Prolactine

va être hypoactivée ce qui va créer des effets déficitaires (retrait social etc…). Elle va aussi agir sur la voie nigrostriée (responsable de la motricité) et la voie tubéro-infundibulaire (prolactine et thermorégulation). Le principal mécanisme d’action des neuroleptiques va donc être de bloquer la neurotransmission dopaminergique (blocage des récepteurs D2). Cependant, il y a d’autres types d’activité pharmacologique qui varient selon

l’implantation. catécholamines : tyrosine  dopamine  NA  A NT impliqués dans les contrôles neuroendocriniens de la reproduction sécrétées par les neurones du TC dopamine synthétisée par l’hypothalamus  agit sur hypophyse et sur la production de prolactine mélatonine : épiphyse  hypothalamus  règle la reproduction des animaux qui ont une activité sexuelle et la mise à bas saisonnière III) Les Protéines : 1) Glycoprotéines : Tableau 3.4 Page 23 Hormone Folliculo-Stimulante

métabolisme glucidique de la femme se voit modifié en période de grossesse. En effet, on constate une hyperinsulinémie durant les deux premiers trimestres due au taux élevé de toutes les hormones hyperglycémiantes : œstrogène, progestérone, cortisol, prolactine. Cela provoque une augmentation du glucose dans le tissu adipeux et plus généralement une lipogenèse. On voit donc se former une réserve énergétique maternelle au niveau des tissus adipeux. Au cours du troisième trimestre, quand les besoins du

déciduale s’est terminée * présences de cellules déciduales * fibroblastes (fusiformes) sont devenus des cellules sphériques qui vont secreter : * de nombreux facteurs de croissance * des hormones comme la prolactine * antiprotéase car un de leur principale est de limiter l’invasion trophoblastique (car c’est une invasion pseudo tumoral controlé) * cytokines la période villeuse le placentas diffus * se constitue d’abord par

première prise (notamment en cas de surdosage) ou, plus tardivement, lors d'un traitement prolongé. Raideur musculaire et difficulté à coordonner les mouvements. Hypotension orthostatique. Troubles digestifs. Augmentation de la sécrétion de prolactine pouvant se traduire par : absence des règles, augmentation du volume des seins, écoulement de lait par le mamelon. Prise de poids, augmentation du taux de sucre dans le sang. Troubles sexuels. Rarement : troubles de la vision, bouche sèche ou

Transport : urine, sang * Métabolique : glucides, lipides, protéines 6) Quel est l’organe excréteur des hormones ? * ACTH (hormone qui stimule les surrénales) = hypophyse * TSH (hormone stimulante de la thyroïde) = hypophyse * PRL (prolactine)= hypophyse * LH (hormone lutéinisante)= hypophyse * FSH (hormone folliculo-stimulante) = hypophyse * Hormone antidiurétique = rein * Ocytocine = uterus * Thyroxine = thyroïde * Insuline = pancreas * Glucagon = pancréas

méthode de l'allaitement maternel et de l'aménorrhée L’allaitement est une méthode contraception après un accouchement. Quand une femme prend la décision d’allaiter son enfant, elle produit, à cause des succions du nouveau-né, une substance appelée prolactine qui supprime l’ovulation. Pour que cette méthode soit efficace il faut que le nourrisson ait moins de six mois et qu’il soit exclusivement nourri au sein. La reprise des règles traduit la reprise de l’ovulation et la fin de l’efficacité de méthode

nourrisson. S’il n’ait pas souhaité par la mère, les laits infantiles remplaceront le lait maternel cf. alimentation du nourrisson. I- L’allaitement maternel 1- le mécanisme de production du lait Lors de la grossesse 3 hormones sont produites : • Prolactine (PRL) responsable du développement des glandes mammaires et de la sécrétion du lait. Elle est inhibée par l’œstrogène lors de la grossesse, et quand la concentration d’œstrogène diminue elle est activée. • Œstrogène prépare et maintient la gestation

exutoire une panoplie de comportements, dont l’infidélité. La décision d’allaiter le nouveau né peut engendrer une diminution du désir de sexualité chez la femme. Ce phénomène s’explique par l’augmentation de la libération d’une hormone nommé prolactine, l’hormone de l’allaitement. En équation, plus elle est libérée, plus le désir sexuel diminue. Le conjoint, aux prises avec des pulsions sexuelles non satisfaites, tentera de trouver un moyen afin de diminuer ses tensions intérieures. Les relations

dose-dépendante a même été soulignée (53, 16, 18). Ces résultats semblent montrer que le fait de fumer interfère avec la physiologie de la lactation. Fumer augmenterait la sécrétion de dopamine par l’hypothalamus, et diminuerait par là même le niveau de prolactine qui joue un rôle important dans la lactation. Les facteurs relatifs au service de santé Comme les femmes décident du mode d’alimentation de leur bébé avant la grossesse (21) ou au plus tard durant le dernier trimestre de grossesse (50)