on dépasse sa souffrance et on enrichit la société toute entière. ==> Comment peut-on enrichir la Nation, favoriser le développement économique ? ==> Comment mesurer la richesse ? - Bien que l'enrichissement personnel favorise l'intérêt général

Document Attac18 : http://www.local.attac.org/18/ L’ECONOMIE ET LES THEORIES ECONOMIQUES. Deuxième séance. C) Keynes et les théories keynésiennes. Keynes :(1883-1946) Keynes est un pur produit de la haute société britannique de son époque, après des études à Eton puis à Cambridge, il travaille deux ans en Inde dans la haute administration à l'Indian Office puis devient professeur à Cambridge. C'est un mondain qui mène joyeuse vie, passionné de jeu, très lié à un milieu d'artistes. Pendant

l’ancêtre de la comptabilité nationale moderne CAD une façon de représenter sous une forme simplifiée l’ensemble des interactions à la fois entre agents économiques et entre les périodes. B) Les classiques : A. Smith et J.B Say. Ricardo et T. Malthus. Et Marx. Le développement des industries, les premières mutation démographies et l’expansion des centres urbains modifient en profondeur la vie économique en Europe à partir du 18eme siècle. Ces différents changements sont à la source de

: PHYSIOCRATES : le commerce crée des richesses, domination du commerce . - 18 ème siècle : Courant libéral classique : SMITH, RICARDO, SAY, MALTHUS : progrès agriculture, economie agricole - 19 ème siècle : Courant marxiste : capitalisme industriel traverse une crise - 20 ème siècle : courant Keynesien : JM KEYNES : crise boursière, Keynes développe l'économie mixte (capitalisme social) • 1- Le courant libéral classique le 18ème siècle est marqué par la révolution industriel

L'État ne doit pas intervenir car le marché doit s'auto-proclamer. Les fonctions de l'État doivent se limiter aux fonctions régaliennes ( police, justice, défense ). L'État ne doit ni intervenir dans l'économie, ni dans le social. En recherchant son profit propre, l'individu fait prospérer la société d'une manière bien plus efficace. Pour Adam Smith, chaque pays à interêt à se spécialiser dans la production dans laquelle il possède un avantage absolu. C'est à dire, lorsque ses coûts de production

la nature et les causes de la richesse des nations. * Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) entre 1798 et 1803 publie Essai sur le principe de population. * Jean-Baptiste SAY (1767-1832) publie en 1803 Traité d'économie politique. * David RICARDO (1772-1823) publie en 1817 Principes de l'économie politique et de l'impôt. Contexte : Révolution industrielle. On passe de l'artisanat à l'industrie jusqu'aux premières manufactures dans lesquelles on rassemble autour d'une source d'énergie des

société qui se doit de corriger ces inégalités « à chacun selon ses besoins ». Cette conception va influencer les conceptions libérales égalitaristes de la justice, mais sans donner à l’Etat cette capacité à corriger les inégalités (contrairement à Keynes) mais grâce aux comportements des agents. L’économie et les positions de l’Eglise chrétienne Sous l’Antiquité, il y a des bases lancées par Aristote mais pas d’unité de réflexion économique = elle est ultérieure et lente. C’est en reprenant

pas sans fin. Il y en a une, et beaucoup vont s’interroger sur la crise de cercle vertueux. La plupart des classiques supposent que c’est un horizon lointain. La crise du capitalisme est appelée « état stationnaire ». Il y aura une baisse du taux de profit à ce moment-là. Les classiques s’interrogent sur les causes de cette crise, mais ils ne sont pas tous d’accord sur celles-ci. I – La thèse d’Adam SMITH A) Saturation des besoins et concurrence Smith soutient la loi des débouchés dans la première

Histoire de la pensée économique resuméHISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE « Paradigmes » : de la chréma2s2que d’Aristote aux premiers grands courants de pensées en économie poli2que (Mercan2lisme et Physiocra2e) » « Un paradigme est — en épistémologie et dans les sciences humaines et sociales – une représenta7on du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent du monde qui repose sur un fondement défini. » Epigones = Successeur, imitateur. Le statut d’un courant de pensé renvoie