Programme de reconnaissance des certifications forestières

végétales et activités humaines 54 Orientation 3.3. : Soutenir la filière bois –forêt de montagne dans le respect de la biodiversité Mesure 3.3.1. :Prendre en compte les équilibres écologiques dans la planification forestière Mesure 3.3.2. :Favoriser les modes d’exploitation et de desserte forestières adaptés Mesure 3.3.3. : Favoriser la transformation et la valorisation locales Orientation 3.4. : Préserver les milieux aquatiques et la ressource en eau Mesure 3.4.1. : Assurer la continuité des cours d’eau

Taux de boisement par région forestière 0 - 15% 15 - 30% 30 - 45% 45 - 60% 60 - 83% Part des feuillus Une ressource renouvelable On appelle ressource renouvelable une ressource qui se renouvelle en une période dont l’échelle de temps est au plus de l’ordre de grandeur de la vie humaine. Le matériau bois constitue une ressource renouvelable dans la mesure où l’arbre coupé est remplacé par un autre, et la forêt reconstituée. Des exploitations forestières qui dénuderaient le terrain, le

propriétaires de six pays Européens ont mis au point la certification PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières anciennement Programme Européen des Forêts Certifiées). Elle a été adoptée au delà des frontières européennes et c’est aujourd’hui la certification la plus répandue. De nombreux pays européens utilisent uniquement le système PEFC comme la France, la Finlande et la Norvège. Dans une logique de développement durable, la certification PEFC a pour objectif de concilier environnement

labels informent le consommateur et lui offrent des Ces labels répondent à de nouveaux choix de consommation Le commerc e éthique touc he clairement les cons ommateur s français et européens 4. Analys e des lab els éthiqu es 41 42 43 La certification : les organismes et leurs critères Quels sont les inconvénients de la mul tiplication des labels ? Perception, notoriété et crédibilité des labels éthiques pour les consommateurs 2 5. Synergie entre lab el, marqu e et imag e 51 52 53

> un revenu, un statut : la société Katima’a > une chercheuse universitaire à l’origine des coopératives > une opportunité d’alphabétisation 8 10 11 13 uNE FiLièRE EN éVOLuTiON > Plus de solidarité, plus de qualité > Le projet Arganier. un programme de développement soutenu par l’union européenne > ibn Al baytar. une initiative environnementale et féministe > L’union fait la force. Les groupement d’intérêts économiques 14 15 16 17 LE buSiNESS DE L’ARgAN, côTé SOMbRE > Huiles frelatées >

la société Katima’a 10  > Une chercheuse universitaire à l’origine des coopératives 11 > Une opportunité d’alphabétisation 13 Une filière en évolution > Plus de solidarité, plus de qualité 14 >  e projet Arganier. Un programme de L développement soutenu par l’Union européenne 15 > Ibn Al Baytar. Une initiative environnementale et féministe 16 >  ’union fait la force. L Les Groupement d’intérêts économiques 17 Le business de l’argan, côté sombre

halieutiques et forestières ; o l’amélioration des conditions de travail (secteurs de la pêche, de l’agriculture…) ; o la substitution de biens importés par des productions locales ; o des modes de transport non polluants ; - 14 o - la diversité et la richesse du patrimoine naturel et culturel guyanais. La préservation et la valorisation des ressources naturelles grâce à : o la création d’emplois dans des zones isolées (secteur du commerce et de l’artisanat) ; o la reconnaissance des savoir-faire

Objectifs poursuivis[modifier] L'agriculture durable vise une amélioration dans la soutenabilité du système, en créant plus de richesses pérennes et d'emplois par unité de production, sur une base plus équitable. Ces principes sont basés sur la reconnaissance du fait que les ressources naturelles ne sont pas infinies et qu'elles doivent être utilisées de façon judicieuse pour garantir durablement la rentabilitééconomique, le bien-être social, et le respect de l'environnement (les trois piliers du développement

intellectuelles et culturelles adéquates. Il est donc nécessaire de former des dirigeants et des élites éclairées sur le monde et ses réalités complexes. Il faut éduquer les masses vers l’international. Nécessité de créer des programmes déchange et de réformer les programmes scolaire (CFR projet « erasmus »). La promotion du Libre échange Dans la tradition idéaliste, la libéralisation des échanges internationaux est un vecteur de paix. Les idéalistes voient le « doux commerce » (Smith, Montesquieu)

LVMH 2012 — RAPPORT ENVIRONNEMENT SOMMAIRE 01 INTRODUCTION 03 MESSAGE DU PRÉSIDENTDIRECTEUR GÉNÉRAL 04 MESSAGE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL DÉLÉGUÉ 05 FOCUS : LES 20 ANS DE L’ENVIRONNEMENT 12 UNE NOUVELLE ÉTAPE : LE PROGRAMME « LIFE – LVMH INDICATORS FOR ENVIRONMENT » 38 LES LEVIERS D’ACTION 52 OBJECTIFS 56 NOTE MÉTHODOLOGIQUE POUR LE REPORTING ENVIRONNEMENTAL 59 RAPPORT D’ASSURANCE RAISONNABLE DU VÉRIFICATEUR INDÉPENDANT SUR UNE SÉLECTION