Progrès Technique Et Progrès Moral

Le progrès technique nous rend plus heureux ? INTRO: A première vue, il semble que le progrès technique permette aux hommes d’être plus heureux. Il permet une meilleure maîtrise de la nature, plus de productivité et de qualité, de la diversité des productions humaines. Cela conduit à une satisfaction accrue des désirs et des besoins pour satisfaire chaque être humain, et à une amélioration des conditions de vie un simple exemple: les machines. La technique améliore notre vie quotidienne. Les machines

-Définition La technique, du grec teknê, est une production et un savoir-faire. C'est un savoir-faire propre à l'homme qui fabrique ce que la nature ne lui fournit pas : l'homme = un homo faber = un fabricant d'outils qui lui permettent de transformer la nature pour en devenir comme «maître et possesseur» selon la formule de Descartes. Les grecs ne distinguent pas l'artiste de l'artisan. Au sens large, la technique est un ensemble de moyens qui permettent de réaliser un but. La technique vise donc

Faut-il avoir peur du progrès technique ? Sens global du sujet : Le progrès technique (et pas simplement la technique) rend-il nécessaire d’avoir et peut-être même de cultiver une peur à son égard ? Cette peur est-elle justifiée par des motifs rationnels ? Est-elle justifiée par des buts ? Qu’y a-t-il dans le progrès technique qui justifie que l’on en cultive la peur et pas simplement la vigilance ? N’est-ce pas contradictoire de se poser la question du devoir à l’égard d’un sentiment qui en général

valent les progrès de la technique pour notre bonheur ? Dès l’aube de l’humanité, l’homme a eu le besoin d’améliorer son quotidien. De le rendre plus agréable, pour lui, pour les siens, pour l’humanité. Les progrès acquis dès lors créaient des nouveaux besoins, une fois comblés ceux-ci en créeront des nouveaux. Tout cela dans la quête d’un « monde meilleur » pour combler l’homme de bonheur. Mais que valent les progrès de la technique pour notre bonheur ? I – Les progrès techniques ont rendu

ultime du progrès scientifique, l’annonce par un chercheur américain de sa capacité à créer un chromosome artificiel a suscité des inquiétudes. Comme toute découverte majeure, cette avancée porte en elle une dialectique ambivalente, permettant d’en espérer les plus grands bienfaits – ici la guérison de certaines maladies par exemple – comme d’en craindre les plus grandes dérives, telles que l’eugénisme. Historiquement, le premier aspect a prévalu sur le second lors de l’accélération du progrès scientifique

à penser le présent . L'homme serait une bête brute à l'état de pure nature. n'a aucune technique (feu, arme) Développe ça avec l'exemple des Iroquois. Implicite : la technique est ce qui permet de dvlp l'intelligence et le quotidien. Ne dispose pas du langage à l'état brute. Il montre que l'homme à l'état de pure nature ne se dvlp qu'au niveau des besoin primaire, physique, de la matière. Pas sur le plan moral, de l'intelligence. Utilise la comparaison ironique avec les castors. + analogie de l'homme

Face au développement des diverses techniques et technologies, on entend régulièrement des voix s’élever demander de freiner ce progrès, d’imposer des limites pour éviter de grands dangers. Ainsi, cherche-t-on à s’opposer au progrès technique en soulignant que ce progrès n’est pas nécessairement un progrès pour l’humanité. Mais cette volonté de s’opposer n’est-elle pas illusoire ? Les techniques progressent et il semble absurde de prétendre mettre fin à ces techniques. En effet, comment cela pourrait-il

l’instinct dicte ses faits, l’homme peut utiliser sa raison pour faire le mal et donc le faire gratuitement par plaisir. Rousseau veut dire que le progrès humain n’est pas univoque. La perfectibilité n’est donc pas synonyme de perfectionnement. C’est ici que la dimension négative de la culture apparaît. Le progrès technique n’apparaît donc pas comme un progrès moral. C’est sur cette thèse que Rousseau s’oppose à l’idéal des Lumières. II- Comment penser la diversité des cultures ? On remarque une

classique de progrès suppose une ascension qui rapproche indéfiniment d’un terme idéal » (Sartre). Le progrès issu des Lumières comprend en effet indissolublement les nouvelles découvertes des arts et des sciences, et « par une conséquence nécessaire » (Condorcet, « Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain »), les moyens du bien-être particulier et de la prospérité commune, et, enfin, le perfectionnement des facultés morales et physiques. Progrès des sciences et progrès de la morale

violente et de prédateurs tapis dans l’ombre attendant leurs proies. Cette peur de l’homme était provoquée par la conscience de sa fragilité et son manque de moyens matériels et intellectuels pour faire face au danger. Le premier but de l’apprentissage technique n’a pas été de servir l’humanité, mas de lui donner un pouvoir sans conteste sur la nature. C’est la pensée connue de Descartes dans son Discours de la méthode lorsqu’il parle de devenir « comme maître et possesseur de la